Occurences de l'expression
pe
pour ROTROU, Jean
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
LES SOSIES (1638)
- Elle occupe le ciel, et m'en voici dehors, v.16 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Et j'établis leur gloire, en méditant leur peine. v.18 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Que sans doute déjà, ce perfide lui trace, v.34 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Déjà, je crois l'y voir en pompeux appareil, v.35 (Prologue, scène 1, JUNON)
- C'est ce superbe objet de mon juste courroux, v.39 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Le Soleil par respect, n'ose sortir de l'Onde, v.50 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Le ciel même fléchit, le jour ne peut éclore, v.54 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Sa peine avec usure achètera sa gloire, v.58 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Aussitôt que ses jours, commencera sa peine, v.62 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Les lions, les serpents, les hydres, les taureaux v.63 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Il lassera ma haine, à sa perte animée, v.70 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Mieux qu'hydre, que serpents, que lion, que Cerbère, v.90 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Cependant que mon père enivré de plaisirs, v.97 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- Et de ta chasteté ne prends point de dispense ; v.100 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- Que de persuader les objets de ses voeux v.106 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
- Veille, course, ni peine à leur avis n'est dure. v.140 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Il est plus à propos, que mon humble pensée, v.143 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Mais consultons un peu ce qu'il faut que je die, v.160 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et la peur m'animait, autant qu'eux le courroux. v.166 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Je ferai mon récit, à peu près, en ces mots. v.174 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Si Ptérèle prétend, ou se perdre, ou se rendre, v.180 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Verraient sans peur le foudre, aux mains même de Mars. v.190 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Les drapeaux déployés, chacun marche en son rang v.193 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- L'ennemi d'autre part, en superbe équipage, v.195 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- D'un, et d'autre côté les trompettes résonnent, v.199 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Sa main, rouge du Sang, de ce superbe Roi, v.233 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et lors, nos Gens sans peine achevèrent leurs trames, v.236 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- En ces mots, à peu près, je ferai ma harangue, v.243 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Orion, ni Vesper, ni les Sept Atlantides : v.260 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Qu'une, où de mille coups, j'eus la peau déchirée, v.268 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Il est poltron, au point, où plus on le peut être. v.275 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Pour accroître sa peur, menaçons, parlons haut, v.285 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Il ne peut être loin, et vient de long voyage. v.295 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Que sans charge moi-même, à peine je me porte ! v.300 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et sa main, va frapper la mienne, à la pareille. v.304 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Il vient, je l'aperçois. v.305 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- De peur, le poil me dresse, et tout le corps me tremble ; v.307 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- J'arracherai, pendard cette langue effrontée : v.319 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Fuis tôt, et perds cette humeur suffisante, v.327 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Amphitryon, Chef du Peuple Thébain, v.337 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- On m'appelle Sosie. v.339 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- On t'appelle. v.343 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Au mensonge, pendard, tu joins encor la plainte ? v.347 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Te le fait usurper avec tant d'arrogance ? v.368 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- De grâce, permets-moi de parler librement, v.369 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Je te crois, mais sur peine. v.375 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ta fourbe peut bien être un obstacle à mes pas : v.385 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- À quoi perds-je le temps, que n'entrai-je chez nous ? v.398 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Dieux ! De quelles couleurs il sait peindre un mensonge ; v.399 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Quelle lumière, ô Dieux dissipera ces charmes. v.412 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Pris d'un muid frais percé, j'allai faire ma proie, v.420 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- On ne peut qu'ajouter, à ce rapport extrême, v.435 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et j'ai perdu l'esprit, si j'en suis en souci, v.441 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Tu t'obstines encor, à me persécuter ! v.445 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Ne m'est-il pas permis, de dire à ma Maîtresse, v.447 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Où me suis-je perdu ? Quelle est cette aventure ? v.452 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Comment peut un seul homme, occuper double place ? v.455 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Et ce serait me perdre, avec utilité. v.462 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Mon père, cependant, sans importunité, v.465 (Acte 2, scène 4, MERCURE)
- Son absolu pouvoir, se permet toute chose, v.467 (Acte 2, scène 4, MERCURE)
- Où le salut à peine, a précédé l'adieu ? v.486 (Acte 2, scène 5, ALCMÈNE)
- Marche, peste des hommes. v.499 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Pestes, ivrognes, fous, impudents, effrontés, v.501 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Tu murmures pendard ? v.505 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Ce qui ne fut jamais, ni ne peut advenir, v.514 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Sur qui pend le malheur, qui t'attend aujourd'hui. v.518 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Qu'un même homme, en même heure, occupe double place ? v.524 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Jusques à me citer la coupe de Ptérèle, v.551 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Deux me sont superflus, et j'ai trop d'un Sosie. v.572 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Celui que je vous dis, ma vivante peinture, v.575 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Allons, mais que les coups, s'il se peut n'en soient plus. v.602 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Enchaîne ainsi la peine, à la prospérité. v.606 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- Aux grands, comme aux petits, aux rois, comme aux bergers, v.609 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Sa venue en mes yeux trouve à peine des charmes, v.619 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Que sa perte aussitôt, y veut trouver des larmes ; v.620 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Ce plaisir, pour le moins, doit soulager vos peines, v.623 (Acte 3, scène 2, CÉPHALIE)
- On vante un noble sang, mais on le peut répandre, v.640 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- Ma chaste affection, lui serais-tu suspecte ? v.651 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Douterait-il, Hymen, combien je te respecte ? v.652 (Acte 3, scène 3, ALCM?NE)
- Peut-elle, sans rêver, nous tenir ces propos ? v.690 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Est-ce là cet abord, de respect, et de flamme, v.703 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Mais peut-être tous quatre, et c'est mon sentiment. v.713 (Acte 3, scène 3, SOSIE)
- Où l'espoir de ta vue a flatté ma pensée ; v.724 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Qui renversa l'orgueil de ce peuple mutin ; v.738 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Peut-il, instruit par vous, parler contre vous-même ? v.744 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Dont je vous vais convaincre, et me tirer de peine ; v.752 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Et qu'ils se peignent tout de leurs propres couleurs. v.770 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- On ne le peut sans charme, avoir ôté d'ici. v.778 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- J'ai peur d'avoir tant fait qu'il m'en doive déplaire ; v.796 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Tout cela m'est suspect, nous étions trop amis, v.802 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Enfin, après souper. v.803 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Qui m'y donne ma place, et m'en permet l'entrée. v.812 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- Ne m'appelle jamais de ce funeste nom. v.822 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Ma pudeur, mon respect, ma chaste affection v.841 (Acte 3, scène 4, ALCMÈNE)
- J'ignore qui je suis, et ne connais personne. v.844 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Quelque savant démon, en la magie expert, v.845 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Fait qu'ainsi tout se change, et se double, et se perd. v.846 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Qui rend un Dieu sensible à l'amoureuse peine, v.868 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- De la flûte de Pan, sous la peau d'un Satyre, v.880 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- Mais ne la détrompons, que pour la tromper mieux. v.886 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- De penser en penser, et d'espace en espace, v.892 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Et mes pas incertains, se perdent à chercher v.893 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Ma foi devient suspecte ! ô Dieux ! pourquoi ma vie, v.895 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- On ne peut réparer une injure si lâche, [page ; I] v.899 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Et qui lui porte un coup, frappe mortellement. v.902 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Et sa possession ne se peut mériter, v.905 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Bientôt la vérité dissipera ces ombres ; v.908 (Acte 4, scène 2, CÉPHALIE)
- Pour lui, nous devons tout, pour lui tout est permis, v.929 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Celui n'aime pas bien, qui peut tôt se venger, v.945 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Qui peut de fausseté, me convaincre au besoin ? v.966 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Souhaite-moi la mort, plutôt que cette peine : v.984 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Dieux, qu'avec peu d'effort, vous me gagnez le coeur ! v.990 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Comme un feu d'un peu d'eau prend des forces nouvelles ; v.996 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- D'un petit différend, naît une longue paix, v.997 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Quel pardon n'obtiendrait un si beau repentir, v.1001 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Il témoigne en effet un peu de jalousie, v.1027 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Mais qui ne te nuit point. Vous, appelez Sosie, v.1028 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Où Mercure, aussitôt, occupera sa place. v.1032 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Bacchus, le bon ivrogne, en a perdu l'haleine ! v.1072 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Mars, voit, (pris comme il est) des troupes d'Encelades, v.1075 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Se promène à grands pas, un peu loin de la troupe, v.1087 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Et contre sa coutume, a refusé la coupe. v.1088 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Il est à peine au port. v.1111 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Tu n'amènes personne ? v.1111 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Attends un peu. v.1120 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Pour obtenir, peut-être, un pardon plus exprès, v.1125 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Ma seule lassitude est le fruit de ma peine ; v.1144 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- On s'y perd, on s'y double, on ne s'y connaît plus ; v.1146 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Nous sommes deux doublés, celui-là s'est perdu, v.1149 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Entrons, et s'il se peut, sachons quel imposteur, v.1153 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Étouffons ce serpent, perdons ce suborneur, v.1157 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- S'il frappe encor un coup, il mettra tout par terre. v.1164 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Il pense s'adresser à quelque hôtellerie, v.1171 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- De la façon qu'il frappe, et qu'il parle, et qu'il crie ; v.1172 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- A-t-il perdu l'esprit ; Dieux ! Quelle est son audace ? v.1180 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Spectre, qui que tu sois, fantôme, ombre vivante, v.1183 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Je te le vais pendard, apprendre à tes dépens. v.1194 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- S'il se peut que l'on m'ouvre, ou si tu peux descendre. v.1195 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Posséder le repos, qui succède à sa peine ! v.1204 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Peste, ivrogne éternel, qui méconnais ton maître. v.1216 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Tu peux seul, à ma peine apporter du remède, v.1224 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Si tu ne veux ma perte, établis mon repos. v.1226 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Dessille-nous les yeux, dissipe ce nuage, v.1227 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Vous fasse, Jupiter, partager notre peine, v.1235 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- J'ai le dos assez bon, mais j'ai la main pesante, v.1240 (Acte 4, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Arrêtez, un mot seul, me tirera de peine. v.1255 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Quel prodige inouï, peut plus nous étonner ? v.1257 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- La coupe de Ptérèle est une autre merveille, v.1259 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Qui ne se peut comprendre, et n'a point de pareille ; v.1260 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Que lui-même accusé, ne peut désavouer, v.1265 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Mais s'il peut aujourd'hui, tomber entre mes mains, v.1269 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Il peut compter ce jour, le dernier de sa vie. v.1271 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Il m'obligerait fort, s'il perdait cette envie. v.1272 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Et faites s'il se peut, que ce désir lui passe. v.1276 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Enfin, votre rapport, nous tirera de peine, v.1279 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Ô Ciel ! Avec mon nom, perds-je encor la mémoire. v.1284 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Toi, peste des mortels, dont l'audace effrontée, v.1291 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Qui tout soin, tout devoir, et tout respect à bas, v.1293 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Pourquoi ? quelle furie à ma perte animée, v.1299 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- J'ai couru, j'ai volé, peut-on marcher plus vite ? v.1304 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Quelque charme secret, vous peut brouiller ainsi, v.1333 (Acte 4, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Qui m'offre après la paix des exploits superflus, v.1341 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Avec qui j'ai la peine, et la gloire commune ; v.1360 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Suspend déjà vos yeux, et votre jugement. v.1378 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Votre rare valeur, ne peut, sans être ingrate, v.1387 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Et l'on nous veut tromper, alors qu'on nous amorce. v.1396 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- S'il se peut, toutefois, vidons ce différend. v.1401 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Te perde Jupiter. v.1404 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- De la troupe Thébaine. v.1412 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- De ce peuple rebelle. v.1415 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- De cent Ioniens, et de deux cents Persiques. v.1444 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- À quoi perdre le temps, Qui me peut méconnaître ; v.1447 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Et de quelle rougeur, sens-je peindre mon front ? v.1454 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Arcanane, Télèbe, et cents peuples divers, v.1457 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Dieux ! Qu'a-t-il reservé ? que peut-il dire encore ? v.1463 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Je doute qui je suis, je me perds, je m'ignore, v.1464 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Tu frappes sur Sosie, arrête, épargne-toi. v.1489 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Ce passe-temps me plaît, j'aime à frapper sur moi. v.1490 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Respecte-la profane, et n'y rentre jamais, v.1501 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Appelles-tu maudit un présent de ma main ? v.1510 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Au lieu de dissiper, le temps accroît ma peine, v.1532 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Allez, que peu de temps achève votre cour, v.1561 (Acte 6, scène 2, ALCMÈNE)
- Une troupe de Chefs, dignes de vous, et d'eux. v.1566 (Acte 6, scène 2, JUPITER)
- Plus sur ce que je vois je pense, et je repense, v.1575 (Acte 6, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Et moins peut mon discours établir ma créance ; v.1576 (Acte 6, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Qu'à peine en croirons-nous le rapport de nos yeux ; v.1602 (Acte 6, scène 4, CAPITAINE DES GARDES)
- L'incroyable rapport de ce Spectre, et de moi v.1605 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- À peine me connais-je, en ce désordre extrême, v.1607 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Laisse encor à présent, leur esprit suspendu ; v.1614 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Ils ne peuvent asseoir, de certain jugement. v.1618 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Et fisse des festins, lorsque j'étais en peine. v.1628 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Rien ne peut, que la mort, rétablir son estime. v.1636 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Surprenons, s'il se peut l'adultère en son sein ; v.1638 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Cette porte fermée, assure encor ma perte, v.1640 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Le Ciel même, peut-il m'apporter du secours. v.1654 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Cet ordre rétablit mes sentiments perclus, v.1657 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Ô Dieux ! Quelle frayeur fit jamais tant de peine, v.1659 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Mais qu'aperçois-je, hélas ! De quel nombre de corps, v.1661 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Je suis mort, qui m'appelle. v.1667 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Quel charme, de nos sens, nous suspendait l'usage ? v.1676 (Acte 6, scène 5, CAPITAINE DES GARDES)
- Dis tôt, donc, hâte-toi de me tirer de peine. v.1687 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Croyez-vous que la peur m'ait troublée à ce point ? v.1690 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Mais, que de la raison elle a perdu l'usage, v.1696 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Que j'en perds sens, repos, raison, et jugement. v.1698 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Sachez premièrement, que pendant ce tonnerre, v.1703 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- L'ont à peine obligée à réclamer les Dieux, v.1709 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Alcmène, cependant, et sans cris, et sans pleurs, v.1713 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Ne m'interrompez point; écoutez ce qui reste, v.1720 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- À peine ils sont lavés, que nous voyons l'un d'eux, v.1721 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Étendre, et déployer ses petits bras nerveux, v.1722 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Et l'ayant au berceau, non sans peine, rendu, v.1725 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Deux horribles serpents, ailés, à larges crêtes, v.1727 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Tant qu'à son petit corps, ne restât nul obstacle. v.1731 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Alcmène, entre la peur, et l'admiration, v.1741 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Quel sera cet enfant, si grand, et si petit ? v.1745 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Peut entre ses honneurs, compter un adultère, v.1800 (Acte 6, scène 6, AMPHITRYON)
- On appelle cela, lui sucrer le breuvage ; v.1808 (Acte 6, scène 6, SOSIE)
- Qui ne peut rien souffrir, et lui vînt-il des Cieux, v.1810 (Acte 6, scène 6, SOSIE)
LA BAGUE DE L'OUBLI (1635)
- Ont quelque souvenir de leurs premières peines. v.4 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Cet oeillet se penchant semble vous rendre hommage, v.7 (Acte 1, scène 1, LÉANDRE)
- Où même les rochers ne le peuvent pas faire. v.12 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- À t'ouïr bégayer, de peur de me déplaire : v.24 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Mais peux-tu lui ravir le Sceptre sans la vie ? v.64 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Toujours ma passion a respecté ses jours : v.66 (Acte 1, scène 1, LÉANDRE)
- Ses magiques secrets me peuvent procurer v.73 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- Ce bien où votre amour me permet d'aspirer. v.74 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- Son art, aux yeux du Roi, peut couronner nos têtes, v.75 (Acte 1, scène 1, L?ANDRE)
- Il pensait vous conduire en de plus nobles lieux, v.110 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Connaissant mes défauts, et pesant vos mérites, v.111 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Neptune ouvre son sein aux plus petits ruisseaux, v.122 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Ce respect est contraire à nos contentements, v.125 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Que votre affection peut rendre légitimes. v.128 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Mais le Comte s'avance, et peut-être le jour v.141 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Rendra son espérance en peu de temps changée. v.144 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Et cette fausse peur fera tourner en honte v.151 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- La Vertu seulement gouverne nos pensées, v.164 (Acte 1, scène , LE ROI)
- Qu'on ne peut l'accuser que de trop de froideur : v.166 (Acte 1, scène , LE ROI)
- Mais une expresse affaire au logis me rappelle, v.167 (Acte 1, scène , LE ROI)
- Il est vrai, j'ai couru jusqu'à perdre l'haleine, v.171 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Et deux cerfs abattus sont le fruit de ma peine : v.172 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Il le faut appeler vos yeux, votre lumière, v.179 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Peignez sur mon visage un éternel affront, v.181 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- T'apporte peu de fruit, et me coûte de peine ! v.184 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Mais la peine, mon père, est de changer l'anneau. v.202 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
- Pour tout prix de ma peine, aimez-moi seulement. v.217 (Acte 1, scène 5, ALCANDRE)
- De si sages discours confondraient ma pensée, v.240 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Ne perdons point, Fabrice, un temps si désirable ; v.248 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Je doute si le jour seulement y peut luire, v.256 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Le traître avance peu, par cette humeur craintive, v.259 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Bientôt ce faible esprit saura qu'on peut encor v.261 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Et peut autant sur lui, que Bacchus peut sur moi. v.270 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Votre oeil peut aisément lire sur son visage v.303 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
- Il a cru que le Comte y participe aussi : v.313 (Acte 2, scène 3, LE CAPITAINE)
- Et de ses faux soupçons, faire un vrai repentir. v.330 (Acte 2, scène 3, LE CAPITAINE)
- S'il vous était permis de lire dans mon sein. v.342 (Acte 2, scène 3, LILIANE)
- Cette fourbe peut-elle assez être prisée, v.347 (Acte 2, scène 3, LILIANE)
- Et le sens qu'il perdra m'acquiert un diadème, v.363 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
- Enfin je vois ma soeur un peu mieux disposée, v.367 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Je sais que depuis peu ce Seigneur est parti, v.377 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- La peur d'un tel affront éteindra mes amours, v.393 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Je trouve tes désirs un peu trop délicats, v.409 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Filène, cependant, courez à la prison, v.418 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Ne laisse pas, Léandre, échapper la Fortune : v.424 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- L'Amour a perdu son empire. v.432 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Le Roi va perdre son Empire. v.436 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Les Rois ne peuvent rien dessus leurs passions. v.478 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Me venant attrister, penses-tu qu'on m'oblige, v.515 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- N'appréhendez-vous point de vous tromper au compte ? v.523 (Acte 2, scène 8, FABRICE)
- Mélite, observe un peu ses yeux à mon abord, v.531 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Eût-il dans la pensée un projet difficile, v.533 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Fût-il dessus le point de perdre la Sicile, v.534 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Vous croyez, ce me semble, un peu légèrement, v.540 (Acte 3, scène 1, MÉLITE)
- D'un Roi, comme d'un autre, on peut être trompé. v.543 (Acte 3, scène 1, M?LITE)
- On sait que d'aucun crime on ne les peut atteindre, v.566 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- Que votre bonne humeur fut de peu de durée ! v.573 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- Bien, Sire, brisons-là ces discours superflus, v.583 (Acte 3, scène 2, FABRICE)
- D'où peut être alentie une si douce ardeur ? v.588 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Et nous n'avons ici personne à nous contraindre. v.598 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Pour que ces entretiens me puissent mettre en peine. v.602 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Et me peut-il donner quelque forme qui semble v.629 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- En moi, qui ne vous puis qu'à peine reconnaître ? v.638 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- D'où peut lui provenir cette mélancolie ? v.653 (Acte 3, scène 2, LILIANE)
- Que nos tempéraments se changent en peu d'heure, v.665 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Le Prince qui dans peu doit épouser ma soeur v.687 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Que fait ici l'objet de mes douces pensées ? v.693 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Je songe au paiement de mes peines passées, v.694 (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
- Que j'ai peine à savoir combien vous me devez. v.696 (Acte 3, scène 3, L?ANDRE)
- La ruse toutefois est un peu languissante, v.697 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Sa force aura dans peu nos deux moitiés unies : v.702 (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
- Vous avez vu le Roi perdre tout jugement, v.703 (Acte 3, scène 3, L?ANDRE)
- Mais elle vient ici, suivons un peu ses pas, v.707 (Acte 3, scène 3, L?ANDRE)
- Depuis si peu de temps a votre âme saisie ? v.730 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Tu ne le peux, ma Reine, et cette repentance, v.737 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Et comme ton péché, ta repentance est feinte. v.742 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Perdant la liberté, nous perdîmes la voix, v.772 (Acte 3, scène 6, ALEXANDRE)
- Que cette délivrance à peine l'a rassise, v.774 (Acte 3, scène 6, ALEXANDRE)
- Il faut que d'autres qu'eux trempent en l'entreprise v.797 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Exempte-moi d'ouïr leurs regrets superflus : v.804 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Si tu m'aimes encor, t'affliger de leur peine. v.810 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Faible, et qui ne saurais qu'à peine ouvrir la bouche, v.818 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Si près de votre coeur, perdez-vous le courage ? v.822 (Acte 3, scène 6, LILIANE)
- Adieu, laissez un peu durer mes rêveries, v.825 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Hélas ! en cette peine, v.829 (Acte 3, scène 6, LILIANE)
- Si l'ordonnance n'est que d'un peu d'Ellébore, v.837 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Tu fais de ton honneur encor si peu de compte, v.845 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Voyez où peut aller le cours de nos affaires, v.853 (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
- Si jamais à personne elle offrit ses cheveux, v.856 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Qu'il a moins de raison, que n'aurait sa peinture : v.858 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Nous peut rendre absolus dans toute la Sicile : v.866 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Mais la perte du Duc me semble nécessaire, v.869 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Pour la perfection de cette heureuse affaire ; v.870 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Il peut à nos desseins opposer son effort, v.871 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Qu'un accident étrange a troublé sa pensée ! v.886 (Acte 4, scène 2, FILÈNE)
- Ami, quelle personne à mes yeux se présente ? v.889 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- J'approuve cet avis, et ne connais personne, v.913 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Et dis-leur qu'on ne peut le dépêcher que tard, v.936 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- J'en connais que l'on appelle ainsi : v.960 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Sire, on ne peut plus voir deux mille écus ensemble, v.961 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Divertissez un peu mes tristes rêveries. v.966 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- J'aurai bien de la peine à répondre à ce point, v.967 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Un seul de mes aïeux, sans peine, et sans rival v.975 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Que ni Roland sans peur, ni qu'Oger le Danois : v.984 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Je sais que l'or peut tout dans le siècle où nous sommes, v.1005 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Qu'il fait perdre la vie à celui qui le porte. v.1010 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Ô Ciel ! que ce discours met mon esprit en peine, v.1013 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Sire, il les faut cacher de peur d'autre infortune. v.1018 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Qui se trouva jamais en des peines pareilles ? v.1050 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Qui change mon état en si peu de moments, v.1051 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Sire, que nous peut-on reprocher là-dessus ? v.1056 (Acte 4, scène 5, AGYS)
- Traîtres, vous trempez tous en même intelligence, v.1065 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Dieux ! que j'ai bien pensé découvrir mes affaires ! v.1086 (Acte 4, scène 6, FABRICE)
- Et je crois que l'amour touche peu son envie, v.1089 (Acte 4, scène 6, FABRICE)
- Puisqu'ils ne peuvent rien pour m'arrêter au monde ; v.1110 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Qui m'ôte de la terre, et qui m'appelle aux cieux. v.1112 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- C'est pour un juste effet, permettre une injustice, v.1114 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Un tyran peut beaucoup ; mais il est incapable, v.1121 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Il peut forger un crime, et non le maintenir : v.1123 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Il me peut outrager, et non pas me punir : v.1124 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Ainsi puisqu'il ne peut me reprocher de vice, v.1125 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Depuis qu'on a perdu les moyens d'espérer, v.1139 (Acte 5, scène 1, LE BOURREAU)
- Et tu me peux aider en un point seulement : v.1148 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Et n'assassine pas trois personnes pour une. v.1166 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Bon, entre les mortels, s'il en peut être un bon, v.1179 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Depuis peu, tous mes gens ont en moi reconnu, v.1183 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Toi, Reine de mes voeux, mon unique pensée, v.1193 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- On connaîtra dans peu le juste soin des dieux, v.1215 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- En l'état où je suis, qui ne serait en peine ? v.1217 (Acte 5, scène 3, FABRICE)
- Je crois que peu de gens répondraient de mon col. v.1220 (Acte 5, scène 3, FABRICE)
- Et beaucoup sont en peine en ce prompt changement. v.1235 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Ce mot de diamant est l'arrêt de ma perte, v.1237 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- À Léandre.Je n'ai point aujourd'hui cette bague aperçue. v.1242 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Quelle peine lui peut apporter cet anneau ? v.1251 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- Et si de cet anneau, le mal si peu connu, v.1255 (Acte 5, scène 4, FABRICE)
- En l'état où je suis, tout objet m'est suspect, v.1259 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Fabrice, qui te fait trembler à mon aspect ? v.1260 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Ah ! si vous permettez à mon coeur agité v.1263 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- D'avouer ce qu'il pense à votre Majesté, v.1264 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Souffre que je sois seul, et qu'un peu de repos v.1291 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Succède à tant de peine. v.1292 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Léandre, et Léonor trempent en cette affaire, v.1298 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Ont voulu sur ma perte établir leur fortune, v.1314 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Je veux un peu flatter leurs esprits languissants, v.1319 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- En témoignant encor d'avoir perdu le sens. v.1320 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- En regardant mes yeux, où tu le peins encore. v.1326 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Mais j'aperçois nos gens, prends plaisir à ma feinte, v.1329 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Qu'à peine vous connais-je, en l'état où je suis. v.1344 (Acte 5, scène 7, LE ROI)
- J'en ignore la cause, et j'en souffre la peine. v.1362 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Et puisque je reçois si peu d'allègement, v.1363 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Un Roi secondera sa peine, en ce besoin. v.1376 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Quoi ? vous défendez-vous de soulager mes peines ? v.1386 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Monsieur, dispensez-moi. v.1387 (Acte 5, scène 8, LÉONOR)
- Sire, dispensez-moi d'une pareille gloire, v.1393 (Acte 5, scène 8, LÉANDRE)
- Par un anneau charmé, le Roi perd la raison. v.1424 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- À voir ce changement tout le peuple soupire, v.1429 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Que peut-on d'un enfant désirer de vengeance ? v.1457 (Acte 5, scène 8, LÉANDRE)
- Et cueillir cependant les fruits délicieux, v.1475 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Pour croire, qu'elle puisse incliner à leur peine , v.1494 (Acte 5, scène 8, LE DUC)
- Et permettez un mal qui n'a point de remède, v.1502 (Acte 5, scène 8, LE DUC)
- J'accorde votre grâce à votre repentance, v.1506 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Et toi, qui m'es plus cher que tu ne peux penser, v.1515 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Crois que je t'aime assez pour te récompenser. v.1516 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Et peuple par nous deux, la Sicile de Rois. v.1524 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
L'HEUREUSE CONSTANCE (1636)
- Voit sous de faux habits l'objet de sa pensée, v.7 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Il faut qu'un peu de mal en modère la joie ; v.16 (Acte 1, scène 1, TIMANDRE)
- La peine fait le prix, on chérit un plaisir v.17 (Acte 1, scène 1, TIMANDRE)
- Un cerf ne plairait pas qu'on aurait pris sans peine, v.19 (Acte 1, scène 1, TIMANDRE)
- Il faut en le courant avoir perdu l'haleine ; v.20 (Acte 1, scène 1, TIMANDRE)
- Vous plairont davantage après un peu de peine, v.24 (Acte 1, scène 1, TIMANDRE)
- Me peut-on reconnaître en ce vil équipage ? v.40 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Que de petits Amours volent dans ses cheveux, v.65 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Et qu'en ce peu de temps ils m'ont ôté de voeux ! v.66 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Pour souffrir maintenant de si basses pensées. v.72 (Acte 1, scène 2, TIMANDRE)
- Que je perde le jour si je vous suis d'un pas. v.100 (Acte 1, scène 3, FLORIS)
- Que les perles et l'or ne vous donneraient pas. v.112 (Acte 1, scène 3, FLORIS)
- L'art ne peut aiguiser des traits comme les vôtres, v.113 (Acte 1, scène 3, FLORIS)
- Où je n'ai d'entretien que mes pensers et toi. v.136 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- C'est peut-être aujourd'hui la fête du village, v.157 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Il fallait qu'en personne v.185 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Enfin vous auriez vu qu'avec toute sa peine v.193 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- D'un qui peut employer jusqu'à la violence, v.210 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Qui peut effectuer d'un empire absolu, v.211 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Aussi, qu'aucun respect le puisse modérer, v.219 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Qu'il me restât encore un peu de liberté. v.228 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Pourquoi rejetez-vous avecque tant de peine v.233 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- Êtes-vous disposée à soulager sa peine ? v.254 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Peut détourner du Roi le pouvoir tyrannique. v.262 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Le vain respect d'un frère a retenu ma voix v.267 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Je cherche les déserts, j'y parle de mes peines ; v.269 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- La repentance est due à ces faibles esprits v.283 (Acte 1, scène 3, FLORIS)
- Le temps ne peut briser la chaîne qui me lie, v.313 (Acte 2, scène 1, PÂRIS)
- Elle guérite peu l'honneur que vous lui faites, v.322 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
- Peux-tu par tes discours m'en faire le tableau ? v.352 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Voyez tout ce qui peut obliger à l'amour ; v.367 (Acte 2, scène 2, PÂRIS)
- Ou s'est-il repenti de son élection ? v.384 (Acte 2, scène 2, PÂRIS)
- Si tu ne sens ton coeur percé de mille traits, v.406 (Acte 2, scène 2, PÂRIS)
- Si tu lui peux nier ni tes voeux, ni ton âme, v.407 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si tu peux l'oublier, si tu n'es tout de flamme, v.408 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Mon esprit satisfait louera ta perfidie. v.412 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si vous me permettez de parler librement, v.413 (Acte 2, scène 2, LYSANOR)
- Avez-vous remarqué qu'il souffrait avec peine v.415 (Acte 2, scène 2, LYSANOR)
- Mais peut-on dire trop quand on parle des anges ? v.420 (Acte 2, scène 2, PÂRIS)
- Mais il faut obéir : Ah dieux ! En cette peine, v.423 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Qu'elle a trop peu d'attraits pour un si digne époux. v.438 (Acte 2, scène 3, TIMANDRE)
- Ne peut-on divertir vos résolutions ? v.454 (Acte 2, scène 3, ALCANDRE)
- Pour la rendre insensible aux pompes de ces lieux. v.458 (Acte 2, scène 3, ALCANDRE)
- Et qu'elle arrête peu dans les esprits des hommes ! v.472 (Acte 2, scène 4, PÂRIS)
- Et qu'il faut peu de chose à changer leurs desseins ! v.474 (Acte 2, scène 4, P?RIS)
- Le Roi s'est repenti de son élection. v.478 (Acte 2, scène 4, LA REINE)
- Et peignant un soleil, j'ai causé de l'ombrage ; v.488 (Acte 2, scène 4, PÂRIS)
- Et vos perfections sont plus dignes de moi, v.497 (Acte 2, scène 4, LA REINE)
- Dois-je espérer le prix, ou bien la repentance ? v.524 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Ne peuvent jamais prendre, et ne sont jamais pris ; v.538 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Elles peuvent donner et recevoir des flammes ; v.544 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Que tu nous peux contraindre à l'amour sans aimer. v.546 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Un ouvrier peut manquer, et, formant une chose, v.547 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Nature quelquefois peut désigner en vain, v.549 (Acte 3, scène 1, ROS?LIE)
- Qu'un honnête respect à sa froideur est joint ! v.557 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Mais, comme les miroirs, ils peuvent être faux, v.565 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Tu me peux repartir avecque deux paroles ; v.572 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Te parlant du brasier que tu ressens si peu, v.581 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Estime, cependant, que tous mes feux sont saints, v.589 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Il sait par quel moyen on peut toucher leurs âmes : v.596 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Ne peut-il vous toucher ? v.604 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Si l'amour vous peut faire haïr une couronne, v.605 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Qu'on ne peut l'être plus, que tu n'es pas plus belle. v.632 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Tu peux bien là-dessus t'assurer de ma foi. v.634 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Ce qui n'est pas encore, un instant le peut faire, v.643 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Il nous peut élever au trône de mon frère ; v.644 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- L'or peut ceindre nos fronts suivant l'ordre des ans : v.645 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Mais ne souhaitons point des fardeaux si pesants ; v.646 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Et mon front seulement est peint d'une couleur v.657 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- À ce perfide Roi vomir le sang et l'âme ! v.660 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Ma main, ma propre main lui percera le flanc, v.661 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Que je ferai dans peu mon époux et mon Roi. v.670 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Le peu que j'ai de bon, je le veux reconnaître v.687 (Acte 3, scène 2, PÂRIS)
- Possible perdras-tu fortune, femme et temps. v.714 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Monsieur, une couronne est-elle si pesante ? v.716 (Acte 3, scène 2, ARGANT)
- Je la porterai seul, j'accepte cette peine ; v.719 (Acte 3, scène 2, ARGANT)
- Peu savent ce qu'on souffre à régir un empire, v.723 (Acte 3, scène 2, PÂRIS)
- Où peux-tu, Lysanor, fonder ce jugement ? v.753 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Pensant tromper autrui, c'est se tromper soi-même. v.764 (Acte 3, scène 3, LYSANOR)
- Depuis qu'on est si froid, et qu'on parle si peu, v.765 (Acte 3, scène 3, LYSANOR)
- Mais si le ciel permet ce que j'ai projeté, v.797 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Elle sera sensible à l'excès de ma peine ; v.804 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Depuis qu'on a perdu l'objet de ses pensées, v.807 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Mille petits Amours en Cythère la font ; v.818 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- On peint l'obéissance aveugle et sans paroles ; v.836 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Et que l'unique peur de tes dards importune ; v.848 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Viens, aveugle déesse, en finissant ma peine, v.855 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Las ! Sans vous affliger, vous puis-je ôter de peine ? v.871 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Les effets sont enfin conformes à ma peur ; v.877 (Acte 3, scène 3, ROSÉLIE)
- Que ce tyran m'enjoint une inutile peine. v.900 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Adieu. Qu'en te perdant, ne perdais-je le jour ! v.902 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- La femme peut souffrir la plus cruelle injure, v.912 (Acte 4, scène 1, PÂRIS)
- Perdre sa liberté, voir piller ses trésors, v.913 (Acte 4, scène 1, P?RIS)
- Elle ne peut souffrir le mépris qu'on fait d'elle ; v.916 (Acte 4, scène 1, P?RIS)
- Le temps et la raison sont alors superflus ; v.917 (Acte 4, scène 1, P?RIS)
- Mais si l'on t'enlevait ?... Cette peur me soucie. v.944 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Qui se voudrait charger d'un fardeau si pesant ? v.946 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Peu d'enfants de mon âge ont si bien profité ; v.954 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Pour moi, je prise peu tous ces petits Narcisses, v.955 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Je sais faire le fol avecque peu de peine ; v.980 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- C'est de toi que dépend toute la comédie. v.988 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- As-tu perdu le sens dedans cette province ? v.995 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- D'autres souhaitent peu ces grandeurs souveraines ; v.1027 (Acte 4, scène 3, LE CONSEILLER)
- De toi dépend tout l'heur de notre destinée. v.1032 (Acte 4, scène 3, LE CONSEILLER)
- Ses yeux sont éblouis : mais tirez-moi de peine, v.1043 (Acte 4, scène 4, OGIER)
- Les gens que vous voyez dépendent de ma loi. v.1045 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Ont peut-être amaigri mon corps et mon visage ; v.1048 (Acte 4, scène 4, OGIER)
- En possède bien peu, s'il n'en possède plus. v.1078 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- S'ils s'aimaient un peu moins, deux lettres supposées v.1111 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Alcandre aura dans peu la lettre que j'envoie ; v.1116 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Croira que son hymen ne se peut plus distraire ; v.1120 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Je veux perdre le jour si je plains votre peine ! v.1136 (Acte 4, scène 6, ARGANT)
- Et la lumière encore est permise à mes yeux ! v.1146 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Mon esprit, toutefois, ne se peut dégager, v.1161 (Acte 4, scène 6, PÂRIS)
- Et je ne veux pour prix de ma persévérance, v.1163 (Acte 4, scène 6, P?RIS)
- Ah ! Que ne peux-tu voir, cher objet de mes voeux, v.1173 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Mettez fin à sa peine. » v.1191 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Que ne m'est-il permis, après ce que je vois, v.1204 (Acte 4, scène 6, ROS?LIE)
- Et ne songeons qu'à prendre une agréable peine, v.1222 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Et puis, assurons-nous en leur sexe perfide v.1224 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- La femme prise peu le titre de constante v.1232 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Pesant la qualité de l'appât qui la flatte, v.1248 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Le respect de la Reine est peu considérable. v.1253 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Mais je prévois dans peu la fin de mes exploits. v.1259 (Acte 4, scène 7, OGIER)
- Jamais de nos serments ce dieu ne nous dispense, v.1264 (Acte 5, scène 1, ROSÉLIE)
- Oblige-t-il encore à la persévérance ? v.1273 (Acte 5, scène 1, FLORIS)
- Qui penses-tu blâmer des ennuis que je sens ? v.1274 (Acte 5, scène 1, ROSÉLIE)
- L'Amour n'est pas auteur de cette perfidie ; v.1276 (Acte 5, scène 1, ROS?LIE)
- C'est bien m'entretenir de discours superflus, v.1278 (Acte 5, scène 1, ROS?LIE)
- Et le faire rougir de son peu de courage. v.1285 (Acte 5, scène 1, ROSÉLIE)
- Et ce dernier assaut ne vous peut-il dompter v.1302 (Acte 5, scène 2, FLORIS)
- Madame, un fol refus traîne sa repentance. v.1309 (Acte 5, scène 2, FLORIS)
- Portons ailleurs l'ardeur de nos voeux superflus : v.1318 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Pour ne l'adorer plus, il faut perdre la vie ; v.1337 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- Ma résolution ne se peut altérer, v.1338 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- « Au perfide sujet de mon cuisant souci ! » v.1344 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Ai-je offensé personne v.1345 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- Et faire voir mon sang aux plus perfides yeux v.1364 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- J'ai toujours eu pour vous de contraires pensées ; v.1395 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- Tu peux voir ce qu'il m'offre, et ce que je refuse ; v.1415 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Il ne me permet plus de douter de mon mal. v.1421 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- Mais s'il l'est de pensée, tu le seras d'effet. v.1429 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Pour la dernière fois j'ai sondé ta pensée ; v.1431 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- Puisqu'enfin nos esprits se sont tirés de peine, v.1442 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Vous ne consentez point à la fin de ma peine ? v.1447 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- J'ai pour elle une ardeur que rien ne peut distraire ; v.1459 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- Qu'il aille en cette horreur caresser les serpents, v.1468 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Si vous ne permettez que je suive ses pas. v.1473 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Et donne un peu de trêve à l'excès de ma peine. v.1475 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Peut gagner une place en ton affection ? v.1477 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Que peux-tu concevoir, chère et sage parente, v.1490 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Quelles intentions te peux-tu figurer v.1492 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Leur aspect ne saurait m'apporter d'allégeance, v.1506 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Je ne puis qu'en leur perte établir mon bonheur, v.1508 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Quittez en me voyant cette inutile peine, v.1522 (Acte 5, scène 4, ROSÉLIE)
- Vous pensez par le fard vos attraits augmenter, v.1524 (Acte 5, scène 4, ROS?LIE)
- Elle a perdu le soin d'éterniser les princes ; v.1535 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Les plus rares exploits se perdent sans renom ; v.1536 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- On ne peut trop hanter une beauté si rare, v.1546 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- La gloire à vos attraits ne peut être qu'avare. v.1547 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Ou bien vous résolvez à perdre votre coeur. v.1565 (Acte 5, scène 4, ROSÉLIE)
- Et la mienne ne peut se vanter de ces marques ; v.1583 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Cet objet ne peut-il divertir vos pensées ? v.1594 (Acte 5, scène 4, ROSÉLIE)
- Quel sujet vous oblige à prendre tant de peine ? v.1615 (Acte 5, scène 4, PÂRIS)
- Peut-on voir un objet à celui-ci pareil ? v.1637 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Vous dépeignant un jour la beauté de la Reine v.1646 (Acte 5, scène 4, PÂRIS)
- Qui vous causait alors une agréable peine, v.1647 (Acte 5, scène 4, P?RIS)
- On y peut bien trouver vos deux beautés ensemble. v.1659 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- M'est-il permis ici de paraître à vos yeux ? v.1673 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Au moins il m'est permis de parler librement, v.1676 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Qui se peut assurer de vivre sans pareille, v.1691 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Si dissemblable à vous ; si peu digne de plaire ; v.1703 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Il se peut assurer de coucher seul longtemps. v.1717 (Acte 5, scène 4, ARGANT)
- Si des crimes passés vous perdez la mémoire. v.1739 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Les reproches, monsieur, sont ici superflus, v.1740 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
IPHIGÉNIE (1641)
- Ma main de mes pensées si prompte secrétaire, v.6 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- La guerre à d'autres soins appelle ton usage, v.9 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Encor serait-ce peu, mais que pour ce carnage v.29 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Aillent percer le ciel ; de leurs superbes têtes : v.38 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- C'est un trésor sacré, que le penser d'un Roi, v.51 (Acte 1, scène 2, AMYNTAS)
- Que les plus grands honneurs soient les plus grandes peines. v.82 (Acte 1, scène 4, AMYNTAS)
- Tu l'oiras, allons un peu plus loin. v.92 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Ô nuit rends si tu peux ces lieux encor plus sombres, v.94 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Et de peur que quelqu'un n'adresse ici ses pas, v.95 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Et celle qui dispense et le mal et le bien v.111 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- Est au dessus de tout, et ne respecte rien. v.112 (Acte 1, scène 5, AMYNTAS)
- Écoute en peu de mots le sujet qui m afflige : v.134 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Que son père en perdit la liberté du choix : v.148 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Ne la peut ni donner ni refuser aussi ; v.156 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Par là tu peux juger que j'étais de la presse > v.161 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Et qu'on la peut ravoir au danger de sa vie : v.166 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Pour ne favoriser ni desservir personne, v.177 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- À peine il s'est rangé sous cet hymen funeste, v.185 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- En superbe appareil brillant d'or et de soie, v.189 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Résout de l'enlever et fans beaucoup de peine v.193 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Hélas que le plus vain peut bien voir sans envie, v.205 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Quand tous prêts nous pensions aller lancer la foudre v.209 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Hélas ! Peu s'en fallut que ma douleur extrême, v.221 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Au point qu'on peut juger la perte de sa femme, v.230 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Et pour tromper ma femme écris qu'Iphigénie v.237 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Nature qui ne peut souffrir que je l'offense, v.246 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- M'a pour les détromper mis la plume à la main, v.248 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Afin que se perdant comme il peut avenir. v.255 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Va ne fais point de grâce à ces membres pesants v.279 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Cours vole et ne prend point de dispenses en tes ans. v.280 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Je sais trop quel respect nous devons a tes lois, v.299 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- J'offense tout un peuple a mon pouvoir soumis, v.315 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Rappelle Agamemnon, rappelle ton courage : v.318 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Que le ciel pour ma perte arme tout son pouvoir, v.327 (Acte 1, scène 7, AGAMEMNON)
- L'affaire me regarde, elle me le permet. v.340 (Acte 2, scène 1, MÉNELAS)
- Je fouillerai mon sceptre aux dépens de ta tête. v.346 (Acte 2, scène 1, MÉNELAS)
- Croyez-vous que la peur m'ait interdit la vue. v.357 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Pourquoi s'il me trahi lui dois-je du respect, v.363 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- S'il ne me trahit point, pourquoi suis-je suspect ? v.364 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- L'esprit ne doit penser que ce que dit la bouche. v.366 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Et peut justifier cette insolence extrême. v.373 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Vous vous êtes fait chef des troupes de la Grèce. v.386 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Le font ne portait pas l'image du penser : v.388 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Vous fermâtes au peuple et l'oreille et la porte, v.405 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Vous marchâtes suivi, d'une pompeuse escorte, v.406 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Il les peut enfermer ou les mettre dehors, v.420 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- D'agréables sujets de rire à vos dépens, v.432 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Mais la perte en effet que vous plaigniez dans l'âme, v.441 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Il sied moins d'offenser, à qui plus est permis, v.487 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Et je respecterais jusques à mes ennemis. v.488 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Que vous a fait ce sein que vous voulez percer : v.492 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Sa mauvaise conduite et sa perte est suivie, v.510 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Et que je rétablisse aux dépens de ma fille, v.513 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Recouvrer ces serveurs peut être après la proie, v.517 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Et qu'il dépend de moi de ne l'exposer pas, v.527 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Pour vous rendre une ingrate et perfide compagne, v.534 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Et vous étouffera peut être à son retour, v.536 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- À Dieu y contentez-vous de ce peu de paroles, v.541 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- Que mon affliction vous est si peu commune. v.550 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Outrages sans respect tout le monde et vous-même, v.558 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- S'il peut en un ami se rencontrer un frère, v.562 (Acte 2, scène 2, M?NELAS)
- Grand Prince que le ciel ne peut sans jalousie, v.565 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Qui vont sous vos drapeaux signaler leurs exploits : v.568 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Ha ! N'en appelons plus cette espérance est vaine, v.573 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- De quel front déguisé puis-je couvrir ma peine, v.597 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Mais puis que nous voyons qu'il ne nous peut manquer, v.607 (Acte 2, scène 3, MÉNELAS)
- Mais un frère perdu ne se recouvre pas, v.616 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- La Grèce dont ce bras soutient toutes ces peines, v.617 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- Ce siège ne me peut rendre rien de si doux v.623 (Acte 2, scène 3, M?NELAS)
- Il sait qu'il ne peut nuire au succès de sa cause, v.630 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Et qu'il peut sans danger de l'exécution, v.631 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Et du sacré respect qu'il doit aux immortels, v.636 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Que sans peur d'abstenir il vous peut demander v.643 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Et qu'il vous peut prier sans vous persuader, v.644 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- A l'honneur de la Grèce et l'effroi des Pergames, v.650 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Et quel plus digne sang nous peut-il refuser : v.667 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Mais faites s'il se peut et priez en cachette, v.690 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Sa peine me serait une seconde peine. v.693 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- D'abord le changement fait un peu de contrainte, v.704 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Et ne peut toutefois ouïr rien de plus doux, v.707 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Sachant ce que tu dis, tu perdrait cette envie. v.745 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Qui peut si vous voulez, m'éloigner de vos yeux, v.746 (Acte 3, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Dépends-tu pas des Dieux. v.747 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Contente leur désir, permets leurs-en la vue, v.763 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Vous lui donnez des pleurs quelle ne vous peut rendre. v.776 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Les Dieux qui peuvent tout, feront tout pour leur gloire. v.784 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Portez-y le respect qu'impose votre vue : v.796 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Et que hors de son centre on perd son ornement. v.826 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Ce Chef de tous les Grecs ne peut vaincre sa femme, v.839 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Honneur peste des moeurs, noir poison de la vie, v.842 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Et que quand nous prenons superbes que nous sommes, v.846 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Que l'on donne matière, ou dispense à leurs faits, v.867 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Elle occupe des Rois les veilles et les peines : v.881 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Vers votre Majesté mon respect me dispense. v.893 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Ou bien de la mémoire ai je perdu l'usage ? v.897 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- La persuasion m'en sera plus facile ; v.905 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Quant ce triste respect me coûterait la vie, v.920 (Acte 3, scène 6, AMYNTAS)
- Ô Dieux ! De la raison, as-tu perdu l'usage ? v.925 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Et vous serviez Seigneur d'instrument à sa perte, v.932 (Acte 3, scène 6, AMYNTAS)
- Que respecterez vous après cette aventure. v.941 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Et je vous prouverai peut être utilement, v.946 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Peut souffrir que mortelle à ses pieds je m'abaisse, v.949 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Pour m'être favorable et pour plaindre ma peine, v.952 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Je ne perds pas un Sceptre, et je ne voudrais pas, v.954 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- La perte d'un enfant nous est plus amère ; v.956 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Pour le respect du sang où l'honneur vous convie, v.968 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Conservez-moi ma fille et détournez sa perte, v.972 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- C'est par où se maintient le respect des couronnes, v.985 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Et tout ce qui se peut attendre de mes armes, v.997 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Dont on ne peut douter que je ne m'aide bien, v.998 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Et pour être appelé l'auteur de son trépas, v.1006 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Nous ne saurions, Seigneur, avec trop de respect, v.1030 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Pour vous importuner paraître à votre aspect. v.1031 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Rendez lui ces respects, joignez-y la prière, v.1037 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- Que la terre et le ciel pour ma perte s'assemble, v.1040 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Et ne vous voyant plus pensez-vous que mes yeux, v.1046 (Acte 4, scène 1, ARDÉLIE)
- Qu'il perce auparavant le flanc d'où elle sort, v.1095 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ce mauvais naturel qui ne respecte rien, v.1111 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ils vinrent en Argos, mais votre repentir, v.1126 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Si vous ne respectez votre propre famille, v.1152 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Si pour des parricides il doit des récompenses, v.1173 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Peut être espérez vous qu'après le sac de Troie, v.1176 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Grand Prince, car d'oser vous appeler mon père, v.1188 (Acte 4, scène 3, IPHIGÉNIE)
- Qui vous ait appelle de ce doux nom de père, v.1193 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- En vous voyant pour moi si peu de sentiment, v.1207 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- Ô fatale beauté, pernicieuse Hélène, v.1228 (Acte 4, scène 3, ARDÉLIE)
- Quelle que soit la perte il s'y faut préparer, v.1254 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- C'est perdre encor le temps que d'en délibérer. v.1255 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Par qui la loi du sang fut si peu révérée, v.1257 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Cette main peut pécher contre la même loi, v.1263 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Qui ne peut qu'irriter la colère des Dieux, v.1267 (Acte 4, scène 4, IPHIGÉNIE)
- La mort qu'on vous prépare et la peine où je suis, v.1274 (Acte 4, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Vile fange d'en peuple indigne de mes coups. v.1282 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- Ne se peut arrêter sans de puissants efforts. v.1307 (Acte 4, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Sur tout autre respect l'honneur m'est précieux, v.1314 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- La pointe en est aigüe et la trempe en est forte. v.1317 (Acte 4, scène 5, ACHILLE)
- J'en ferai sur les Grecs la preuve à leurs dépens, v.1319 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Puisque de ce mépris vous accroissez ma peine, v.1348 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Je suivrais sans respect la fureur qui m'anime, v.1360 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Quand un peuple au courroux lâche une fois la bride v.1364 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Quand je perdrais pour vous une seconde vie, v.1368 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Souffre aussi peu de prix que de comparaison : v.1371 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Qu'il peut bien perdre Achille avec Iphigénie, v.1377 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Il importe fort peu que le coup que j'attends, v.1386 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Mourir n'est plus mourir, c'est tirer de peine v.1389 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Doit mourir sans regret, s'il ne peut vivre heureux. v.1391 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Déferez, ce respect a son autorité, v.1470 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Si comme tes rayons dissipent tes vapeurs, v.1477 (Acte 5, scène 1, MÉNELAS)
- Ils peuvent pénétrer les ténèbres des coeurs : v.1478 (Acte 5, scène 1, M?NELAS)
- Dieux ! J'entends ce discours, et nous sommes en peine v.1503 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Pourquoi le Ciel permet l'enlèvement d'Hélène, v.1504 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Sur qui peut justement éclater son courroux, v.1505 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Et votre complaisance à peine se résout v.1529 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Peut s'il veut dès ce soir arrouser ses autels, v.1534 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Il n'en peut à ses mains coûter qu'un coup de foudre. v.1536 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Vous ne vous repentiez et de m'avoir cru trop tard. v.1542 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Qui perd avec douleur, perd pourtant en effet. v.1558 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Si le zèle est petit, l'oeuvre n'est pas petite, v.1560 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Cette troupe en vos mains amène votre proie, v.1567 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Permettez, que j'arrive où m'attend à la Déesse ; v.1572 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Allons, fuyons, Seigneur, ces effort superflus. v.1585 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Ôte-toi, ce sanglot me coupe la parole, v.1624 (Acte 5, scène 2, AGAMEMNON)
- Ne souille le respect des autels de Diane : v.1628 (Acte 5, scène 2, TALTHIBIE)
- Avec si peu de coeur, la moitié de moi-même. v.1636 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ne peut-être au vainqueur qu'une gloire suprême ; v.1652 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et cependant le Ciel qui connaît ma constance, v.1659 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- C'est peu que la clarté par lui me soit ravie, v.1663 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Si vous ne respectez les hommes ni les Dieux, v.1666 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Respectez votre honneur, tenez votre parole, v.1667 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Je ne saurais souffrir que vous perdiez le jour. v.1686 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ô Grèce ! Peuple lâche entre tous les humains, v.1701 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Ou contre l'insolence et l'orgueil des Pergames v.1703 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Pour Diane et pour soi montre si peu de zèle, v.1712 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Pour elle notre ardeur a peu de violence, v.1723 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Et peut rompre un dessein si prêt, si confirmé, v.1725 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- Je n'avais qu'à tarder encor un peu de temps, v.1737 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Une fille en eut fait l'épreuve à ses dépens. v.1738 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Il faut que je m'occupe à calmer vos débats : v.1770 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Achille, sauvez-vous, une inutile peine, v.1771 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Diane t'appelant, n'arrête pour personne, v.1775 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- On me permettra donc de devancer ses pas, v.1777 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- De sa témérité, voici la récompense, v.1780 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Voici de quoi me perdre, ou de quoi la sauver, v.1781 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et si quelqu'un en doute, il le peut éprouver. v.1782 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Cet amour reconnu vous toucherait peut-être, v.1791 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- À qui puis-je appeler de cet arrêt fatal, v.1801 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- En a plus de mérite, et se fait moins de peine. v.1804 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Puisque vous craignez tant de soulager ma peine, v.1828 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Non vous n'entreprenez cette superbe ville, v.1831 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Aux dépens de vos jours que pour tuer Achille. v.1832 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Si la fille si trop peu, demande encor le père : v.1856 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- De ces épais rameaux perce l'obscurité. v.1866 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
HERCULE MOURANT (1636)
- Ne me peut-il porter avec ce rude faix ? v.20 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- L'impuissante qu'elle est n'en peut borner le cours v.24 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Je donne aux immortels la peur que j'ôte aux hommes. v.42 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Junon, dont le courroux ne peut encor s'éteindre, v.49 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- En a peuplé le ciel pour me le faire craindre. v.50 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Son pays déconfit altère peu sa gloire, v.66 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Elle aimait le vainqueur et méprisait sa perte. v.70 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Jamais perte aux vaincus n'a tant coûté de pleurs, v.71 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Son esprit fut troublé, son teint perdit ses fleurs ; v.72 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Qu'Iole a regretté la perte d'Euritée. v.74 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Et de combien sa joie a surpassé sa peine ! v.78 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Quel timide respect à votre amour est joint ! v.87 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Ma curiosité vous met la peur au sein ; v.92 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Penses-tu qu'ils m'aient fait des blessures légères, v.110 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Non, perds ces faux soupçons et que ta crainte meure ; v.113 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Cependant, mon souci, soigne que dans une heure v.114 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- À parler et paraître à l'aspect de mon père. v.118 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Et ces fleurs dont jadis mon visage fut peint v.131 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- Ont bien mis sur ton teint de plus douces peintures ! v.146 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Si je gâte ces fleurs, tu les peux corriger, v.151 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Réponds d'un peu d'amour à l'ardeur qui m'enflamme, v.157 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Parce que j'aimais trop, je fus un peu cruel, v.175 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Ô cruelle beauté ! Trompeuse ! Image vaine ! v.177 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Que le Ciel m'a vendue au prix de tant de peine, v.178 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Et que chaque moment renouvelle mes peines ; v.190 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Ne peuvent m'obliger à cette lâcheté. v.200 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Dompte malaisément ce qui dépend de l'âme ; v.214 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Un heureux désespoir en peut ôter l'empire ; v.218 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Mourant, il peut franchir cette barbare loi, v.219 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- L'amour peut arracher quelques mots de ma bouche, v.226 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Mais de t'outrager plus, Hercule ne peut pas. v.228 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Dont te peut menacer mon aveugle caprice, v.230 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Ni le temps qui peut tout, ne peuvent rien pour vous. v.236 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Quel signe en faut-il plus ? Le voila, le perfide v.241 (Acte 1, scène 1, DÉJANIRE)
- Appelle mes baisers et dit que je la touche ! v.254 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Vois que sur ce beau sein les lys à peine, éclos v.255 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Appelle lâcheté, faiblesse, trahison, v.263 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- D'où naît mal à propos cette inutile peine, v.269 (Acte 1, scène 1, IOLE)
- Perdez ce qui vous perd, pourquoi différer tant ? v.275 (Acte 1, scène 1, IOLE)
- Ma mort peut empêcher ce honteux accident, v.283 (Acte 1, scène 1, IOLE)
- Et le désespéré se sauve en se perdant. v.284 (Acte 1, scène 1, IOLE)
- La perte d'Oechalie et la mort de mon père. v.286 (Acte 1, scène 1, IOLE)
- Ingrate, dis plutôt la perte de ton coeur. v.287 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Ô Junon ! perds ce traître, envoyé un monstre ici, v.327 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- S'il est quelque serpent, horrible, épouvantable, v.329 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Fais moi capable d'être et son monstre et sa peine ; v.334 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Change, si tu peux tout, ma figure, et rends moi v.335 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Telle qu'on peint l'horreur, et la rage, et l'effroi ; v.336 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Pourquoi perds-tu du temps à tirer de la terre v.337 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Dont le père a suivi ses peuples, déconfits, v.355 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Et, pour avoir charmé les yeux de ce perfide, v.357 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Pire que ses serpents, son hydre et son lion. v.364 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Il faudra que je perde ou divise son coeur, v.367 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Il ne daigne à mes yeux cacher sa perfidie, v.373 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Et peut-être en son coeur déjà me répudie. v.374 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Qui ne peut inventer un trop dur châtiment ! v.376 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- C'est trop délibérer, imagine une peine v.377 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Ma peur ne rendra pas ce perfide impuni ; v.387 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Qu'il croisse de ma perte encor sa renommée, v.397 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- On se perd doucement quand on perd ce qu'on hait, v.403 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Hercule peut aimer cette jeune étrangère, v.405 (Acte 2, scène 2, LUCINDE)
- Sa main peut en cent lieux mépriser sa conquête, v.409 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Qui dispense vos mains de tenter ce forfait ; v.416 (Acte 2, scène 2, LUCINDE)
- Il peut d'un mot dans l'air arrêter le tonnerre ; v.422 (Acte 2, scène 2, LUCINDE)
- Peuvent sur son esprit faire un utile effort ? v.428 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Il ne peut par ses vers finir mon infortune v.429 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Écoute : sous le temple, un peu loin du palais, v.439 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Qui peut seul alléger le mal qui me possède ; v.442 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Quand, pensant approcher ce rivage d'Evene, v.449 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Il me met sur sa croupe, où sa course rapide v.453 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Il crie, appelle, court ; mais il travaille en vain ; v.464 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Que six hommes ensemble occupent moins de place. v.482 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- N'est plus qu'une eau rougeâtre et qui n'y peut paraître. v.486 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Dieux ! Quel sort inhumain, pour augmenter ma peine, v.489 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Aux dépens de son bien et de tout son bonheur, v.495 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Et peut-être aux dépens même de son honneur. v.496 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Puisque mes pleurs sont vains et mes cris superflus, v.503 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Il te faut Jupin même, et c'est trop peu d'Hercule ! v.514 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Ô Ciel ! Peux-tu souffrir les ennuis que je sens, v.515 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Triomphe à mes dépens de cet esprit volage, v.526 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Tous tes regards ensemble y suffiront à peine ; v.530 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- J'appelle mes démons ce qu'il nomme ses dieux. v.532 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Lui comme un doux poison et moi comme une peste. v.534 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- De ma perte dépend leur commune allégeance ; v.545 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Si parmi ses ennuis on le peut reconnaître, v.561 (Acte 2, scène 3, ARSIDÉS)
- C'est ne me perdre pas, que me sauver d'Alcide, v.585 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- N'appelle, cher Arcas, dessein, ni cruauté, v.587 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Et mes mains, cher Arcas, les en dispenseront. v.604 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Et prête à ce devoir un oeil respectueux. v.624 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Qu'à couper de Cérès la chevelure blonde ; v.638 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Mais Alcide souffrant d'insupportables peines, v.653 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Par mes propres efforts n'en peut être arraché ? v.656 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Il ne peut éviter son aveugle colère v.669 (Acte 3, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Que monstres, que serpents, que pestes et que rage, v.674 (Acte 3, scène 1, PHILOCT?TE)
- Et ne fais point de jour alors que je le perds. v.680 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Tu perds ta sûreté, lorsque tu perds Alcide, v.686 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- La Thessalie encor peut fournir des Titans v.687 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Peuvent à tes dépens s'acquérir des trophées ; v.690 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Romps ce qu'on t'ôterait, perds tout en me perdant, v.696 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Qu'il peut tout enflammer et que rien ne l'éteint. v.708 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- N'est pas sous Pelion, sous Olympe ou sous Osse, v.722 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Peux-tu, faible Junon, vanter cette journée v.737 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Une autre a sur ma perte établi son bonheur, v.739 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Ou que, n'expira-t-il sous le serpent de Lerne ? v.754 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Noble elle me fuyait. Honteuse elle m'appelle, v.758 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Mange son coeur jaloux, bois son perfide sang, v.767 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Lucinde, quel effroi, quelles cruelles peines ? v.769 (Acte 3, scène 3, DÉJANIRE)
- Ô prodige ! Ô spectacle épouvantable à l'oeil ! v.792 (Acte 3, scène 3, DÉJANIRE)
- La gloire et la terreur de ce siècle pervers, v.808 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Dont une telle perte est l'effet malheureux. v.816 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Il pleure, il tonne, il peste, et ses cris furieux v.823 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Percent jusqu'aux enfers et montent jusqu'aux cieux. v.824 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Ne peut former encor qu'un timide dessein ; v.828 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- Ses yeux perdent le jour, et moi je le respire, v.833 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et, puisque tu peux tout, sois son vengeur aussi. v.836 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Frappe ce lâche sein du trait de ton tonnerre v.837 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Dont de tant de géants tu fis si peu de poudre, v.842 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et de sa propre main ne se peut secourir ? v.848 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Lâche, je permettrai qu'on m'impute le blâme v.849 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Qu'en un endroit du roc ma main reste pendue, v.857 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et ma peau déchirée, en d'autres étendue ; v.858 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et mourir d'un seul coup, c'est trop peu le venger. v.860 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Sauvez, en le perdant, quelque chose de lui : v.864 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Hylus l'ayant perdu, qu'il lui reste une mère, v.865 (Acte 3, scène 4, LUCINDE)
- Ha ! Je découvre enfin l'appareil de ma perte, v.893 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- Vont ajouter ma perte à leurs tragiques oeuvres. v.898 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Il est prêt à sortir, piquez, percez ce flanc. v.900 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- À ce coup, à ce coup, je vais perdre le jour, v.903 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et je veux différer une si juste peine ; v.906 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Ton crime serait beau s'il n'était un peu lâche, v.922 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Peuples que j'ai servis, rois que j'ai protégés, v.927 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- D'où me naît cette peste, et quel est ce poison ? v.932 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Et que ce traître esprit peut-être recueillit. v.936 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- De mes nerfs les plus forts cette peste dispose, v.937 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Que ne puis-je avec vous partager cette peste ! v.942 (Acte 4, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Conserver le vengeur de ce siècle pervers ! v.944 (Acte 4, scène 1, PHILOCT?TE)
- Ce meurtrier de serpents, ce dompteur de lions ? v.948 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Qui ne peut consommer, qui résiste à la flamme, v.962 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Quoi ! Mon mal par la mort ne peut être allégé, v.967 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- D'un regard de pitié daigne percer la nue, v.973 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Et sur ton fils mourant arrête un peu ta vue : v.974 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Qu'à d'étranges desseins tu portes la pensée ! v.1018 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Qu'appréhendait ton peuple et que faisaient tes fers ? v.1028 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Et ma confusion dissipera sa honte. v.1034 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Et l'air lui donne à peine un peu d'allègement. v.1048 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Ciel, sois nous favorable et soulage sa peine, v.1049 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Sa guérison peut-être, après ce long tourment, v.1055 (Acte 4, scène 2, PHILOCTÈTE)
- Où ce mortel poison a commencé ma peine. v.1078 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- De quoi se peut nourrir cette flamme cruelle ? v.1081 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Iras-tu regretter ta perte sans seconde ? v.1090 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Ô maison dzsolée ! Ô perte déplorable ! v.1097 (Acte 4, scène 3, AGIS)
- Son supplice était juste, et mon oeil ne peut pas v.1103 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Non pour se conserver, mais pour perdre le jour ; v.1120 (Acte 4, scène 3, AGIS)
- Et sans qu'Alcide même ait peu clouer sa roue. v.1142 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Et ce linge par elle imbu de cette peste v.1161 (Acte 4, scène 4, ALCMÈNE)
- Par ces mots à peu prés m'a prédit ce martyre : v.1166 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Il fit nos propres mains complices de sa peine. v.1206 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Il coupe, arrache, rompt, jusques à la racine. v.1210 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- L'un frappe sur le chêne et l'autre sur l'ormeau ; v.1212 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Les cerfs sont étonnés d'y perdre leurs ombrages, v.1217 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Le plus petit oiseau ne peut où s'y percher, v.1219 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Il y jette la peau du monstre de Némée : v.1225 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Il nous embrasse tous, et tous pleurent sa perte. v.1262 (Acte 5, scène 1, PHILOCT?TE)
- Et montra pour sa perte un courage si tendre v.1274 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Petits dieux, méditez sur ce malheur extrême, v.1281 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Que plaindre et que nourrir une éternelle peine ? v.1294 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Quels titres glorieux flatteront ma pensée, v.1297 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Que la perte du jour était peu regrettable v.1301 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Ont respecté le père à cause de son fils ! v.1304 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Récompense aujourd'hui les faveurs de ma couche ; v.1310 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Arcas m'importe peu, mais j'ignore son crime. v.1326 (Acte 5, scène 2, PHILOCTÈTE)
- Mais en sa perfidie Arcas n'eut point de part. v.1335 (Acte 5, scène 2, PHILOCTÈTE)
- Cessez à mon fuseau vos travaux superflus ; v.1359 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Que son oncle une fois soit touché de ma peine, v.1365 (Acte 5, scène 2, ALCM?NE)
- Mais tous respects sont vains contre la loi d'Alcide. v.1382 (Acte 5, scène 3, PHILOCTÈTE)
- La plainte qu'on permet à des désespérés v.1403 (Acte 5, scène 3, ALCMÈNE)
- Tu frapperas Arcas, puisqu'il est dans mon coeur. v.1412 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- La vertu ne peut rien où le vice est puissant. v.1423 (Acte 5, scène 3, ARCAS)
- Qu'ils perdent la coupable et sauvent l'innocent. v.1424 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- Ce coup, puisque le Ciel permet leur tyrannie, v.1433 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- L'orage se dissipe et les cieux sont ouverts ; v.1447 (Acte 5, scène 3, PHILOCTÈTE)
- Qu'au sein de sa maîtresse il termine, ses peines v.1456 (Acte 5, scène 4, HERCULE)
- Que tous les peuples de ce lieu v.1463 (Acte 5, scène 4, HERCULE)
- Arrête un seul instant... Mais en vain je l'appelle, v.1469 (Acte 5, scène 4, ALCMÈNE)
- Léger il se redonne à la troupe immortelle. v.1470 (Acte 5, scène 4, ALCM?NE)
- De ce couple d'amants la peine soit bornée. v.1474 (Acte 5, scène 4, ALCM?NE)
COSROËS (1649)
- Madame, un peu moins de colère ! v.2 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Je saurai bien, perfide. v.6 (Acte 1, scène 1, SYRA)
- À qui lui déplaira, faire perdre le jour, v.7 (Acte 1, scène 1, SYRA)
- Pour savoir à quel point, je le dois respecter, v.11 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- J'ai pour lui le respect, qu'il dut avoir pour moi. v.16 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Ne se peut pas vanter, d'une tige Royale ; v.30 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Et qu'avant que la Perse, obéît à vos lois, v.31 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Il faut bien du respect, à souffrir vos mépris ! v.44 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Mais dans ce grand projet, à quoi vous l'occupez, v.59 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- À leurs superbes pieds, il voit des précipices, v.61 (Acte 1, scène 1, SYROES)
- Vous peut-on dépouiller, du droit qui vous la donne ? v.87 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Elle ne vous peut rendre un plus mauvais office ; v.95 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Moquez-vous d'un dessein, qui ne peut rien produire ; v.103 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- En elle respectez, la passion du Roi : v.105 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- J'ai pour lui des respects, dont j'obtiens peu de fruit, v.109 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Et j'estime trop peu, l'éclat d'une Couronne, v.114 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Ce n'est qu'un joug pompeux, le repos m'est plus doux ; v.116 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Mais qu'en un peu de temps, vous aura fait connaître, v.122 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Vous conduira sans peine, où votre mère aspire ; v.127 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- L'Europe, si féconde, en puissance suprême, v.134 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Et quand elle peut tout, quand elle est souveraine, v.170 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Et sage, détruisez, ce qui vous peut détruire ; v.175 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Quoi, Mardesane, au trône, occupera ma place ! v.179 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Quel crime, ou quel défaut, me peut-on reprocher, v.184 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Que la haine respecte, et ne saurait ternir ; v.193 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Sans peine, vous verrez votre ligue formée, v.210 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Des Satrapes, encor, tout le corps irrité, v.216 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Comme un soleil naissant, le peuple vous regarde, v.230 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Traîner si loin, son âge imbécile, et penchant. v.233 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Toute la Perse agit, et meut par son caprice ; v.239 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Qui peut insolemment prétendre à votre rang, v.244 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Contre tous ses desseins, la Perse soulevée, v.253 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Ses Satrapes proscrits, ses trésors épuisés, v.256 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Par son exemple, hélas ! M'est-elle plus permise ! v.262 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Et me produira-t-elle, un moindre repentir. v.263 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Pour y faire à son fils, occuper votre place. v.266 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Peut bien n'épargner pas, celui qu'il a donné. v.272 (Acte 1, scène 3, PALMYRAS)
- Coupable, je le souille, innocent je le perds, v.279 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Et ne puis-je occuper un trône héréditaire, v.285 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Au mépris de vos droits, et de la loi Persane, v.293 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- On a peine à le croire, et chacun en murmure ; v.298 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- Quoi que l'on dissimule, on ne peut voir sans peine, v.305 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- De son chef, qu'elle perd, encor toute alarmée ; v.314 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- Et pour peu, qu'on la porte à vous donner les mains, v.315 (Acte 1, scène 4, PHARNACE)
- Si le trône, nous peut sauver de son courroux, v.323 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- À moi-même, par eux, la Perse me demande, v.329 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- Oui, Princes, oui mes droits, oui Perse, oui mon pays, v.331 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- Qui m'appelle à mon trône, et m'y montre ma place. v.338 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- La Perse, à ce grand coeur, reconnaîtra son Maître ; v.342 (Acte 1, scène 4, PALMYRAS)
- Le besoin presse, allons ; ne perdons plus de temps, v.343 (Acte 1, scène 4, PALMYRAS)
- Je ne puis arriver, où mon Père m'appelle, v.358 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Achevez de me perdre, et dedans son tombeau, v.359 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Et me peignant l'horreur, de cet acte inhumain ; v.367 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- N'apercevez-vous pas, dans cet épais nuage, v.369 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Un spectre décharné, qui me tendant le bras, v.375 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Ô dangereux poison, peste des grandes âmes, v.377 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Et qui pour t'assouvir, ne peut rien épargner, v.379 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- De ce malheur, Seigneur, perdez le souvenir, v.395 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Tout l'État, où j'occupe un rang illégitime, v.397 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- L'aversion du peuple, et celle des soldats, v.399 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Cosroës m'est plus cher, qu'un Monarque de Perse ; v.418 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Et nous ne perdons rien, lorsque le même rang, v.423 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Pour croire, avec l'État, devoir perdre vos voeux ; v.428 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Je sais, que votre amour, s'attache à ma personne, v.429 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Que je ne pense au front, d'où j'osai l'arracher ; v.436 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Mais peut-il l'accepter, Seigneur, sans attentat v.455 (Acte 2, scène 1, SARDARIGUE)
- Voulez-vous voir armer la Perse contre soi, v.459 (Acte 2, scène 1, SARDARIGUE)
- Votre seul intérêt, Seigneur, m'en peut priver, v.467 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Je le perds sans regret, quand il vous faut sauver ? v.468 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Peut dessus qui lui plaît reposer sa vieillesse ; v.474 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Syroës, appuyé, du droit qu'il peut prétendre, v.477 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Sitôt qu'il régnera, ne voudra plus dépendre ; v.478 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Et ce seront vos lois qu'il vous dispensera. v.500 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Je n'ose plus avant, vous ouvrir ma pensée ; v.514 (Acte 2, scène 1, SARDARIGUE)
- Cependant, pour ne rien tenter à notre honte, v.521 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Si vous voulez (grand Roi) voir le peuple en courroux, v.523 (Acte 2, scène 1, SARDARIGUE)
- Le peuple parle assez, mais exécute peu, v.531 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Et qui bientôt m'appelle, au tribunal céleste ; v.541 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Ne peuvent toutefois, entier m'ensevelir ; v.544 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Me le perpétuer, et renaître vivant, v.548 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Occupez-les, Seigneur, j'en serai glorieux, v.563 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Peut trouver en son sein, un coeur irrésolu. v.580 (Acte 2, scène 2, SYRA)
- Un trône attire trop, on y monte sans peine, v.585 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Et pour n'y rencontrer, qu'un fameux repentir. v.588 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Des Satrapes, mon frère, a les intelligences, v.609 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Peuvent-ils négliger, l'occasion si belle, v.617 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Quand elle se présente, ou plutôt les appelle ? v.618 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Sera-t-elle, en ce trouble, ou crainte, ou respectée ; v.622 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Qui veut faire usurper, un droit illégitime, v.625 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Un sceptre, à le porter, perd beaucoup de son poids ; v.631 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Pour manquer de respect, à ce que vous aimez ; v.648 (Acte 2, scène 3, SYROES)
- Cependant, recevez, l'ordre, qu'on vous apporte, v.674 (Acte 2, scène 3, COSROES)
- Dispenser les destins, des peuples, et des Rois ; v.688 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- L'État qui vous appelle, et qui vous idolâtre ; v.694 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Il n'est plus de respect, qui doive retenir, v.695 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Tout le Peuple est pour vous, tout le Camp vous convie ; v.698 (Acte 2, scène 4, SARDARIGUE)
- Enfin, selon mes voeux, malgré la Loi Persane, v.709 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Ne peut mettre d'obstacle à notre autorité ; v.716 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Règne, et fait, aujourd'hui, le destin de la Perse. v.718 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- C'est ce que ma raison, ne peut s'imaginer. v.732 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- On peut souffrir l'effet, d'une grande entreprise ; v.734 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- On détruit s'il se peut, ce que l'on a permis ; v.736 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Le sort est inconstant, et le peuple est trompeur. v.739 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- L'arrêt de Syroës, me lève cette peur. v.740 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- L'amour perd de son prix, quand on la sollicite, v.749 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Madame, il est tout vôtre, et peut tout pour vous plaire ; v.754 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Choisisse, en l'un des deux, l'instrument de sa perte ; v.761 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Madame, au seul penser, d'un destin si funeste, v.765 (Acte 3, scène 1, HORMISDATE)
- Qui tremblent au penser, de tous les accidents ; v.784 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- La Perse, sous ces noms, vient de le reconnaître. v.798 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- De te saisir de moi, perfide ? v.801 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Attente à ma personne, et sert mes ennemis ! v.804 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Je ne trouve au besoin, personne à ma défense ; v.806 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Flatteurs, faibles amis, vile peste des Cours, v.807 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Dedans Persépolis, dans la Maison Royale ! v.814 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Ma plainte est inutile, et mes cris superflus ? v.815 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Allons, votre parti, ne trouvera personne. v.817 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Un reste de respect, défend la violence ; v.830 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- J'ai peine à vous traiter, avec indignité, v.831 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Quand par un détestable, et perfide attentat, v.835 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Le perfide a longtemps couvert sa trahison, v.840 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Mais si cette vapeur, s'exhale, en éclatant, v.847 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Si le sort peut changer, comme il est inconstant ! v.848 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Les bourreaux laisseront, de cette perfidie v.849 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Foule aux pieds tout respect, traîne, et n'attends pas traître ; v.857 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Perfide, après ma place, en mon trône usurpée ! v.865 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Vôtre, un père vivant ! et pendant que je vis ! v.867 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Appelez-vous l'État, Pharnace et Palmyras ! v.875 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Quand on m'a voulu perdre, ils m'ont tendu les bras. v.876 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Ces horreurs de mes yeux, ces odieuses pestes, v.886 (Acte 3, scène 3, SYRA)
- Peu de chose vous reste, et l'arrêt de deux têtes, v.905 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Leur perte vous conserve ; et c'est à cet effort, v.907 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Mais ces raisonnements, enfin sont superflus, v.919 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Je regrette d'un père, ou la perte, ou la fuite, v.921 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Mais ce regret, n'en peut empêcher la poursuite ; v.922 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Cependant que je dompte un reste de faiblesse, v.933 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- De poignantes douleurs, qui nous percent le coeur ; v.940 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Celle qu'on veut m'ôter, à peine est sur ma tête, v.941 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Quels devoirs, vous rendrai-je, en cet état pompeux ! v.947 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Quelque rang, ou la Perse, aujourd'hui nous contemple, v.965 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Dois-je encor du respect, à qui veut m'arrêter ? v.983 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Que vous peut susciter le courroux d'une femme ? v.997 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Tel, peut-être, nous rit ; qui nous trahit dans l'âme ; v.998 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Et souvent à leur foi, les peuples renonçants, v.1003 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Du moins, avec la mère, il faut perdre la fille ; v.1014 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Saper les fondements de votre autorité, v.1019 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Prévenez, sans égard, tout ce qui vous peut nuire, v.1025 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Averti, détruisez ce qui vous peut détruire, v.1026 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Hélas ! à quoi, Nature, obligent tes respects, v.1035 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Qu'il faille à mon amant, rendre mes voeux suspects ! v.1036 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Et pour en obtenir, ou ma perte, ou ta grâce, v.1037 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Cette faveur, vous coûte trop de peine, v.1045 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Ni le rang que je tiens, que comme un bien perdu ; v.1048 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Et d'un respect aveugle, avec moi vous trahir, v.1052 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Ou qu'il faudra percer, pour aller jusqu'à vous. v.1068 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Qu'elle peut avec confiance, v.1074 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Ha Sire ! à la seule pensée, v.1077 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- De vos jours innocents, devait couper la trame ; v.1086 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Que nous eussions pu tout, et qu'après sa personne, v.1093 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- (Dont je connais, qu'enfin, la Perse doive dépendre) v.1101 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Si les Dieux, ennemis, de tels persécuteurs, v.1111 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Puisque le sort de Perse, a pris une autre face ; v.1118 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Fit penser Cosroës, au sceptre d'Arménie ; v.1126 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- De vous dire le reste, il serait superflu ; v.1128 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Et que l'âge, le rang, et l'état des personnes, v.1130 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- À peine avaient vu poindre, et remplir six croissants. v.1136 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Mais ce cher gage, à peine, en sa garde reçu, v.1139 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Ha mon frère, en quel lieu, (me dit-elle avec peine, ) v.1145 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Il n'a rien fait de lâche, et contre ma pensée, v.1173 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Si les respects, qu'on doit, aux oreilles d'un Roi ; v.1176 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Ne suffisent, Grand Prince, à vous persuader, v.1184 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Qui peut-être, Seigneur, passera votre attente, v.1198 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- À peine un bruit confus, de quelque voix forcées, v.1205 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Proclamant Mardesane, a flatté leurs pensées, v.1206 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- À peine encor régnant, a cessé d'être Roi, v.1212 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Sandoce, s'est d'abord, saisi de sa personne, v.1213 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- S'il peut si tôt changer, des Sceptres, en des chaînes. v.1226 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Le temps peut arracher, les armes de la main ; v.1236 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Est, comme aux plus petits, fatal aux plus grands hommes ? v.1260 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Ne se peut dire, ô sort, exempt de tes revers. v.1262 (Acte 4, scène 2, SARDARIGUE)
- Je vous en ai rendu, plus que vous ne pensez. v.1282 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- J'ai malgré mon courroux, du respect pour le Roi. v.1289 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- Quel objet de respect, l'ennemi de ma mère ! v.1291 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- De vos persécuteurs, ne peut vaincre la haine ; v.1296 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- Et pour toute réponse, aux plaintes que je perds, v.1297 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- Et si j'obtiens de vous, un peu de confiance... v.1315 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Que mon fils dépendit, devant donner la loi, v.1343 (Acte 5, scène 1, SYRA)
- J'avais à souhaiter un peu de liberté, v.1352 (Acte 5, scène 1, SYRA)
- J'emploierais pour lui, tout l'usage à ta perte ; v.1370 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Est-ce assez ? les témoins sont ici superflus, v.1371 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Je considère peu, ce qui m'en est funeste ? v.1377 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Je plaindrais peu la vie, et mourrais sans effort, v.1379 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Peuvent avoir effet, mais ne l'ont pas toujours, v.1388 (Acte 5, scène 2, SYROES)
- Et ne peut recouvrer, que par notre disgrâce, v.1413 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Hé bien perfide ! lâches suppôts de traîtres, v.1417 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Remettant l'intérêt, qui touche sa personne, v.1453 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Un Roi, ne peut donner, celui de la Couronne ; v.1454 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Ce qu'il pourrait sujet, il ne le peut pas Prince ; v.1458 (Acte 5, scène 2, PALMYRAS)
- Et le sceptre de Perse, est-il un faix bien doux ? v.1472 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- L'acceptant, vous devez, vous consulter un peu ; v.1475 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- Que lâche, d'un affront, perdre le souvenir, v.1492 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- D'avoir été prié, d'en perdre la mémoire. v.1494 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Qui ne se peuvent perdre, et mourront avec moi ; v.1508 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Ayant pu conserver, j'eusse eu peine à vous rendre, v.1509 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Je garde, toutefois, un coeur indépendant, v.1516 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- On ne peut mieux tomber, du trône, qu'au cercueil ; v.1520 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Pour me la faire perdre, en me laissant la vie ; v.1522 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Je vous ai respecté, dépouillé de vos droits, v.1527 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Je consentais à peine, à vous donner des lois : v.1528 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Et peut-être, eussé-je eu, la naissance assez bonne, v.1529 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Pour vous le rendre plus, tous respects seraient vains ; v.1536 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Et tout ce qu'à ma peur, vous pouvez reprocher ; v.1540 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Faites ceux de Syra, témoins de ce spectacle. v.1549 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- Aux dépends de l'auteur, du jour que je respire. v.1570 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Par force, ou par amour, il s'en fait respecter ; v.1576 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Aurait-on de la foi, pour un Prince perfide, v.1589 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- En ce profond respect, sur mes lèvres hésite ; v.1602 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- D'un prodige inouï, soyez les spectateurs ! v.1604 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Ne peuvent m'obliger, à régner par des crimes ; v.1622 (Acte 5, scène 5, SYROES)
- Ne le déposez pas, aux dépends de mes droits, v.1635 (Acte 5, scène 5, SYROES)
- Me peuvent-ils souffrir, une attente si vaine ? v.1638 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Et tant de piété, ne peut perdre son prix ; v.1668 (Acte 5, scène 6, PHARNACE)
- Perd le trône, et le jour, mais en homme de coeur ! v.1672 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Appeler les destins, et les Dieux ennemis, v.1692 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- À ce triste spectacle, interdite éplorée, v.1693 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Ha Sire ! Malgré vous, le destin de la Perse, v.1697 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Prompt, et trompant les soins, et les yeux de la troupe, v.1701 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Avant qu'elle eût tout pris, s'est saisi de la coupe, v.1702 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Il faut du sort de Perse, assouvir la furie, v.1706 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
- Ses soins sont superflus, v.1715 (Acte 5, scène 8, SARDARIGUE)
LA BELLE ALPHRÈDE (1639)
- Dont il veut t'empêcher de suivre ce perfide ; v.10 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- À peine as-tu sur l'eau ses vaisseaux aperçus, v.11 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Est à peine remis de la peur de l'orage, v.18 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- J'avais bien vu d'Amour de diverses peintures, v.21 (Acte 1, scène 1, CLÉANDRE)
- Quel si cruel serpent, quel monstre si farouche, v.37 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Quelque droit toutefois qu'ait pris sur ma pensée, v.53 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Il perdrait contre moi le nom de triomphant, v.55 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Et flatté mes désirs de si peu d'espérance, v.94 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Et ce perfide coeur (ô cruel désespoir !) v.99 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Me fit dire et penser, contre ce suborneur ; v.104 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- A chassé ces voleurs, ma peur, et la mort même ; v.142 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Mon coeur peut reconnaître un si pieux office. v.146 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Qui me peut satisfaire, et que je te demande, v.150 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Que mon affront permet à mon ressentiment. v.156 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Ton coeur dément ta voix, et mon peu de beauté v.159 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Je ne suis que l'objet des mépris d'un perfide, v.161 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Je suis volage, ingrat, perfide, suborneur, v.171 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Qu'avec tous ses efforts mon coeur ne peut forcer, v.175 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Et que temps, ni raison ne peut faire cesser ; v.176 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Ils ne s'altèrent point, et mon coeur peut changer, v.183 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- N'accuse de ma peine, et de cette poursuite, v.193 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- En ces barbares lieux, dont le peuple assassin, v.219 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Qu'à ce prix s'il se peut vos voeux soient satisfaits, v.227 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Ou, s'il vous est suspect le voilà, qui vous laisse v.229 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Comme ils sont sans effet, tu les attends sans peur, v.235 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Alphrède, (et tu le sais) ne peut frapper au coeur ; v.236 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Je saurai cependant alléger mes douleurs : v.239 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Celui qui peut mourir, peut vaincre tous malheurs ; v.240 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Me voie en même temps perdre, et donner le jour ; v.252 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Peut-être que tes yeux, ces vainqueurs si barbares, v.253 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Allons, frappez, traînez cette engeance mutine. v.266 (Acte 1, scène 5, PREMIER ARABE)
- Sur peine d'encourir un châtiment sévère, v.269 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Qu'on traite avec respect cette troupe étrangère, v.270 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Ce matin à l'aspect de l'un deux que j'ai vu, v.275 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Juge pourquoi je plains cette troupe captive, v.285 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Je ne connais la peur sur terre, ni sur onde, v.317 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Ah ! Que n'est à mes yeux cette peste visible, v.342 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Où tendent tant de mains, et pendent tant de voeux : v.348 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- De combien de héros je vengerais la perte ; v.349 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Saurait ne perdre pas les faveurs qu'elle donne, v.357 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- J'embrasse le respect, et vais [vous] satisfaire ; v.362 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Sont la frayeur du peuple, et l'entretien des Rois. v.368 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Sa folie est plaisante, et nous peut être utile ; v.369 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Ô Ciel ! Fléau des pervers, et protecteur des bons, v.375 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Peut obliger Alphrède à partager vos peines, v.382 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Et j'ai par art son nom tiré de sa pensée, v.397 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Ne me laisse qu'à peine un peu de sentiment, v.400 (Acte 2, scène 3, ACASTE)
- À peine mon esprit se fie à mon oreille, v.406 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Mon âge en cette ardeur peut retenir mes pas ? v.420 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Et que la mort est prête à terminer ses peines ; v.426 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Et que douce est la perte, à qui tant d'heur est joint. v.431 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- J'en ai fait un dessein, qu'on ne me peut ravir. v.440 (Acte 2, scène 4, AMYNTAS)
- Éprouvez désormais aux dépens de mon sang, v.443 (Acte 2, scène 4, FERRANDE)
- Quel Monstre de Némée, et quel serpent de Lerne, v.450 (Acte 2, scène 4, FERRANDE)
- Quoi tu peux au malheur joindre la vanité ? v.475 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Déteste maintenant, crie, peste, murmure, v.497 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Appelle-moi cruel, joins la plainte à l'injure, v.498 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Et si quelque pitié peut chez vous trouver place, v.510 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Dont le sang, est mon sang, et qui dans peu de temps... v.515 (Acte 2, scène 5, ALPHR?DE)
- L'honneur de ses baisers sera toutes vos peines, v.521 (Acte 2, scène 6, OLÉNIE)
- Sa maison, vos prisons et ces perles vos chaînes. v.522 (Acte 2, scène 6, OL?NIE)
- Mais peux-tu lâche sang reconnaître si tard, v.528 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Vous rend si vénérable aux peuples de ces lieux ? v.548 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Ton frère me resta, pendant à mes genoux, v.567 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Et su si bien sonder qu'on ne peut plus avant, v.572 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Soit qu'elle me jugeât être expert dans les armes, v.574 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Une charge de chef dans les troupes du Prince ; v.582 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Puisque de ton repos, dépendent mes plaisirs ; v.616 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Agréez que dans peu j'aille sous sa conduite, v.621 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Et souffrez que dans peu nous partions de ces lieux. v.628 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Mais, puisque ce trompeur tombé sous ma puissance, v.637 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Et s'ils peuvent si peu qu'elle n'en fasse compte, v.649 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- L'équipant de vaisseaux permettez sa sortie ; v.658 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- M'aide à tromper un traître, et serve mes amours. v.660 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Ce plaisir qui m'importe et que tu me peux rendre : v.662 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Puisque un tel compagnon, veut partager ma peine ; v.670 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Malgré tous tes desseins, Amour, peste des coeurs, v.671 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Que ne m'est la dernière, ou permise, ou ravie, v.674 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
- Certes, non sans raison, un élément perfide, v.689 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
- À peine à ces voleurs un mot sort de la bouche ; v.702 (Acte 3, scène 1, CLÉANDRE)
- Est à l'homme une peur sur un songe établie, v.706 (Acte 3, scène 1, CLÉANDRE)
- Que spectres, qu'ossements, que feux, que précipices, v.709 (Acte 3, scène 1, CL?ANDRE)
- Que mon repos dépend, de ne reposer point. v.712 (Acte 3, scène 1, CL?ANDRE)
- Ô lâche perfidie ! v.729 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Qu'à moins que de la voir j'aurais eu peine à croire. v.730 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Même, il voit que sa bouche est à peine fermée, v.753 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Où ce vieillard, pensif, commande qu'on nous mène, v.758 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Et nous avions à peine encor parlé deux mots, v.759 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Lui, pour comprendre en peu cette triste infortune, v.769 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Rodolphe trop avant régnait dans sa pensée, v.774 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Peste contre elle et vous, et j'ai vu le moment v.779 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- À cette cruauté la tienne me dispense, v.789 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Pernicieuse amour, et fille infortunée. v.798 (Acte 3, scène 2, CLÉANDRE)
- À peine il l'a commis qu'un remords le possède v.801 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Je perdrai sans regret la lumière et la vie ; v.817 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Force un peu tes liens, et fais tant qu'à tes mains v.835 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Il peut en quelque sorte expier son forfait, v.843 (Acte 3, scène 2, CLÉANDRE)
- Et mes yeux pour jamais en ont perdu la vue. v.846 (Acte 3, scène 2, CL?ANDRE)
- Et qu'un long repentir, leur est un long trépas. v.852 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Et pour mon seul respect la mort étend ses glaces v.861 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- L'instrument de sa perte, et de mon injustice. v.870 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Machine d'os mouvants, spectre effroyable aux yeux ; v.872 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Viens-tu joindre à sa mort la perte de ma vie ? v.874 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Frappe, frappe, s'il reste à ta débile main v.875 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Assez de force encor, pour me percer le sein ; v.876 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tire de ce bras sec, immobile, et perclus, v.879 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu peux former encor d'amoureux sentiments ! v.887 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- L'horreur de mon forfait te permet toute chose, v.897 (Acte 3, scène 3, AMYNTAS)
- Et le respect d'Alphrède, à ma fureur s'oppose. v.898 (Acte 3, scène 3, AMYNTAS)
- Quel respect justes Dieux ! après que son beau corps v.899 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Que sert de frapper l'air d'inutiles propos, v.911 (Acte 3, scène 3, AMYNTAS)
- Frappez ce malheureux ; non pas de ce tonnerre v.941 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Un peu d'air corrompu, le moindre coup de vent, v.943 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Ne lui souhaite point la peine de ton crime, v.950 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Quel mortel ennemi, quel Monstre, quelle peste, v.969 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Quel tigre, quel serpent est aux siens si funeste ; v.970 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- C'est trop perdre de temps, soyons-en plus avares, v.977 (Acte 3, scène 4, FERRANDE)
- Laver ma perfidie, et noyer mon ennui. v.988 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Nous marchons un peu fort ; reposons-nous sur l'herbe v.993 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Enfin ce front superbe, v.994 (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
- Tu ne peux insolent me frustrer de ce prix v.999 (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
- D'où peut un tel secours m'arriver que des Cieux ? v.1008 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Proche duquel le traître a sa troupe amenée ; v.1034 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Mais sans perdre de temps en discours superflus, v.1043 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- On ne peut sans danger, lui donner d'assistance, v.1045 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Allons congédier cette troupe brigande ; v.1050 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Ah ma soeur, étouffons ce serpent odieux, v.1079 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Ma fille, quel respect, quel devoir de nature v.1081 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Te permet ce transport ? v.1082 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Seul prend sa récompense, et seul se satisfait. v.1092 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Se peut-elle informer quelle est votre fortune ? v.1098 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Que cet ami, mourant, me peignit la plus belle, v.1106 (Acte 3, scène 8, ALPHRÈDE)
- J'ose enfin l'espérer : Amour, peste des coeurs, v.1119 (Acte 3, scène 8, ALPHRÈDE)
- Ma soeur m'est-il permis de t'ouvrir ma pensée ? v.1121 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Dont les divers aspects sont heureux, ou funestes, v.1126 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Nourri parmi ces gens, j'ai peine à reconnaître, v.1145 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Je m'y suis trop instruite aux dépens de ma foi ; v.1151 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- L'Amour surprend, frappe, entre, et se loge en même heure. v.1162 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Tout son dessein dépend de le bien assaillir. v.1164 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Et rétablir un peu ses mouvements confus, v.1167 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Je ne pouvais former qu'une même pensée, v.1170 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Qu'à peine je puis dire avoir clos la paupière, v.1181 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- J'aimais à me tromper d'un si plaisant mensonge, v.1189 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Qui confond mes pensers, et qui me rend muet. v.1196 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Tu gagneras beaucoup, ayant peu hasardé, v.1223 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Que le plus continent peut goûter des plaisirs v.1231 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Mon bien plus que le tien dépend de ce bonheur, v.1243 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- C'est trop, qu'avec le coeur, je perde aussi la voix, v.1247 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Innocents entretiens de ma jeune pensée, v.1254 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- À ne nous brûler qu'en peinture, v.1264 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Et qu'avec peu d'envie, v.1273 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Mais quelle peur me trouble, et sur quel fondement, v.1285 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Ce peut être qu'hymen si l'on n'y remédie. v.1312 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Pour prêter vos faveurs à l'excès de sa peine, v.1324 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Et dont la passion ne se peut exprimer. v.1333 (Acte 4, scène 3, ALPHRÈDE)
- Quelle est ma vanité ! je pense sous ma loi v.1337 (Acte 4, scène 3, ORANTE)
- Orphée à peine obtint ce que vous demandez, v.1358 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Dieux ! le plaisant regret ! en effet quelle peine v.1387 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Vous pourrait exciter sa perte si soudaine ? v.1388 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- À peine il s'est fait voir, et déjà ne vit plus, v.1389 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Quittez, quittez ma soeur ces regrets superflus, v.1390 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Je ne puis expliquer ma confuse pensée, v.1412 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Il serait superflu de vous conter ma peine, v.1423 (Acte 4, scène 5, ACASTE)
- Sus, que de longs plaisirs dissipent nos ennuis ; v.1441 (Acte 4, scène 6, EURYLAS)
- Pour lui ma passion ne peut être trop forte ; v.1452 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Notre peine à son tour se verra terminée, v.1468 (Acte 4, scène 6, ALPHRÈDE)
- J'ai droit de l'espérer, Amour, peste des coeurs, v.1473 (Acte 4, scène 6, ALPHRÈDE)
- Le jour de son hymen, appeler un époux, v.1481 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Ne peut à l'appelant produire [que] des coups. v.1482 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Et rompez son hymen, au lieu de le troubler ; v.1486 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Paraissez, et rompez son hymen prétendu. v.1490 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Cette jeune merveille en perdant la lumière, v.1495 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Que son pouvoir semblait dépendre de sa mort. v.1498 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Mais puisque c'est un mal qu'il ne peut éviter, v.1505 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Quoique mon repentir, en ma triste pensée, v.1511 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Du tort, et de l'affront qu'il pense m'avoir fait. v.1514 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Aller de ce perfide achever le destin, v.1518 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Je suivrais sans respect la fureur qui me presse, v.1519 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Qu'il me sera permis d'en disperser les vers ; v.1529 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Nous allons cependant reconnaître le lieu, v.1537 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Tous conseils lui sont vains, tous respects superflus, v.1541 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Cependant, une mort si prompte, et si certaine v.1543 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Mes respects, mes conseils, mes doutes, et mes craintes, v.1547 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Et qui ne peut goûter que des yeux seulement v.1553 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Les douceurs d'un festin dressé superbement ; v.1554 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Cet importun penser dont mon sexe s'offense, v.1560 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Je le confesse, honneur, que ma triste pensée, v.1567 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- S'est à quelques désirs peut-être dispensée, v.1568 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- La peine de Tantale était mon châtiment. v.1570 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Cependant que le bal occupe tout le monde, v.1571 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Des yeux, et du penser je cherche mon Amant, v.1578 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Mais ses yeux peu courtois tournant de toutes parts, v.1581 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Ne m'imagine pas en une moindre peine, v.1589 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Je veux que t'oubliant, mon crime soit ma peine, v.1613 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Permît à quelques morts de repasser la barque, v.1620 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- De l'oeil dont je verrais la perte de ma vie, v.1651 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- De qui tu peux juger qu'elle serait suivie. v.1652 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Le crime quelquefois, peut s'employer sans crime, v.1659 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Tout ce qui peut tomber dans l'esprit des amants, v.1661 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Et tout ce que peut faire une fille abusée, v.1663 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Souvent de tant risquer, dépend notre salut. v.1666 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Nous les mettrions en peine, en tardant plus ici. v.1674 (Acte 5, scène 4, ACASTE)
- Faites un peu de trêve avecques votre amour, v.1677 (Acte 5, scène 6, LE PÈRE)
- Ne peut-il un moment souffrir qu'on le possède ? v.1680 (Acte 5, scène 6, LE PÈRE)
- Veut-il perdre sa part de cette volupté ; v.1681 (Acte 5, scène 6, LE P?RE)
- Il ne la perdrait pas, sans un mal de côté, v.1682 (Acte 5, scène 6, ACASTE)
- Qui l'incommode un peu, mais de qui la durée, v.1683 (Acte 5, scène 6, ACASTE)
- Peut être ; v.1684 (Acte 5, scène 6, ACASTE)
- Te touchera peut-être, et pourra t'émouvoir, v.1708 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Je pense à ton amour, je songe à ma rigueur v.1715 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Me peint ta passion, et mon ingratitude, v.1722 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- De ce qu'en ce penser ma mémoire me dit, v.1724 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Ce penser est suivi d'un long ruisseau de pleurs, v.1727 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Un peu de sentiment pour ses aimables charmes, v.1729 (Acte 5, scène 7, CLÉANDRE)
- Fait de tous mes pensers les victimes d'Alphrède, v.1742 (Acte 5, scène 8, RODOLPHE)
- Calmez, calmez un peu la fureur qui vous trouble, v.1761 (Acte 5, scène 9, ACASTE)
- Il lui doit être doux de perdre un imposteur, v.1775 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Elle aurait peu d'honneur d'être le prix d'un crime. v.1778 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Et l'amour est bien faible, où la peur est si forte, v.1794 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- La Mort a du respect pour des charmes si doux v.1807 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Je vous conserverais aux dépens de ma tête, v.1814 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Selon que la peur glace, ou que l'Amour enflamme ; v.1822 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Qu'on ne lui peut ravir le titre d'immortelle, v.1830 (Acte 5, scène 10, ISABELLE)
- Donnons, ou sans respect je venge aveuglément v.1847 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Par devoir, ni raison ne se peut satisfaire, v.1850 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Et qu'un homme bien sain, ne peut qu'imprudemment, v.1859 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Et songeons s'il se peut à vous contentez mieux ; v.1864 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Tout votre deuil consiste en la perte d'Alphrède, v.1865 (Acte 5, scène 10, ACASTE)
- Ô ridicule peur ! v.1871 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- La perfection même, et la même beauté, v.1888 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Rien ne les peut toucher, v.1895 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Si je n'obtiens la fin que je me persuade, v.1913 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Alphrède avait les yeux, à peu près comme moi ; v.1916 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- S'étouffe, et ne saurait exprimer ma pensée, v.1926 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Se peut-il, cher Amant, que cette malheureuse, v.1933 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Mes pleurs, et mes soupirs sont trop récompensés, v.1936 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Et je ne plaindrais pas la perte de ma vie, v.1937 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Je perdrais à mourir, moins qu'à te décevoir ; v.1944 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Si tu ne peux m'aimer, que le poignard au sein, v.1947 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Cesse enfin, beau désordre, et permets que je die, v.1949 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Qu'il n'était rien d'ingrat après ma perfidie, v.1950 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Et si l'aveuglement peut tenir lieu d'excuse, v.1958 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Et le temps qui peut tout, perdra contre mon coeur, v.1963 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
- Ton repentir Rodolphe a des preuves trop grandes, v.1965 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Et n'implore jamais ce qui dépend de moi v.1967 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
DON BERNARD DE CABRERE (1647)
- Ne peuvent plus tarder et sont tout prêts d'éclore : v.62 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Et puis... mais quelle peine est celle où je me trouve ? v.65 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Est perdu. v.68 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- J'ai joint si peu de soin, à si peu de fortune ? v.70 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Mais voyez bien, peut être aurez-vous mal cherché ; v.75 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- De trois, ou quatre jours m'ayant coûté la perte, v.82 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Ou la voix suppléant la perte de sa lettre, v.85 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- S'il se peut, toutefois, faisons savoir au Roi, v.87 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Et de ces grands succès lui faisant des peintures, v.89 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Est d'être égal aux siens, autant qu'il le peut être ; v.98 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Chacun peut approcher : le Roi donne audience. v.102 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Cependant, travaillez à bien munir la place ; v.114 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Quelqu'un profitera du temps que vous perdez. v.127 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Ces frivoles écrits, porteurs de vos pensées, v.136 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- De me persécuter et de m'être importune ; v.146 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- Fera trembler l'Europe, et de votre fureur, v.159 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- La mer avec respect porta ce grand fardeau, v.171 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- J'aime, et puis observer ces respects superflus, v.175 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Rappelons notre esprit, et couvrons ce défaut. v.184 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Va m'obtenir, Perez, de cette belle ingrate, v.194 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Et qu'une dépendante, et sujette beauté, v.199 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Ma plus sensible peine, en ce que je propose, v.209 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Mais peu de la raison lui font suivre les lois, v.224 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Peu savent avec lui modérer leur puissance, v.225 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- De Pedre, et non du Roi, le monde est amoureux ; v.228 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Que ne puissent percer les yeux de leurs Provinces, v.234 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Avec le peuple enfin ils partagent un titre, v.237 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Vous fera souvenir de Don lope de Lune ; v.254 (Acte 1, scène 6, DON LOPE)
- Qui jusqu'à la mort, paya de sa personne, v.257 (Acte 1, scène 6, DON LOPE)
- Don Lope de... v.259 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Qui vous peuvent donner un rang qui vous défaut, v.271 (Acte 1, scène 8, LE ROI)
- Mais présente, souffrez ce qui se peut permettre, v.282 (Acte 1, scène 8, LE ROI)
- Mais le Roi peut rentrer, attendons son retour. v.299 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Requête au Roi de Don Lope de Lune ; ... v.303 (Acte 1, scène 9, LAZARILLE)
- Don Bernard qui peut tout, en vain me veut du bien, v.316 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Pour nous permettre plus de vaincre son caprice. v.323 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Sans que mes intérêts lui coûtent plus de peine ; v.327 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Quoi ce grand coeur s'ébranle, et Don Lope de Lune v.330 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Je sais que le destin qui dispense les rangs, v.348 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Peut de la même main, dont il m'a fait monter, v.360 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Pour peu que sa bonté réponde à mes souhaits, v.364 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Quelques traits si perçants dont la douleur me touche, v.366 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Et si mon mauvais sort m'en permet d'en parler, v.376 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Votre heur et vos vertus, vous la peuvent donner, v.380 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Et ce leur serait peu que de vous couronner. v.381 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Traitons avec respect les dignités suprêmes, v.382 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Il a tant fait pour moi, que pour sa récompense, v.402 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Qui tonne, étonne, frappe, et réduit tout en poudre ; v.439 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Don Pedre seul, absent, porte plus de terreur, v.440 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- À peine vos vaisseaux, v.452 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Firent voir le respect que vous leur imposez ; v.457 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Comme l'ardeur peut tout, jointe à l'intelligence, v.466 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Nul ne gardait l'accès de ces perfides murs, v.472 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Car cette ingrate ville en ruses trop experte, v.474 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Dont le maintien superbe, et le riche équipage, v.486 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Au même instant des arcs de ce peuple rebelle, v.498 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Ne nous frappent la vue, et ne percent les airs ; v.505 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Pour tout comprendre enfin, le Grand Lope de Lune, v.518 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- A rendu vain l'effort de ce peuple mutin : v.521 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Si chez vous la vertu peut trouver quelque asile, v.526 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Et Don Lope, s'acquit un renom glorieux, v.540 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Sassaris et Sora, seront sa récompense. v.551 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Et charge peu le bras qui soutient tout l'État ; v.561 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Et qui ne peut encor vous souffrir de repos. v.565 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Tous s'en vont hormis D. Lope, et Lazarille. v.566 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Perdent donc en mon bras, le titre de services ! v.592 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Ils versent sans dessein les plaisirs et les peines, v.595 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- À qui naît sans bonheur, rien ne peut succéder, v.598 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Et dont un sceptre seul, peut payer les exploits. v.606 (Acte 2, scène 5, DON BERNARD)
- De si fameux succès avec si peu de fruit, v.630 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- Don Bernard en a fait la peinture si belle ; v.632 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- Don Lope, cette lettre, v.647 (Acte 2, scène 6, DOROTHÉE)
- Dissipe-toi bien tard, et dure-moi longtemps. v.668 (Acte 2, scène 6, DON LOPE)
- À Don Lope de Lune. (Acte 2, scène 6, DON LOPE)
- Si vous n'aimez l'amant, souffrez-en la personne. v.685 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- L'approche en est suspecte avec une Couronne, v.686 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Le Roi ne peut déplaire avec toutes les marques, v.689 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Il en peut faire un jour tribut à vos appas, v.695 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Et vous êtes d'un sang qui peut donner des Reines. v.698 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Jettent dans tous les coeurs, le respect, et la flamme ; v.706 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Indifférente encor je n'épouse personne, v.713 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- On ne vous peut prétendre à moins d'un diadème ; v.726 (Acte 3, scène 1, LÉONOR)
- Qui me rendaient suspect l'état que vous en faites. v.730 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Le Roi me permettant l'heur de cette alliance, v.738 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Et perdant un espoir qui ne lui produit rien, v.739 (Acte 3, scène 1, L?ONOR)
- Et le peu de respect que vous me faites voir, v.751 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Qui peut faire d'un Roi négliger le servage, v.757 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Puisque si peu de coeurs s'en peuvent garantir. v.764 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- C'était persuader que défendre une flamme ; v.766 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Sur ce que je vous dois ou permettre, ou défendre ; v.770 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Cependant délivrez votre esprit d'un tourment, v.771 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Qui lui pourrait durer peut-être vainement. v.772 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- J'ai mieux lu qu'elle dans sa propre pensée, v.786 (Acte 3, scène 2, LÉONOR)
- Et pensant m'éblouir, voulait moins par tant d'art, v.788 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Sur ce qu'elle me doit, ou permettre, ou défendre ; v.791 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Où le dessein est pris, son ordre est superflu, v.792 (Acte 3, scène 2, L?ONOR)
- Qu'est-ce Perez ? v.796 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Tu peux de Don Bernard imiter l'écriture, v.822 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Fais-moi de son amour une vive peinture, v.823 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- Nous peut représenter un sensible tourment ; v.825 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- Et dont on peut toucher le coeur d'une maîtresse, v.826 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- Ce genre d'écriture, à qui tu peux vanter v.856 (Acte 3, scène 4, LE SECRÉTAIRE)
- Que ma raison condamne et ne peut étouffer ! v.860 (Acte 3, scène 5, LE SECRÉTAIRE)
- Mais que fait là Perez ? Il sait ma passion, v.864 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Différant sa réponse, il prolonge mes peines ; v.866 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Voyons traître, à quoi tu peux prétendre. v.879 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Perfide ! Quelle foi veux-tu que j'en présume ? v.882 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Que vous me permettiez une nécessité, v.885 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Est le respect d'un vassal à son maître ! v.897 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Quoi perfide ! une ardeur de sens si dépourvue, v.900 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Si tu me peux tramer ce détestable tour, v.906 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Et si tu m'es perfide en un crime d'amour ; v.907 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Et qui peut sur ses voeux permettre un attentat, v.918 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Peut-être un faux rapport... v.937 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
- Au reste de Carlos, les troupes insolentes, v.952 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Coupez avant la nuit, la marche aux ennemis ; v.959 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- De vos troupes à peine encore désarmées, v.960 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Qu'a permis ma fortune ? Avez-vous vu le Roi ? v.972 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Parlez parlez, le sort ne frappe plus en nous, v.975 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Quelle offense Don Lope, aveugle ou volontaire, v.977 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Qu'à peine avais-je ouvert, qu'il m'a fermé la bouche ; v.1010 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Mais pendant que le temps essuiera sa colère, v.1013 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Et peut-être qu'un jour vous me le rendrez bien. v.1020 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Ce qu'on gagne bien tôt, se peut perdre dans peu, v.1023 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Tout dépend du hasard et la vie est un feu. v.1024 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Il ne peut plus sans vous régner, qu'il ne succombe, v.1033 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Sans perdre un seul moment nous presse de partit, v.1036 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Et de faire marcher nos troupes ramassées, v.1037 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Votre bras peut du Prince y vaincre le courroux, v.1039 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Je manque un rendez-vous, d'où dépend ma fortune. v.1046 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Qu'à laisser de son gré dépendre nos courages ; v.1054 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Qu'à ma confusion, j'ai si peu méritée ; v.1062 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
- Et de persuader un insensible objet, v.1071 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
- Ni jusqu'à vos faveurs élever ma pensée ; v.1074 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
- Qu'en faveur de Perez j'exerce cet empire ; v.1078 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
- J'ai peine à concevoir quelle humeur inégale, v.1081 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Et dans ce grand respect restreignant sa pensée, v.1086 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Par quel orgueil peut-on mériter votre haine ? v.1089 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Si l'amitié vous fait lui remettre sa peine, v.1090 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- C'est une peur aussi qui ne me peut frapper, v.1099 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Et je prends peu de peine à vous en détromper. v.1100 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Que pour mes intérêts vous prenez peu de peine ; v.1102 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Qui peut impunément prendre toute licence, v.1105 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Si vous ne permettez à des mains Souveraines, v.1113 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Pour en couper le cours, coupez-en la racine ; v.1122 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Et puisqu'il m'est permis de choisir mon vainqueur ; v.1135 (Acte 4, scène 2, LÉONOR)
- Mais un bras qui vous sert et qui s'en peut donner, v.1139 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Un qui veut bien dépendre, et vassal volontaire, v.1141 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Lui seul, si quelque objet peut sur ma liberté, v.1143 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- De ce léger honneur peut flatter son attente. v.1145 (Acte 4, scène 2, L?ONOR)
- Et sa perte sans moi, vous eut coûté la vie ; v.1150 (Acte 4, scène 3, LÉONOR)
- Et qui peut moins compter de jours que de victoires, v.1154 (Acte 4, scène 3, L'INFANTE)
- Suivi de tout le peuple entre dans le Palais, v.1156 (Acte 4, scène 3, L'INFANTE)
- Un triomphe au-dessus de la pompe Romaine : v.1174 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Possédez votre gloire et cependant comptez, v.1179 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Par un son de tambours, de trompettes et d'armes, v.1215 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Pendant qu'il délibère au coup de ce tonnerre, v.1218 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Perdent en ce travail leur plus mâle vigueur, v.1237 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Pendant que dans le bois à l'abri de l'orage, v.1238 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- À peine de la nuit, le jour tirait les voiles, v.1242 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Le lançant dans les rangs des troupes ennemies, v.1251 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Les drapeaux d'Aragon des mains des Castillans ; v.1253 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- À peine pour la fuite ont assez de vigueur ; v.1273 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Que ne peut point ton bras, si ton oeil assassine ! v.1283 (Acte 4, scène 4, LÉONOR)
- Et peu dans cette histoire ont mieux gagné leur place. v.1294 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Sans plus rêver, Seigneur, ce penser vous acquitte, v.1298 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Que de l'heur d'être à vous dépend tout mon mérite ; v.1299 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Et de votre préférence et de votre penser. v.1305 (Acte 4, scène 4, DON BERNARD)
- Ses bienfaits sont trop peu pour son mérite extrême, v.1318 (Acte 4, scène 4, LÉONOR)
- Quoi Don lope, une ardeur si sensible, v.1330 (Acte 4, scène 6, DOROTHÉE)
- Et vouloir vous mêler de notre personnage, v.1338 (Acte 4, scène 6, DOROTH?E)
- Et l'on redoute peu la rigueur d'un Amant, v.1344 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- Votre excuse est de mise, et se peut recevoir : v.1353 (Acte 4, scène 6, DOROTHÉE)
- Puis-je si malheureux n'avoir pas pour suspect, v.1360 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- D'un astre si malin ce favorable aspect ? v.1361 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- De toute la beauté qui peut charmer la vue. v.1363 (Acte 4, scène 6, DOROTHÉE)
- Quel plus divin objet peut enchanter les sens ? v.1364 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- Que par tout le respect et la confusion, v.1368 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- Ô caprices du sort qui vous peut concevoir ! v.1373 (Acte 4, scène 6, DON LOPE)
- J'admire ( mon cher Lope ) et cet étonnement, v.1380 (Acte 4, scène 7, DON BERNARD)
- A tant fait pour ma gloire, et si peu pour lui-même. v.1415 (Acte 5, scène 1, DON BERNARD)
- Souffrons-lui les aspects de douceur et d'amour, v.1420 (Acte 5, scène 1, DON BERNARD)
- Les Dames sont en peine à qui vos voeux s'adressent, v.1435 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- Qui se peut tout soumettre, et de qui les regards v.1440 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- Me laissent sans moyen de les tirer de peine ; v.1451 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- Restreint dans ce respect je puis vous obéir, v.1460 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- J'aime donc un objet que nul ne peut haïr ; v.1461 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Et qui peut en son cercle enfermer l'Univers. v.1469 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Je vois ce clair soleil, je tremble à son aspect, v.1472 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- L'amour pour l'amitié s'impose ce respect ; v.1473 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Et qui peut en son cercle enfermer l'univers, v.1485 (Acte 5, scène 3, L'INFANTE)
- N'a plus que des regards de respect et d'amour ; v.1489 (Acte 5, scène 3, L'INFANTE)
- Je tremble à votre approche, et mon respect, Madame, v.1498 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
- Mais ma flamme plus forte enfin que mon respect, v.1500 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
- M'expose à soutenir votre adorable aspect ; v.1501 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
- Sait qu'elle ne peut plus en être consommée ; v.1503 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
- Sans ternir son éclat, peut demander son prix. v.1537 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Mais la mienne est célèbre, et peu sans vanité, v.1540 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Moi, traître, moi perfide ! En quoi Roi d'Aragon, v.1544 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Ce fol peint par ces mots, mon destin rigoureux, v.1564 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Je brûle sans espoir, je sers sans récompense, v.1566 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Il ne peut plus souffrir qu'en l'ardeur qui me presse, v.1574 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Et mon respect irait jusqu'à la déférence ; v.1582 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Si ce respect en vous trouvait tant de faiblesse, v.1586 (Acte 5, scène 6, L'INFANTE)
- J'en fais le fondement de mes folles pensées ; v.1603 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- Quand j'y pense arriver à l'instant me r'emporte ; v.1607 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- J'ai fait tout ce que peut pour preuve de sa foi, v.1608 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- Dont la superbe Infante a voulu colorer v.1620 (Acte 5, scène 7, DON LOPE)
- J'ai pensé sous ce nom rendre hommage à l'Infante ! v.1635 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Qu'un Spectre et qu'un fantôme horrible à concevoir, v.1641 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Qu'on peut dire un Soleil non par ce qu'il éclaire, v.1650 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- D'un art mal agencé le plâtre et la peinture, v.1654 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Sur sa pendante joue ont caché la nature : v.1655 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Cour fantôme pompeux de qui les vanités, v.1680 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Ou s'il ne perd au moins, doit cacher une vie, v.1694 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Voyant Lazarille paré de l'écharpe. v.1696 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Le temps peut tout changer, cependant cher de Lune, v.1701 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- De la haine du sort effroyable peinture ! v.1706 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- Un vassal peut d'un Roi soutenir la puissance, v.1721 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- Peu de pluie en saison rend la terre fertile, v.1729 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- Mon coeur quelque respect qu'il vous ait conservé, v.1747 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- D'une vieille suivante à ce Lope de Lune, v.1781 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
LE FILANDRE (1637)
- Cette superbe fille à la fin s'est rendue ; v.25 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Je perds ma liberté si longtemps défendue. v.26 (Acte 1, scène 2, TH?ANE)
- Mais elle se dissipe, et le temps à la fin v.43 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Qui, comme ils sont communs, doivent être suspects. v.56 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Celle qu'il n'aime point lui cause peu de plaintes ; v.66 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Il ne l'appelle point du nom d'inexorable, v.69 (Acte 1, scène 2, C?PHISE)
- Notre coeur par nos yeux ne se peut démentir ; v.71 (Acte 1, scène 2, C?PHISE)
- Les plaintes, les respects et les pleurs de Thimante, v.73 (Acte 1, scène 2, C?PHISE)
- Il vous offre son coeur tandis qu'elle me perd ; v.83 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Sa plume a figuré sa peine et son servage. v.98 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Je l'aime toutefois un peu moins que moi-même ; v.122 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Et dispensons nos yeux de la honte des pleurs. v.128 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Et qu'on l'appelle amour, je l'appelle folie. v.138 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Ma peine est supportable, et le plaisir d'aimer v.139 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Que je te puis servir aux dépens de Nérée. v.146 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Tu peux faire à mes maux succéder les délices. v.158 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Peins Thimante inconstant aux beaux yeux de ta soeur, v.159 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Oui, mais trahir ma soeur ! Ô frivole pensée ! v.169 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Le ciel me l'a permis quand un dieu m'a blessée : v.170 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Mais qu'allons-nous tenter, peut-être vainement ? v.176 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Rien ne peut succéder à des coeurs engourdis, v.179 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Presse-moi de le prendre et parlons un peu haut : v.187 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Ô ciel ! Peux-tu souffrir ?... v.199 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Il ne trouve qu'en vous le sujet de sa peine ; v.213 (Acte 1, scène 4, CÉPHISE)
- Je crois qu'il est si bon qu'il ne blesse personne. v.222 (Acte 1, scène 4, THÉANE)
- Mais il adresse ailleurs ses yeux et sa pensée, v.225 (Acte 1, scène 4, CÉPHISE)
- T'es-tu dessus ma foi fiée à tes dépens, v.235 (Acte 1, scène 4, THÉANE)
- Prépare tes desseins contre sa perfidie ; v.246 (Acte 1, scène 4, CÉPHISE)
- Éteins ces feux naissants, et perds le sentiment v.247 (Acte 1, scène 4, C?PHISE)
- Le temps peut tout changer. v.268 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Il ne peut rien pour toi. v.268 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Il change tout le monde, et tu penses qu'un coeur v.271 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Il peut tout sur nos corps, il détruit la nature ; v.273 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- On ne peut éviter sa défaite future : v.274 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Peux-tu prétendre encor le bien qu'elle te nie, v.281 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- La pitié peut changer les mépris les plus forts. v.283 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Meurs donc sans plus attendre, et t'épargne la peine v.285 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Depuis qu'on a perdu l'espoir dont on se flatte v.293 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Mais je ne puis fléchir ce superbe courage : v.301 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- D'un amant si parfait, mais si peu souhaité. v.308 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Perds, malheureux amant, pour ton mal si constant. v.311 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Invente, si tu peux, des moyens salutaires ; v.313 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- J'ai le prix de ma peine, et je suis satisfait v.319 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Si sa gloire dépend du mal qu'elle me fait. v.320 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Je trompe également l'amant et la maîtresse, v.326 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Un secret repentir me reproche mon crime. v.330 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Mais forçons tout respect, et tentons jusqu'au bout v.331 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Peut d'un coeur amoureux sans crime être adorée. v.334 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Ce glorieux vainqueur des peuples et des rois, v.336 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Tu ne peux toutefois partager ses douleurs, v.343 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Ah ! Si Nérée un jour me permet de te dire... v.361 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Je respecterai peu la qualité de frère. v.370 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Son respect et sa flamme v.381 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Étaient-ils ou suspects ou capables de blâme ? v.382 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Que ton discours me cause une ennuyeuse peine ! v.386 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Ton coeur ne peut fier ce discours à ta bouche ; v.389 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Et ne plut-il jamais à tes superbes yeux ? v.396 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Peux-tu, dissimulée, ignorer que Céphise v.401 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- De ton perfide amant captive la franchise ? v.402 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Je perds sans ta faveur la lumière du jour ; v.407 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Dans peu tu sauras tout : parle-lui seulement. » v.416 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Il eût continué, mais, t'ayant aperçue, v.417 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Est capable une fois du titre de perfide ! v.426 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Un généreux dessein peut vaincre ces douleurs, v.439 (Acte 2, scène 2, N?R?E)
- Si je vois cet ingrat, et que sa repentance v.441 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Mais qu'un peu de froideur soit sa punition. v.448 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Il tente mon ardeur et ma persévérance ; v.450 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Les visibles effets d'une peine infinie, v.453 (Acte 2, scène 2, N?R?E)
- En son perfide sang devant mes yeux trempée, v.458 (Acte 2, scène 2, N?R?E)
- Je verrais d'un même oeil son mépris et sa peine ; v.461 (Acte 2, scène 2, N?R?E)
- Quelle fureur agite sa pensée ! v.465 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Quelques nouveaux pensers t'arrêtaient en, ce lieu ? v.467 (Acte 2, scène 3, CÉLIDOR)
- Ô dieux ! Quelle froideur sur ce visage est peinte ! v.469 (Acte 2, scène 3, CÉLIDOR)
- Nérée, ajoute un mot et dissipe ma crainte. v.470 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Et qui me peut tirer de la peine où je suis ? v.480 (Acte 2, scène 3, CÉLIDOR)
- Je n'ai vu que Nérée, et même ma pensée v.485 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- À d'autres entretiens ne s'est point dispensée. v.486 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Peut-elle aimer ailleurs, et puis-je innocemment v.503 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Peux-tu voir sa beauté me trahir, et le taire ? v.506 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Voudraient perdre la voix pour ne la trahir pas. v.512 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Sommeil, sois éternel ; et perdez, tristes yeux, v.515 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Perdant votre soleil, la lumière des cieux. v.516 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Et Vénus, observant ces respects infinis, v.527 (Acte 2, scène 4, CÉPHISE)
- Si tes soupirs sont vains, au moins payent tes peines. v.546 (Acte 2, scène 4, C?PHISE)
- Coupe de ces cheveux, mais si subtilement v.547 (Acte 2, scène 4, C?PHISE)
- Tu ne peux contenir ton ardeur apparente ; v.553 (Acte 2, scène 5, FILANDRE)
- Cours, malheureux amant, emploie ici ta peine, v.577 (Acte 2, scène 5, CÉLIDOR)
- Et perds en la servant la vie après l'haleine. v.578 (Acte 2, scène 5, C?LIDOR)
- Enfin que résoudra ma douteuse pensée v.585 (Acte 2, scène 5, C?LIDOR)
- Ferai-je à cette ingrate et perfide beauté v.587 (Acte 2, scène 5, C?LIDOR)
- Écoute ; je faisais au récit de mes peines v.605 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- J'avance dans le bois et j'aperçois Nérée. v.614 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- À soutenir Théane aux dépens de ma vie : v.622 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Mais toi seul cependant engageais mes esprits, v.636 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- De tes yeux, d'où dépend mon repos ou ma perte. » v.638 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Vous feignez seulement cette amoureuse peine v.641 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Je sais votre mérite et le peu que je vaux ; v.644 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Mon respect à ces mots joignit de longs discours v.647 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Cette fille, à ces mots, se perdit dans les ombres, v.653 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Que t'en témoigne-t-il ? S'en est-il aperçu ? v.656 (Acte 2, scène 6, CÉPHISE)
- Donc ce coeur a poussé des soupirs superflus. v.663 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Que la mort soit sa peine ou soit ma récompense. v.670 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Tu ne peux m'honorer d'une amour légitime ; v.681 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Tes yeux aussi, cruel, sont témoins de mes peines : v.693 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Céphise, d'autres soins occupent mes esprits : v.699 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Non, je fais ce dessein un peu légèrement. v.707 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Et ne détournes pas le dessein de ma perte ? v.710 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Et je sais que tes mains ont trop peu de dessein. v.712 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Que j'appelle sottise, et les autres courage. v.726 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Songe à ma récompense ; et, de quoi que je rie, v.729 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- C'est inutilement ; éteins-les si tu peux. v.732 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Au moment de son crime il fait naître ta peine, v.769 (Acte 3, scène 1, THÉANE)
- Indigne passion de ce superbe coeur v.771 (Acte 3, scène 1, TH?ANE)
- Ta raison peut dompter un dessein inutile, v.777 (Acte 3, scène 1, TH?ANE)
- Un généreux dessein me peut tirer de peine. v.790 (Acte 3, scène 2, THIMANTE)
- Je ne tenterai point des efforts superflus. v.791 (Acte 3, scène 2, THIMANTE)
- Et je tremble à l'aspect de ces yeux que j'adore. v.810 (Acte 3, scène 3, FILANDRE)
- Un léger accident peut gâter ce beau teint, v.847 (Acte 3, scène 4, FILANDRE)
- Et changer les couleurs dont ce visage est peint. v.848 (Acte 3, scène 4, FILANDRE)
- Tu peux ne causer plus ni passion ni peine, v.849 (Acte 3, scène 4, FILANDRE)
- Ta laideur quelque jour m'en peut chasser. Adieu. v.852 (Acte 3, scène 4, FILANDRE)
- De ton triste penser, s'il est loin de tes yeux. v.860 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Je l'aime, je l'avoue ; et ce superbe coeur v.871 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Je ne parlerai point de ta naissante peine ; v.889 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- S'il apprend seulement que tu le peux souffrir. v.892 (Acte 3, scène 4, N?R?E)
- Il en peut seulement tirer la vaine gloire v.897 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Tu peux joindre, inhumaine, insensible courage, v.901 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Ta curiosité pourra te mettre en peine. v.910 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Ô perfide ! Ô cruel, le plus traître du monde ! v.914 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu ne peux sans regret savoir d'où vient ce gage ; v.917 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Le respect que j'avais pour tes voeux innocents v.931 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Je souffrais tes plaisirs aux dépens de ma joie, v.933 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Et quel respect enfin ne forcent les amants ? v.936 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- À cet aimable auteur de nos communes peines : v.946 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- J'approche les ciseaux, et coupe ces cheveux v.955 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Exerce à mes dépens ton indiscrétion, v.964 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Et d'autres t'en feraient une peine équitable. v.966 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Tu poursuis Célidor, et, perdant sa franchise, v.969 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Peut-être ton malheur avait charmé les yeux v.975 (Acte 3, scène 5, THÉANE)
- Tu peux tout maintenant, riche de nos ruines. v.978 (Acte 3, scène 5, TH?ANE)
- Ô_Dieux ! Je suis perdue. Aventure cruelle ! v.982 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- J'ai condamné Thimante à sa première peine : v.990 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Je devais à ma soeur conter sa perfidie. v.994 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Ce perfide est ton frère, et cette qualité v.999 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Je ne rougis, Nérée, au sujet de personne. v.1005 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Tu connais peu l'amour si ce discours t'étonne : v.1006 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Avec l'extrême amour le respect est extrême ; v.1013 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Et tel voudrait cacher ce respect à soi-même. v.1014 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Accusez ce sujet de vos communes peines. v.1018 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Qui te rendra suspect cet esprit redoutable. v.1026 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Et je suis peu subtile, ou je suis trop crédule. v.1042 (Acte 3, scène 5, THÉANE)
- Tu ne peux oublier cette ingrate beauté, v.1047 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Ni perdre ton amour sans perdre la clarté. v.1048 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Tu prouveras ensemble et perdras ton amour. v.1052 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Le fer en ce dessein ne te peut secourir, v.1055 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- S'offre d'ensevelir et ton corps et ta peine. v.1062 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Mon frère, attends un peu, ta maîtresse te prie... v.1069 (Acte 4, scène 2, NÉRÉE)
- Sa perte est trop certaine. v.1077 (Acte 4, scène 3, NÉRÉE)
- Tu vas perdre tes pas. v.1084 (Acte 4, scène 3, NÉRÉE)
- Durez pour mon repos, salutaires pensées ; v.1085 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Il est vrai que Théane a peu de doux attraits, v.1087 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Et qui s'en peut défendre est aveugle ou barbare. v.1102 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Et parle absolument de ce qu'il ne peut faire ; v.1110 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Comme si sa beauté m'en permettait le choix, v.1112 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Sèche tes pleurs, Nérée, et n'en sois plus en peine ; v.1121 (Acte 4, scène 5, THÉANE)
- Le plus désespéré... Mais j'aperçois Filandre. v.1129 (Acte 4, scène 5, TH?ANE)
- Tu nuis par intérêt à ce perfide amant. v.1139 (Acte 4, scène 5, NÉRÉE)
- Oui ; mais sa main superbe v.1145 (Acte 4, scène 5, FILANDRE)
- Le vent en dispersa les morceaux déchirés. v.1148 (Acte 4, scène 5, FILANDRE)
- Traître ! On verra Thimante ; et l'instant de ta perte v.1153 (Acte 4, scène 5, NÉRÉE)
- Mais je perdrai le jour si mes serments sont vains v.1163 (Acte 4, scène 5, N?R?E)
- Se peuvent accorder avecque ces caresses ? v.1169 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Dieux ! Que peuvent prouver ces regards menaçants ? v.1170 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Traître, superbe esprit, vain sujet de mes pleurs, v.1174 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Suivez le changement où ce coeur se dispense ; v.1177 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Et de rendre son coeur plus sensible à ma peine. v.1201 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Ni raison d'amitié, ni respect de nature, v.1216 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Vous fait tant oublier mon respect et vous-même ? v.1225 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Modère un peu, mauvais, des transports si soudains. v.1226 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Peins de ses premiers traits ce visage sévère ; v.1228 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Épargne un peu mes jours ; ma mort te coûte un frère. v.1229 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Ton courage est trop prompt, et ne peut m'affliger v.1230 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- De la perte du jour sans te désobliger. v.1231 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Que deux puissants respects, l'amour et la naissance v.1232 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Ton discours si superbe et si respectueux v.1238 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Non, non, dispensez-nous de plus longues contraintes : v.1240 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Tout respect est banni de l'esprit d'un amant ! v.1243 (Acte 4, scène 6, THÉANE)
- Cesse d'aimer Céphise, ou respecte sa soeur v.1246 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Qui peut de ses beautés te rendre possesseur. v.1247 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Mais suis, perfide esprit, tes aveugles désirs ; v.1250 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Si vous ne finissez, n'accroissez point ma peine. v.1257 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Et perdant mon amour, je perdrai la lumière, v.1265 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Vous a fait pour ma perte entendre ce propos ? v.1267 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Adieu, réprime un peu ton insolente envie, v.1268 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- M'as-tu rendu suspect son fidèle service ! v.1277 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Tu m'as de leur amour dépeint la violence, v.1280 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Et, sans m'apercevoir d'une égale folie, v.1288 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Me peut-on accuser de ces honteux accès v.1290 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Peux-tu par tes discours désavouer ta voix ? v.1295 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Adieu, dispense-moi d'ouïr tes rêveries, v.1296 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Perdez ce sentiment : v.1322 (Acte 4, scène 7, CÉLIDOR)
- Elle vous rend suspect un trop fidèle amant. v.1323 (Acte 4, scène 7, C?LIDOR)
- Et mes jours conservés au moment de ma perte. v.1329 (Acte 4, scène 7, C?LIDOR)
- Cherchons-le toutefois, ne perdons point de temps. v.1335 (Acte 4, scène 7, THÉANE)
- Tu vas m'entretenir de la perte du jour ; v.1351 (Acte 5, scène 1, CÉPHISE)
- Mais je crois que le ciel ne me luit qu'avec peine ; v.1360 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Si tu me dis son nom, sera ta récompense ; v.1373 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Quelques-uns par pitié partageraient mes peines. v.1380 (Acte 5, scène 1, CÉPHISE)
- Avec fort peu d'efforts rouvrirait ma blessure ; v.1401 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Et, sans t'entretenir de discours superflus, v.1406 (Acte 5, scène 1, CÉPHISE)
- Mais, perdant tout espoir, suivons notre entreprise, v.1408 (Acte 5, scène 1, C?PHISE)
- Ô perte indubitable ! v.1424 (Acte 5, scène 2, FILANDRE)
- Entre mille pensers qui me divertissaient v.1426 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- En ces lieux écartés où mes troupeaux paissaient, v.1427 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- M'ont fait tourner la vue et cesser mes pensées : v.1429 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Par le triste discours de ma peine infinie v.1444 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Adieu ; mon bien dépend de ce dessein funeste. » v.1456 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Que ma force ne peut divertir son trépas : v.1459 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Qu'elle ne permet plus qu'il paraisse à nos yeux ; v.1463 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Ton châtiment dépend de ton obéissance : v.1497 (Acte 5, scène 3, THÉANE)
- Pour recevoir ta peine obéis seulement, v.1498 (Acte 5, scène 3, TH?ANE)
- Peut réparer le crime et punir le coupable, v.1501 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Force pour mon repos ce respect qui m'outrage ; v.1509 (Acte 5, scène 3, THÉANE)
- Deviens un peu barbare, et ton crime s'efface. v.1517 (Acte 5, scène 3, TH?ANE)
- À vos cruels ennuis un peu de réconfort ; v.1519 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Peint Nérée inconstante aux yeux de Célidor, v.1530 (Acte 5, scène 3, CÉPHISE)
- Qui ne peuvent souffrir ce forfait odieux. v.1535 (Acte 5, scène 3, C?PHISE)
- N'ouïront plus de mon coeur plaindre la douce perte, v.1549 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Mon oeil de ces rochers voit les têtes superbes, v.1553 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Mais j'aperçois Nérée. v.1556 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Qu'avec peine les dieux souffrent à leurs autels, v.1563 (Acte 5, scène 4, FILANDRE)
- Changez-en des effets ces discours superflus : v.1579 (Acte 5, scène 4, FILANDRE)
- Un perfide élément en a borné le cours. v.1583 (Acte 5, scène 4, FILANDRE)
- L'a vu précipiter et sa vie et sa peine : v.1585 (Acte 5, scène 4, FILANDRE)
- Enfin permettez-moi de mourir ou de vivre ; v.1589 (Acte 5, scène 5, THIMANTE)
- Ne peuvent consentir d'accorder le secours ? v.1611 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Laissons agir un peu la douleur qui le presse. v.1613 (Acte 5, scène 6, THÉANE)
- Fille vaine et superbe, il t'est doux de la voir. v.1615 (Acte 5, scène 6, CÉPHISE)
- Et perds l'âme et la vie en son humide sein. v.1619 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Le peuple souriant et ses liens défaits : v.1631 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Vous me verrez égal à l'arrêt de ma peine ; v.1644 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Et ma perte dépend d'un moment de douleur. v.1647 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Pour la seconde fois ce superbe élément, v.1651 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Et cherche à ses dépens le moyen de guérir. v.1663 (Acte 5, scène 6, THÉANE)
- Sur ce sein, si tu veux, prends quelque récompense ; v.1665 (Acte 5, scène 6, TH?ANE)
- Perd son premier dessein : ne mourons point, Madame ; v.1669 (Acte 5, scène 6, THIMANTE)
- Et je n'avais pas fait sans une peine extrême v.1676 (Acte 5, scène 6, CÉPHISE)
- Il conserve Thimante, il dissipe ma crainte. v.1681 (Acte 5, scène 6, C?PHISE)
- Je t'ai peint infidèle en faveur de Filandre, v.1684 (Acte 5, scène 6, C?PHISE)
- Et ce coeur repentant bénit sa destinée v.1688 (Acte 5, scène 6, C?PHISE)
- Son oeil avait perdu la lumière du monde v.1704 (Acte 5, scène 7, MÉNALQUE)
- Ce spectacle d'horreur m'arrêtait sur ces bords, v.1718 (Acte 5, scène 7, MÉNALQUE)
- Thimante ne vit plus, et sa perte assurée v.1736 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Toutes deux ressentant la perte de Thimante, v.1740 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Que de ma perte aussi ta mort sera suivie ; v.1753 (Acte 5, scène 8, THÉANE)
- Les plus chères faveurs qu'un esprit peut donner. v.1755 (Acte 5, scène 8, TH?ANE)
- M'oblige davantage à lui percer le flanc : v.1759 (Acte 5, scène 8, NÉRÉE)
- Sa mort par votre main ne peut me satisfaire ; v.1760 (Acte 5, scène 8, N?R?E)
- Permettez à la soeur la vengeance du frère. v.1761 (Acte 5, scène 8, N?R?E)
- Et ne désire point qu'on diffère ma peine. v.1777 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Et la raison ne peut me sauver de ses mains. v.1779 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Et les crimes d'amour, après la repentance, v.1784 (Acte 5, scène 8, THIMANTE)
- Tu te vois délivré d'une sensible peine. v.1797 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
- Peux-tu sans violence offrir ta liberté v.1814 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
- À celle en qui l'Amour mit si peu de beauté ? v.1815 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Tu feras aisément par tes perfections v.1818 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Tu peux attendre un mois. v.1826 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
VENCESLAS (1648)
- Perd beaucoup de son lustre, et s'est bien effacé, v.14 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Et ce désir (dit-on) peu discret, et trop prompt, v.21 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Mais, comme les douceurs, en saurez vous les peines : v.32 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Ici, mon seul respect, contient votre caprice ; v.51 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Pour soutenir mon trône, et dispenser mes lois ; v.54 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Sans blesser les respects, dûs à mon diadème, v.55 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Encore, est-ce trop peu ; votre aveugle colère, v.63 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- À combattre l'orgueil, des peuples ottomans ; v.70 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Vient de sauver mon sceptre, et peut-être ma vie, v.76 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Et régnez dans les cours, par un sort dépendant, v.109 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Ni les profonds respects, dont le Duc vous révère, v.124 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Ni la soumission, d'un peuple qui vous rit ; v.126 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Mais surtout (et delà, dépend l'heur des couronnes) v.183 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Savoir bien appliquer, les emplois, aux personnes, v.184 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Élever peu de gens, si haut qu'ils puissent nuire, v.187 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Qu'il pense mûrement, au choix de son salaire ; v.220 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- S'il méconnaît mon rang, respecte mon amour ; v.222 (Acte 1, scène 1, LADISLAS)
- Il m'ôtera le sang, qu'il n'a pas respecté, v.241 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
- Puisque, je suis au peuple, en si mauvaise estime, v.243 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
- Ma créance, mon fils, sans doute, un peu légère, v.251 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- De votre seul repos dépend toute ma joie ; v.263 (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
- Le Prince, est mon aîné je respecte son rang, v.273 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
- Et par un repentir, digne de votre grâce, v.279 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Oui, du degré de l'âge, il faut porter la peine, v.284 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
- Laissez, à mon respect, vaincre votre courroux. v.293 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Ô nature, ô respect, que vous m'êtes cruels ! v.297 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
- Dispensez-moi, Seigneur, de cette indignité. v.322 (Acte 1, scène 3, LE PRINCE)
- De vos discords passés, perdez le souvenir. v.326 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Je voudrais perdre encore, et le sang, et la vie. v.328 (Acte 1, scène 4, LE DUC)
- Avec si peu de gens, avoir fait nos frontières, v.335 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Et dans si peu de jours, par d'incroyables faits, v.337 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Ce respect est frivole ; v.344 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Par le dépôt, la perte, où l'oubli s'en hasarde. v.348 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Où mon respect s'oppose, apprenez, téméraire, v.359 (Acte 1, scène 4, LE PRINCE)
- Blesse votre respect, il offense mon devoir. v.362 (Acte 1, scène 4, LE DUC)
- Ne peut prendre des lois, ni d'un roi, ni d'un père. v.368 (Acte 1, scène 5, LE PRINCE)
- Pensez, à votre tête, et prenez un avis. v.370 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Les siens, qu'il agrandit, les charges qu'il dispense, v.379 (Acte 1, scène 6, LE PRINCE)
- Ne lui tienne pas lieu, d'assez de récompense, v.380 (Acte 1, scène 6, LE PRINCE)
- Cependant, daignez mieux, et d'un père irrité, v.389 (Acte 1, scène 6, OCTAVE)
- Enfin, si son respect, ni le mien, ne vous touche, v.395 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Que déjà d'une voix, tout le peuple lui donne ; v.400 (Acte 2, scène 1, TH?ODORE)
- C'est appeler l'honneur au secours de son vice ; v.424 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Ses voeux, un peu bouillants, vous font beaucoup d'ombrage ; v.431 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Et puis, qu'est un palais, qu'une maison pompeuse, v.435 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Qu'à notre ambition, bâtit cette trompeuse ? v.436 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- N'appelleriez-vous rien la perte, de mon cour ? v.442 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Vous feriez un échange, et non pas une perte ; v.443 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Et ce que vous nommez des voeux un peu bouillants, v.445 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Respect, qui me retient, à l'ardeur qui m'emporte, v.460 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Il s'agit de me perdre, ou de me secourir, v.465 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- De lui donner pour reine, une femme suspectE ; v.475 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Et quelle qualité, voulez-vous qu'il respecte, v.476 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- En un objet infâme, et si peu respecté, v.477 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Il y respectera, la vertu la plus digne ; v.479 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Mon respect s'oublia, dedans cette poursuite, v.491 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Sitôt que le respect, m'a décillé la vue, v.495 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Accordez-la, Madame, au repentir profond, v.505 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Et je perdrai le jour, avant qu'y consentir ; v.518 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Et si peu de respect, et si peu de conduite ; v.520 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Qui ne m'appelait point, au rang de votre femme ; v.524 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Et pour me perdre enfin, mettez tout en usage ; v.540 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Vous perdez avec lui, l'espoir d'un diadème. v.552 (Acte 2, scène 2, THÉODORE)
- Régner, ne peut déplaire, aux âmes généreuses. v.555 (Acte 2, scène 2, THÉODORE)
- Ont beaucoup de sujets, et peu de liberté. v.558 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Je ne veux point dépendre, et veux être reine ; v.560 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Où ma franchise, enfin, si jamais je la perds, v.561 (Acte 2, scène 2, CASSANDRE)
- Pour me persuader, qu'on dût mette en balance, v.567 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Violons, violons ; des lois trop respectées, v.575 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Ne nous obstinons point à des voeux superflus ; v.577 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Aux trompeuses douceurs, de vos cruels appas ; v.582 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Je ne me repends pas d'un acte de vertu ; v.586 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- De vos superbes lois, ma raison dégagée, v.587 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Ne me peut pardonner ce que j'ai fait pour vous ; v.594 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Que faites-vous, ô mes lâches pensées, v.607 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- J'aimerai ses mépris, je bénirai ma peine. v.620 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Condamnez les pensers, qui me parleront d'elle. v.640 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Peignez-moi sa conquête, indigne de mon rang, v.641 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Avec un peu de peine on achète la gloire. v.647 (Acte 2, scène 3, THÉODORE)
- Hélas ! Il est aisé de juger de ma peine, v.651 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Je la perds pour maîtresse, et l'acquiert pour sujette, v.660 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Ô raison égarée ! Ô raison suspendue, v.683 (Acte 2, scène 4, THÉODORE)
- Pour réputer mes yeux les auteurs de sa peine. v.688 (Acte 2, scène 4, TH?ODORE)
- Les devoirs, les respects, les soins qu'il m'a montré v.698 (Acte 2, scène 4, TH?ODORE)
- Par quelles actions se peut-on signaler, v.717 (Acte 2, scène 4, TH?ODORE)
- Ne me peut aujourd'hui souffrir l'heur de sa vue. v.724 (Acte 2, scène 5, THÉODORE)
- Et d'un indifférent la perte m'est sensible : v.728 (Acte 2, scène 5, TH?ODORE)
- À peine deux moments ont suivi sa sortie. v.736 (Acte 2, scène 6, THÉODORE)
- Si sous d'honnêtes lois amour le peut ranger, v.742 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Ses mauvais procédés ont trop dit ses pensées, v.743 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- On peut voir l'avenir dans les choses passées ; v.744 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Quel fruit peut tirer d'elle une flamme inconnue ? v.760 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Et que puis-je espérer sous ce respect fatal v.761 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Que m'avez-vous produit indiscrètes pensées, v.767 (Acte 3, scène 1, LE DUC)
- Quelque profond respect qu'ait eu votre poursuite, v.775 (Acte 3, scène 1, LE DUC)
- Que peuvent exercer de superbes vainqueurs. v.790 (Acte 3, scène 1, LE DUC)
- Duc, un trop long respect me tait votre pensée, v.791 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Elle vous est suspecte, ou vous la violez, v.793 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Fait pour vous tout l'effort que l'amitié peut faire ; v.800 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Cependant vous semblez encore mal assuré, v.801 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Parlez, Duc, et sans peine ouvrez-moi vos secrets, v.817 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Il est prince, Seigneur, respectons sa furie ; v.834 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- J'ai des respects encore plus forts que sa défense. v.838 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Peut seule à l'ennemi dérober ma défaite. v.842 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Sont ces puissants respects, à qui vous déférez : v.852 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Qu'égaré je me cherche, et demeure en suspends v.859 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Vous me croyez bien lâche, ou bien peu votre ami. v.864 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- La surprise ne peut instituer un traître ; v.870 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Et tout homme de cour pouvant perdre le jour, v.871 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Et qu'il me soi permis une fois de me taire; v.877 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Au reste, (et cet avis) s'ils vous étaient suspects v.879 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Vous peut justifier mes soins et mes respects. v.880 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Cassandre par le Prince est si persécutée v.881 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Qu'un rival persécute, et trouble à tout propos. v.892 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Pour d'un nouvel effort en faveur de sa peine v.901 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Qui peut... v.907 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Mais vous souffrez bien peu d'un transport si modeste, v.910 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Marque bien plus d'amour qu'un si respectueux. v.912 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Par le lustre d'un joug éclatant et pompeux ; v.940 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
- Madame, il ne se peut que mes voeux ne succèdent, v.966 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- je vois peu de matière à tant de vaine gloire : v.982 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Votre empire s'étend sur peu d'autres esprits. v.992 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Un hymen que mon rang ne me pouvait permettre. v.998 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Mais je n'ai pas trouvé qu'elle en valut la peine : v.1006 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- J'ai perdu le désir avec l'espérance, v.1013 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Dieux ! Avec quel effort et quelle peine extrême v.1021 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- Et de votre valeur, verrai la récompense : v.1037 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- Et l'âme qu'une fois on a persuadé v.1057 (Acte 3, scène 5, LE DUC)
- En votre récompense éprouvez ma justice, v.1069 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Que c'est une faveur qu'on ne me peut ravir ; v.1076 (Acte 3, scène 6, LE DUC)
- Mon renom ne vous peut souffrir sans se souiller, v.1087 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- J'ai fait tous les efforts que la raison peut faire ; v.1110 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Mais en vain mon respect tâche à me contenir, v.1111 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Ma raison de mes sens ne peut rien obtenir ; v.1112 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Pour un fils sans respect, perdez l'amour d'un père ; v.1114 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Et que tous vos souhaits dépendront de vous-même. v.1134 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Je me mets trop en peine, et je prends trop d'alarmes ! v.1138 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Vous en prenez sans doute un peu légèrement v.1139 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- Où le corps à l'esprit s'assujettit si peu ? v.1144 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- D'où dépend notre gloire et notre bonne odeur ? v.1148 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- Pour n'en point être peiné, il n'en faut rien apprendre, v.1153 (Acte 4, scène 1, LEONOR)
- Et nous laisse imprimée, ou point, ou peu de crainte : v.1158 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Hélas ! J'ai vu la main qui lui perçait le flanc ! v.1163 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- D'où j'apprends que ma peur n'est pas sans fondement, v.1172 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Où ma perte de sang, et ma chute me laisse ; v.1178 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Je me traîne avec peine, et j'ignore où je suis. v.1179 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Mes plus secret pensers jusqu'au fond de mon cour, v.1188 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Mon cour de son service à peine est diverti, v.1195 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Mais, au moindre penser, mon âme transportée v.1205 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Peut plus que ma colère, et plus que les mépris : v.1208 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Pernicieux avis, hélas ! Qu'as-tu produit ? v.1212 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- D'où, tout soin, tout respect, tout jugement perdu, v.1219 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Pendant qu'en l'escalier tout le monde est en plainte, v.1230 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Par le sang que je perds mon cour enfin se glace, v.1237 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Où (non sans peine encore) je reviens en moi-même. v.1241 (Acte 4, scène 2, LE PRINCE)
- Ma faiblesse me chasse, et peut rendre évident v.1243 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Qui souhaite la mort, craint peu quoiqu'il advienne, v.1254 (Acte 4, scène 3, LE PRINCE)
- Mais quel soin peut du lit vous chasser si matin, v.1287 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Ô Dieu ! Le Duc est mort, perfide ! v.1294 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Mon oeil peut-il si tôt démentir mon oreille ? v.1302 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Ha Duc ! Il était temps de tirer ma pensée v.1305 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- M'as-tu trompé ma main ? Me trompez-vous mes yeux ? v.1312 (Acte 4, scène 5, LE PRINCE)
- Des peines et des prix juste dispensateur v.1316 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Que vous coupent le voix, et font parler vos pleurs ! v.1324 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Et de peur de soupçon, arrivant sans escorte, v.1365 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- À peine eut mis le pied sur le seuil de la porte, v.1366 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Peut être verriez-vous, la main qui l'a versé, v.1395 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- D'assassin de son frère, il peut être le vôtre, v.1397 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Si mes vives douleurs ne vous peuvent toucher, v.1403 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Ni la perte d'un fils qui vous était si cher : v.1404 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Ni l'horrible penser du coup qui voua la coûte, v.1405 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Et tout ce qui pour moi vous peut solliciter, v.1435 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Au prix du coup fatal qui me perça le coeur, v.1447 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- M'oblige, à perdre encore, celui qui m'est resté ! v.1488 (Acte 4, scène 7, LE ROI)
- J'ai plaint la mort du Duc, comme d'une personne, v.1497 (Acte 5, scène 1, THÉODORE)
- Votre mérite, Duc, vous peut beaucoup permettre, v.1530 (Acte 5, scène 2, THÉODORE)
- Que votre seul respect, avec votre prudence ; v.1546 (Acte 5, scène 2, THÉODORE)
- Il sera superflu, de tenter mon crédit, v.1567 (Acte 5, scène 3, LE DUC)
- Et me perçant le coeur, le veulent partager, v.1571 (Acte 5, scène 3, LE ROI)
- Entre mon fils à perdre, et mon fils à venger, v.1572 (Acte 5, scène 3, LE ROI)
- Voulez-vous, ou marquer, ou remettre mes peines ? v.1585 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- Et qu'un effort mortel, ne peut aller loin. v.1595 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- Pour ne vous perdre pas, j'ai longtemps combattu, v.1607 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Vous la devez au peuple, à mon frère, à vous-même, v.1625 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- C'est peu pour satisfaire, et pour plaire à Cassandre, v.1629 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- Pour conserver mon sceptre, il faut perdre mon fils ! v.1648 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Consultez-vous un peu ; contre votre fureur, v.1663 (Acte 5, scène 6, THÉODORE)
- Le murmure du peuple, et de l'état entier, v.1691 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
- Suspendent en mon sein, cette ardeur vengeresse ; v.1694 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
- Ce lion est dompté, mais peut-être, Madame, v.1709 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Peut-être, qu'à mon sang, sa main accoutumée, v.1713 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Qu'il est prince, en effet, et qu'il peut se le dire ! v.1722 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- C'est peu, que pour un prince, une faute s'efface ! v.1737 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Ce que veut tout l'État, se peut-il dénier ? v.1743 (Acte 5, scène 7, LE DUC)
- Oui peuples, il faut vouloir, ce que vous souhaitez ; v.1759 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- L'État vous la souhaite, et le peuple m'enseigne, v.1773 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- M'appeler de ce nom, v.1779 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Une perte est aisée, ou l'amour vous convie ; v.1785 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Je ne perdrai qu'un nom, pour sauver une vie ; v.1786 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Le Duc, pour récompense, a requis cette grâce, v.1789 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Le peuple mutiné, veut que je vous la fasse ; v.1790 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Sans peine, je descends de ce degré suprême, v.1793 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Sans peine, je renonce, à ce degré suprême ; v.1797 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Mais elle régnera, pour dispenser vos lois ; v.1804 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Qui m'expliquant si mal, vous rend toujours suspects, v.1815 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
- Mes plus ardents devoirs, et mes plus grands respects ; v.1816 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
- Peut vanter son bonheur, et peut dire être Roi ; v.1824 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Par lui, toute l'Europe, ou nous craint, ou nous aime ; v.1830 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Ô de tous mes travaux, trop digne récompense ! v.1842 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
- De vous seule dépend, et mon sort, et me vie. v.1849 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
- Qu'avec le nom de prince, il perde votre haine, v.1853 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Ha quel temps le peut faire ? v.1857 (Acte 5, scène 9, CASSANDRE)
- Si je n'obtient au moins, permettez que j'espère, v.1858 (Acte 5, scène 9, LE PRINCE)
AMARILLIS (1653)
- Je commence à vous voir, et vous n'avez qu'à peine v.1 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Haussez un peu la voix. v.43 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Viennent perdre leurs soins, et leur inquiétude : v.50 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Chacun y fait l'Amour, peu de monde y soupire. v.54 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Ah le perfide ! v.61 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Toujours triste et pensif, et toujours l'oeil humide, v.62 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Écoutez donc comme il conte sa peine. v.70 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Si bien, que ce perfide est le seul qui lui plaît, v.79 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Et l'on ne peut qu'à tort condamner mon silence. v.90 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- La plus froide ne peut accuser mon caprice. v.98 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Dieux ! combien je perdrais, en perdant ces écrits, v.99 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- On ne peut condamner votre inclination. v.104 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Il mérite beaucoup : mais en peu de discours, v.107 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Je lui plus toutefois, sans penser à lui plaire. v.118 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Quiconque est riche, enfin partout peut être gendre, v.130 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- De ce Siècle pervers c'est le plus riche don, v.131 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Et son profond respect sut si bien m'émouvoir v.135 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Après un peu d'absence a violé sa foi, v.144 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Mais comme notre sexe aime avec plus de peine, v.146 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Et ne peut sans rougir courir au changement. v.148 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Cachons-nous de peur qu'il ne nous voie. v.149 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- La peine et les efforts de l'acquisition, v.168 (Acte 1, scène 2, TYRÈNE)
- Et donne un peu de trêve au tourment qui te presse. v.172 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Avez-vous vu l'objet qui fait naître ma peine ? v.176 (Acte 1, scène 2, TYRÈNE)
- Me défend seulement de parler de ma peine ? v.184 (Acte 1, scène 2, TYRÈNE)
- A peur de le savoir, de peur de le guérir. v.186 (Acte 1, scène 2, TYR?NE)
- Traître, que tu sais mal cacher ta perfidie ! v.196 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Approche, appelle-moi ta Reine et ton Soleil. v.202 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Quoi, tu ne peux forcer cette inutile honte ? v.203 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Fassent au moindre vent si peu de résistance, v.240 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Sans te voir ! je m'abuse, et ma triste pensée v.251 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Tu profiterais peu de n'y consentir pas. v.266 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Où peut être ma soeur ? v.277 (Acte 1, scène 4, AMARILLIS)
- Ce n'est que de mon coeur que leurs plaisirs dépendent, v.287 (Acte 1, scène 4, AMARILLIS)
- Comparez nos tourments, considérez nos peines, v.291 (Acte 1, scène 4, TYRÈNE)
- Son inclination ne se peut comparer. v.298 (Acte 1, scène 4, TYRÈNE)
- Et si je désirais de recouvrer ma perte. v.320 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- J'ai vu le peu d'état qu'on fait de ton service, v.323 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Ne figurant pas mieux ta peine et ton souci, v.337 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Tu lui parlais de pleurs pour exprimer ta peine, v.339 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Crois que tu pourrais peu sur cette âme inhumaine, v.343 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- Qu'en mon lieu tu serais en une même peine. v.344 (Acte 1, scène 5, TYR?NE)
- On ne peut rien gagner sur cette âme insensible. v.347 (Acte 1, scène 5, TYR?NE)
- Je percerai son coeur plus dur qu'un diamant. v.358 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Il m'est aisé de feindre, et de tromper sa vue. v.360 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Ce divertissement ne peut être que doux, v.361 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- De tes voeux dépendra tout mon contentement, v.365 (Acte 1, scène 5, TYR?NE)
- Avant qu'il soit longtemps je les attraperai. v.374 (Acte 2, scène 1, DEUXIÈME SATYRE)
- De se laver les pieds elles prenaient la peine ; v.376 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Et lorsque librement, et sans penser à nous, v.377 (Acte 2, scène 1, TROISI?ME SATYRE)
- Et les chiens de ma peau, se dussent-ils repaître, v.399 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Compagnon si la troupe alors t'eut aperçu, v.401 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Cette peinture est belle, et je te prie achève. v.419 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Pour être si petit, il est ribaud en Diable. v.440 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- La plus petite paille ira chercher fortune ; v.451 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Puis après de leurs peaux nous ferons les partages. v.456 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Qui peut, si ce n'est vous, chérir mes intérêts ? v.461 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Ha ma soeur ! pensez-vous qu'on le puisse estimé ? v.473 (Acte 2, scène 2, DAPHNÉ)
- Et n'eûtes-vous jamais de pareilles pensées ? v.476 (Acte 2, scène 2, DAPHN?)
- Mais quand on le veut fuir on le peut éviter. v.482 (Acte 2, scène 2, AMARILLIS)
- Je travaillais pour vous, mais j'ai perdu ma peine. v.508 (Acte 2, scène 2, DAPHNÉ)
- Tu ne sais pas bien l'art qui la peut engager. v.521 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Ce sexe que toujours nous avons respecté, v.525 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Ces superbes vainqueurs deviendraient nos esclaves, v.528 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Te peux-tu garantir des beaux yeux de Daphné ? v.534 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Je me peux excuser sur son mérite extrême. v.535 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Ne crains point de faillir, ni de perdre ta peine, v.543 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Je peints, quand bon me semble, un oeil plus beau qu'il n'est. v.546 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- J'attendrai cependant en ce lieu frais et proche, v.562 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- J'ai fait ce peu de vers depuis que travaille, v.594 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Mon amour me fournit mille pensers divers, v.613 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Je me vais retirer de peur de te distraire ; v.616 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Seuls ils peuvent prouver tes transports innocents ; v.621 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Seuls ils peuvent parler des ennuis que tu sens. v.622 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Dieux ! Appelant mon âme en cet heureux sommeil v.629 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Dieux que ces importuns ont peu de complaisance, v.631 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Dieux ! Quelle peur as-tu ? v.636 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Tu le peux rendre tel. v.645 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Par deux mots ajoutés, tu peux finir sa peine, v.680 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Et perdre en le sauvant le titre d'inhumaine. v.681 (Acte 2, scène 4, DAPHN?)
- Qu'il a peu de raison d'aimer ce qui le blesse, v.684 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Que mon peu de dessein témoigne sa faiblesse. v.685 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Bons Dieux on ne peut rien sur ce farouche esprit. v.687 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Cruelle, as-tu dessein de dépeupler la terre ? v.693 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Ta voix peut-elle plus que les traits qu'il nous tire ? v.701 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Son pouvoir t'est suspect, prenant pour lui les armes, v.704 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Et pensant l'obliger tu fais tort à ces charmes, v.705 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Et peut plus que ta voix. v.707 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Il peut beaucoup sans toi, n'ôte rien à sa gloire. v.709 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Tu ne peux m'échapper, mais quoi que je propose. v.713 (Acte 2, scène 4, PHILIDAS)
- Je crains peu ce danger. v.714 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Je tremble à ton aspect, v.714 (Acte 2, scène 4, PHILIDAS)
- Quoi ? Rien à mon amour ? Quoi ? Rien à mon respect ? v.715 (Acte 2, scène 4, PHILIDAS)
- Mais j'aperçois Tyrène, et quelqu'un qui le suit. v.722 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Mon meilleur compliment dépend de mon silence ; v.729 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Pour perdre ma franchise, et gagner du souci. v.743 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Mais quoi, je me tairai, de peur de vous déplaire. v.745 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- Le silence sied bien aux bouches peu disertes ; v.748 (Acte 2, scène 5, CLÉONTE)
- L'on ne peut dire mieux. v.750 (Acte 2, scène 5, DAPHNÉ)
- Cet agréable songe a flatté ma pensée ; v.765 (Acte 2, scène 6, PHILIDAS)
- Et comme un doux vainqueur suspecte sa conquête, v.800 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Perdez un peu, Berger, de cette vanité, v.806 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Et vous repentez-vous d'un acte de Justice ? v.809 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Suis-je trop peu discret pour cacher vos bienfaits ? v.810 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Dieux ! qu'à se déclarer une fille a de peine, v.812 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Quand je vous appelais sourde, ingrate et sans yeux, v.814 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Je n'ordonne la vie, et ne l'ôte à personne. v.821 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Un peu moins qu'autrefois. v.830 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Soyez impitoyable à ma peine amoureuse ; v.833 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Étouffez tout l'espoir qui me peut secourir, v.834 (Acte 3, scène 1, PHILIDAS)
- Un amant bien plus rare occupe mes esprits, v.842 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Mais quelqu'un vient ici. Mes plus chères pensées v.848 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Qui vous rend si pensive ? v.850 (Acte 3, scène 2, TYRÈNE)
- Vous pouvez y penser. v.856 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Avec tous ses effets perdra toujours sa peine. v.869 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Je l'aperçois qui vient ; ô Dieu ! qu'il est charmant. v.870 (Acte 3, scène 2, TYRÈNE)
- Bergère, sa beauté m'est peu considérable ; v.881 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Surtout l'art de tromper est fréquent à la Cour ; v.890 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Je n'augmenterai point cette troupe importune v.900 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Ont bien peu de rapport avec celles des Villes. v.909 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Il est atteint déjà, cruelle, et permettez, v.918 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Si je ne connais que vous pour objet de ma peine, v.924 (Acte 3, scène 3, CL?ONTE)
- Pesant ces qualités, d'un esprit plus rassis, v.942 (Acte 3, scène 4, TYRÈNE)
- Qu'un jaloux a de peine, il croit tout ce qu'il craint. v.958 (Acte 3, scène 5, DAPHNÉ)
- Adieu, craignez vous-même une pareille peine, v.960 (Acte 3, scène 5, TYRÈNE)
- À quoi pense Daphné ? v.968 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Je pensais à vous-même. v.968 (Acte 3, scène 6, DAPHNÉ)
- Et que peu de ton sexe aiment si constamment. v.971 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Je crois que ton amour est un peu refroidie. v.981 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Peut-être justement. v.987 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Permets-moi seulement de reposer une heure, v.989 (Acte 3, scène 6, DAPHNÉ)
- Peut-être en ce sommeil, mon mal s'apaisera. v.990 (Acte 3, scène 6, DAPHN?)
- Je sais que sur ce front des passions sont peintes, v.1004 (Acte 4, scène 1, DAPHNÉ)
- Enfin vous feignez bien, ou vous aimez un peu. v.1007 (Acte 4, scène 1, DAPHN?)
- Faites-lui cependant un peu moins de caresses ; v.1023 (Acte 4, scène 1, DAPHNÉ)
- Si vous l'aimez si peu, ne lui parlez point tant, v.1024 (Acte 4, scène 1, DAPHN?)
- Cela peut arriver, mais ce sera demain, v.1045 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Car un tiers tel que moi ne vous peut laisser battre. v.1046 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Enfin c'est trop railler, et vous laisser en peine ; v.1063 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Ah ! Célidan, j'ai peine à souffrir cet outrage. v.1078 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Vous me dispenserez d'en dire davantage. v.1087 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Rien ne peut divertir le dessein que j'en fais, v.1089 (Acte 4, scène 2, CL?ONTE)
- La peur ne me met point ce discours en la bouche, v.1095 (Acte 4, scène 2, CL?ONTE)
- Si dans peu les effets ne surpassent vos voeux, v.1096 (Acte 4, scène 2, CL?ONTE)
- J'accepte l'un et l'autre en cas de perfidie. v.1102 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Peut-on faire une intrigue avec plus de plaisir ? v.1105 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Et peu s'en est fallu que deux Amants jaloux v.1108 (Acte 4, scène 3, CL?ONTE)
- Tyrène est bien heureux, s'il s'en peut exempter. v.1117 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Je trompe l'une et l'autre, et toutes deux m'aimant, v.1124 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Vous me peigniez l'Amour plein d'appas et d'attraits, v.1148 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- J'approuve ce dessein, et pense que votre âme v.1158 (Acte 4, scène 4, DAPHNÉ)
- Ne se peut ennuyer d'une si belle flamme, v.1159 (Acte 4, scène 4, DAPHN?)
- Elle ne peut cacher le souci qui la touche, v.1174 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Ne peut jamais passer pour importunité, v.1181 (Acte 4, scène 5, AMARILLIS)
- J'ai peu de vanité, mais au soin de vous plaire v.1190 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Mais tenez pour suspects ces propos superflus. v.1193 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Quel effet de valeur vous en peut assurer ? v.1196 (Acte 4, scène 5, CL?ONTE)
- Où luit avec respect le clair flambeau du jour, v.1204 (Acte 4, scène 5, AMARILLIS)
- Et qu'un Amant bien fait a peu d'invention v.1241 (Acte 4, scène 6, CLÉONTE)
- Je pense qu'un Démon les cache à notre vue, v.1247 (Acte 4, scène 7, DEUXIÈME SATYRE)
- Tout beau, c'est un peu trop. v.1254 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- Qui frappe comme un sourd, et les coups qu'il applique v.1256 (Acte 4, scène 7, TROISIÈME SATYRE)
- Tu crains peu Célidan, et les cailloux qu'il jette. v.1263 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- J'aime peu ses cailloux, j'aime peu sa houlette. v.1264 (Acte 4, scène 7, DEUXIÈME SATYRE)
- Vous êtes plus heureux que vous ne pensez pas, v.1305 (Acte 5, scène 2, CLÉONTE)
- Jurez-lui que je ris de ses voeux superflus, v.1317 (Acte 5, scène 2, CL?ONTE)
- Et je suis tout confus d'avoir eu la pensée v.1323 (Acte 5, scène 2, CÉLIDAN)
- Vous causez maintenant ses pensers les plus doux, v.1338 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Si l'Amour vous permet assez de hardiesse. v.1340 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Mes timides regards sans peur s'expliqueront, v.1374 (Acte 5, scène 4, AMARILLIS)
- Cette onde lui peignant l'excès de mon ardeur, v.1377 (Acte 5, scène 4, AMARILLIS)
- Peste qu'il frappe fort. v.1389 (Acte 5, scène 6, PREMIER SATYRE)
- Et d'où vous peut venir cette confusion ? v.1402 (Acte 5, scène 6, PHILIDAS)
- Soyez un peu sensible aux rigueurs de mon sort, v.1405 (Acte 5, scène 6, PHILIDAS)
- Vous croyez, Philidas, un peu légèrement, v.1409 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- L'amour ne permet pas à votre rêverie v.1411 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Peste de l'Univers ? le plus méchant des hommes ! v.1424 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Tu n'en peux plus douter, entends d'ici sa plainte, v.1431 (Acte 5, scène 7, CLÉONTE)
- Et qui me vengera de ce perfide Amant ? v.1434 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Percer ce lâche sein que je n'ai su blesser ? v.1441 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- A-t-il perdu le sens ? v.1451 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Ô Dieux qui l'eût pensé ! v.1458 (Acte 5, scène 7, PHILIDAS)
- Et je puis maintenant tromper cette ennemie, v.1477 (Acte 5, scène 8, DAPHNÉ)
- J'aperçois cette belle. v.1480 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Le Ciel, âme sans foi, punit ta perfidie, v.1489 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Le superbe qu'il est ne considère pas v.1494 (Acte 5, scène 9, C?LIDAN)
- Et pensant obliger ma chaste affection v.1502 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Je l'aperçois qui vient. v.1506 (Acte 5, scène 9, C?LIDAN)
- Et que je foule aux pieds ce superbe vainqueur. v.1507 (Acte 5, scène 10, DAPHNÉ)
- Elle a perdu l'esprit ! Dieux qu'est-ce que j'entends ? v.1530 (Acte 5, scène 10, DAPHNÉ)
CLÉAGÉNOR et DORISTÉE (1634)
- Vallons, antres, rochers confidents de mes peines, v.1 (Acte 1, scène 1, CLÉAGÉNOR)
- J'ai monté des rochers les plus superbes têtes ; v.5 (Acte 1, scène 1, CL?AG?NOR)
- Ô Dieux ! à ce penser je conserve la vie v.18 (Acte 1, scène 1, CL?AG?NOR)
- Peut obliger ses yeux d'en arroser ces fleurs. v.24 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Théandre permets-moi d'accuser ma fortune, v.25 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Peins-moi comme il te plaît, fais ce qui te contente : v.38 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Que j'apprenne en deux mots ton servage et tes peines. v.41 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Ami, dispense-moi d'un rapport si funeste v.45 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Que nous n'avons jamais dû penser seulement v.62 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Attendant un festin dressé superbement v.86 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Je sens clore mes yeux, je perds tout sentiment, v.106 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Ami ta peine est grande, il faut que je l'avoue ; v.124 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- N'épargne ni mon temps, ni mes pas, ni ma peine v.129 (Acte 1, scène 2, TH?ANDRE)
- Ils seraient superflus, v.130 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Et j'étais descendu pour prendre un peu de l'eau v.134 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Qu'après quelques nouvelles apprises de ma perte v.140 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Je perdrais sans regret la lumière et la vie v.145 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Mon trépas avancé dissipera sa crainte v.148 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Ô Ciel je suis perdue ! v.157 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Frappe, j'attends le coup ma gorge s'est offerte ? v.160 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Pourquoi diffères-tu le moment de ma perte, v.161 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Éprouve âme perfide, v.168 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Mes soins en ce refus ont-ils leur récompense : v.177 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Qu'un vice récompense un acte de vertu, v.183 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Peut-être que mes pleurs auraient pu le toucher, v.187 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Et ton secours accroît la peur que j'ai soufferte, v.192 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- En l'espoir du salut j'ai rencontré ma perte : v.193 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Ne peut être touché de pleurs ni de soupirs. v.195 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Je ne respecterai plaintes, soupirs, ni larmes v.200 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Rien ne peut divertir, v.202 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Ton juste repentir v.203 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Et puisque son honneur dépend de ton trépas. v.206 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Le chemin que j'ai fait, et la peur que j'avais v.222 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Où la vue un moment ne me fut pas permise, v.237 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Par vous, leur dit Menandre, enfin tout m'est permis : v.243 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- J'attendrai, disait-il, la juste repentance, v.260 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Les respects qu'il feignait, ses voeux, sa modestie, v.276 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Sos ces faux vêtements il me tira de peine : v.285 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Quand le Ciel a permis que ta rare valeur, v.294 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Approchons, s'il se peut, cette heureuse retraite, v.301 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Qu'à peine je pourrai la souffrir un moment : v.307 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Qu'un peu d'eau, cher Amant, soulagerait ma peine, v.308 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Et ne me permet pas de m'y porter moi-même : v.313 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Mon chapeau me fera cet office au besoin. v.315 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Notre destin penchant est bientôt relevé. v.319 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Son habit promet moins de profit que de peine : v.325 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME_VOLEUR)
- Appelant du secours, je hasarde ma vie, v.343 (Acte 1, scène 4, DORISTÉE)
- Tu consultes pendard. v.345 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME_VOLEUR)
- Mais quelle prompte peur ? quelle frayeur nouvelle v.347 (Acte 1, scène 5, CLÉAGÉNOR)
- Car de l'imaginer ou volage ou perfide. v.354 (Acte 1, scène 5, CL?AG?NOR)
- Ami, puisque le sort t'appelle à l'exercice v.366 (Acte 2, scène 1, PREMIER_VOLEUR)
- Apprends en peu de mots l'unique invention v.368 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Et l'on permet les noms de voleur, de pendard, v.372 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Et comme la justice, il n'excepte personne. v.375 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Notre office au besoin permet l'embrasement, v.376 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- J'ai dans ce peu de mots compris ce qui dépend v.392 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Et nous, qu'aucune peur désormais ne possède, v.398 (Acte 2, scène 1, PREMIER, VOLEUR)
- Je vais un peu plus haut, où les arbres pressés v.420 (Acte 2, scène 1, PREMIER_VOLEUR)
- Le gentil exercice. Ô Ciel me peux-tu luire, v.422 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Quelle peur te défend une conquête aisée ? v.430 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Ô perfidie extrême. v.454 (Acte 2, scène 2, PREMIER_VOLEUR)
- Mon sort abject et bas vous fera repentir v.464 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- D'avoir tant obligé qui ne peut repartir. v.465 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Et sa tête superbe a réparé son crime : v.475 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Tes devoirs et tes soins ne dépendront que d'elle, v.491 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- Où peut-être le temps nous conseillera mieux. v.497 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Que de n'avoir pas fait sa peine plus sévère. v.515 (Acte 2, scène 3, CONSEILLER)
- Ce penser seulement ne peut m'entrer en l'âme. v.539 (Acte 2, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Peut-être qu'à présent sous l'extrême licence v.542 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Peut-être que ce soir ce trésor de vertu, v.544 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Rien ne peut insolent empêcher ton trépas. v.556 (Acte 2, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Quelque endroit où la peur t'ait fait dresser tes pas : v.557 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Prends plus loin, s'il se peut, un salutaire port, v.560 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Et qu'il me fût permis d'inventer un supplice v.566 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Ces sinistres pensers que je ne puis bannir, v.570 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Apprends en peu de mots, si j'en dois être en peine, v.584 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Nous demeure longtemps présente en la pensée, v.617 (Acte 2, scène 4, DIANE)
- L'art ajuste si peu sa beauté naturelle, v.636 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Que vous perdez beaucoup de l'entendre si tard ; v.651 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Que ne vous le permet votre sexe, et votre âge. v.665 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Il entre dans les coeurs par ces douces pensées, v.669 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Elle peut s'offenser de la même innocence : v.677 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Cependant entendons les accords ravissants v.682 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et ma raison qui perd son empire et ses forces v.688 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et qui prisera peu ce qu'il n'a point cherché. v.703 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Puisque le seul penser du dessein que tu fais v.706 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Cependant ayez soin que la table se dresse, v.729 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Et le désir du gain leur rend la peine douce, v.737 (Acte 3, scène 2, DIANE)
- Et qui peut plus sur moi de Dorante ou d'amour ? v.767 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Est-ce assez prolonger ma peine et ma misère ? v.769 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- Ai-je d'une insolente ou profane pensée v.776 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- Viens, cher Cléagénor, viens dissiper mes craintes. v.781 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- En quel lieu maintenant peux-tu dresser tes pas ? v.782 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Que je t'appelle tant et que tu ne viens pas ? v.783 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- N'accuse de ma perte et de tes longs travaux v.790 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Les lois de mon honneur ne le permettent pas, v.799 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Où peut-être il poursuit ses courses incertaines v.805 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- À sauver mon honneur de la perte apparente, v.809 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Et quelle ingratitude est peinte en ton visage ? v.813 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Je respecte le joug où mon destin m'engage, v.824 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Puis-je voir sans baiser sa vivante peinture ? v.841 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- J'ai quoique peu d'esprit moins de simplicité, v.851 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Laisse-moi décevoir à ces douces pensées v.864 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- La même honnêteté me permit ces desseins, v.866 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- On ne peut rendre aux morts que des hommages saints : v.867 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Ô respects superflus, v.870 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Quelle fatalité toujours prompte à ma perte, v.884 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Me conta l'autre jour vos amours et vos peines, v.901 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Que je conservai peu cette âme de mes jours ! v.915 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Qui peut obliger tôt oblige doublement. v.947 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Te dispense de honte et de discrétion ; v.951 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Qu'enfin à leur exemple il t'est permis d'aimer, v.955 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Force ici tout respect, c'est là qu'il faut oser. v.962 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Peut-être qu'un succès le rendra légitime, v.968 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Hymen peut en ma gloire allumer ses flambeaux, v.970 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Le Ciel sait que jamais de la moindre pensée v.996 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Toi tu ne peux parler ni voir que tu ne blesses, v.1001 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et c'est là le tourment que tu peux secourir. v.1003 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Pour peu qu'à ses plaisirs le coeur soit attaché, v.1034 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Donc que d'un saint respect nos voeux soient limités, v.1038 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Mais elle ne peut être et bien forte et bien pure. v.1041 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Quoi ? tu prises si peu mon amour et moi-même ? v.1048 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- On ne refuse rien aux personnes qu'on aime. v.1049 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- À ce qui me vaudrait un si cher repentir. v.1051 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Ton âge m'est suspect. La jeunesse imprudente v.1052 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- On ne peut arrêter son inclination, v.1054 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et perdant son amour, perd aussi votre honneur. v.1059 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Philemond, Diane est autre chose qu'on pense. v.1060 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Et le mal que tu crains ne te peut advenir, v.1063 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Comme l'affection le respect est extrême v.1064 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Non, porte ailleurs, Amour, tes conseils superflus, v.1078 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Ouvrant ses yeux lascifs, elle ouvre sa pensée, v.1088 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Mais elle voudrait bien se voir un peu forcée, v.1089 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Qui peuvent quelquefois à soi-mêmes indulgents v.1123 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- On ne peut être vieux à l'âge de vingt ans, v.1126 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Pour être plus heureux sois un peu plus osé, v.1154 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu ne peux, après tout, être que refusé, v.1155 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Il peut n'agréer pas, mais sa demande plaît. v.1163 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et tu refuserais de soulager sa peine ? v.1173 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Demande, Philemond, demande et me dispense, v.1176 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Épargne la rougeur dont ce front sera peint, v.1178 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Crois-tu faire brûler ce coeur qui t'est suspect ? v.1186 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et ne me parle plus avec tant de respect : v.1187 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Je ne soupçonne point votre chaste pensée v.1200 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Et forcer le respect de ce lien sacré, v.1202 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Tu me peux obliger à des termes plus courts, v.1206 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Un soudain repentir à ce mal serait joint : v.1210 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Ne te sera-ce point une sensible peine ? v.1225 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Votre vertu ne se peut trop louer, v.1235 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Estime-t-il si peu l'heur de vous posséder, v.1242 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Et vous plaît-il que j'aide à les persuader ? v.1243 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Page, occupe mon lit, viens ce soir en ses bras v.1246 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Et tu peux si longtemps de cet oeil effronté v.1250 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Nature peux-tu sous un si bel aspect v.1254 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Cacher tant d'infamie et si peu de respect, v.1255 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Partagez votre haine et perdez sa complice, v.1264 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- La même honnêteté peut parler de la sorte. v.1293 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Pourquoi peut-on avoir d'amoureux sentiments, v.1302 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Va pour finir vos maux recommencer mes peines, v.1309 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- Ne me fait pas faillir de la seule pensée, v.1321 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Et que vous ne pouvez refuser à personne, v.1325 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Cependant j'emploierai les pas de tant de gens, v.1326 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Reconnaisse dans peu cette obligation. v.1331 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- Vous permet ces dédains où votre flamme cesse ? v.1333 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Ton esprit arrogant se l'est persuadé, v.1343 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Et qui sait qu'il nourrit des desseins superflus, v.1358 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Et si peu convenable avecques mes défauts. v.1363 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Puisqu'on ne les peut voir et ne les aimer pas. v.1395 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Qui ne peut consentir que ma peine ait de fin. v.1399 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Dont vous vous servirez, peut-être utilement v.1411 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Et que je participe à tous vos déplaisirs. v.1427 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Et par son entretien jugez de sa pensée. v.1433 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Et Diane voudrait me coûter de la peine. v.1457 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- T'en peuvent assurer, si toi-même l'éprouves ? v.1462 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Qui vient peut-être aussi l'admirer et se rendre. v.1474 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Conter cet accident le peux-tu sans mourir, v.1479 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Philacte en ce besoin tu me peux secourir. v.1480 (Acte 5, scène 3, TH?ANDRE)
- Abrège s'il se peut la trame de mes jours. v.1484 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Plût au Ciel, lussiez-vous dans ma triste pensée, v.1485 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Et que de ce récit ma voix fût dispensée, v.1486 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Où le peuple assemblé me bouchait le passage : v.1490 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Mais qu'aperçus-je hélas ! un corps sanglant à terre, v.1494 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Dont un coup furieux outreperçait le flanc, v.1495 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Il voulut ajouter des discours superflus, v.1507 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Et ton affection peut être consolable, v.1522 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Et ne peut m'empêcher d'accourcir mon destin, v.1528 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Je puisse en liberté me plaindre de ma peine, v.1530 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Ami si par tes maux tu peux juger des miens, v.1535 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- En ces seules faveurs ma peine se termine v.1541 (Acte 5, scène 3, TH?ANDRE)
- Et de ses seuls refus dépendra ma ruine. v.1542 (Acte 5, scène 3, TH?ANDRE)
- Qui la peut divertir d'un heureux mariage, v.1549 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Mais Dorante vivant la loi ne permet point v.1551 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Condamne l'action et non pas la pensée. v.1558 (Acte 5, scène 3, PHILACTE)
- Il te faut avouer, que je ne puis sans peine v.1565 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Amis, crainte, respect, Cléagénor, Dorante, v.1586 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Acquiers à mes dépends cette beauté divine, v.1594 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Mon oeil suspend ici la source de ces larmes. v.1597 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Et ne diffère point ma perte et mon bonheur. v.1608 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Perfide ainsi toujours une âme criminelle v.1609 (Acte 5, scène 4, THÉANDRE)
- Et je te dépeindrai si charmant et si rare, v.1633 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Veux-tu que de ce fer je me perce le sein ? v.1636 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Jusqu'où ce repentir peut porter une femme, v.1638 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Que seule je t'oblige et dissipe tes soins v.1639 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Ne peut plus obtenir une prospère issue. v.1648 (Acte 5, scène 4, PHILACTE)
- Qui par cet accident dissipe mon effort, v.1662 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- J'ordonnais redoutant cette fatale perte, v.1667 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- Ne peuvent renverser l'ordre de tes arrêts. v.1674 (Acte 5, scène 5, TH?ANDRE)
- Il est mort le perfide. v.1679 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- À ce farouche abord j'ai lu dans vos pensées : v.1684 (Acte 5, scène 6, THÉANDRE)
- J'ai vu son marcher grave, et son maintien superbe, v.1708 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Mais perdons tout espoir et d'un commun dessein v.1717 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Peut-être ce jeune Astre est en son occident. v.1734 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Mais j'ignore en quel lieu peut respirer le jour v.1737 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Ma main de mille coups lui percera le flanc, v.1761 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- Quel charme a suspendu cette fureur extrême. v.1767 (Acte 5, scène 7, CLÉAGÉNOR)
- Ô soupçons superflus. v.1768 (Acte 5, scène 7, CLÉAGÉNOR)
- J'ai voulu par la peine augmenter votre joie, v.1771 (Acte 5, scène 7, THÉANDRE)
L'HYPOCONDRIAQUE (1631)
- Me sont autant de traits qui me percent le sein. v.6 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Hors de ce rare objet peut-on voir des appas ? v.17 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Et la cour peut-elle être où ma reine n'est pas ? v.18 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Vaines impressions : triompher de Perside, v.23 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Cependant ses beautés, en ce comble de gloire, v.27 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Après un peu d'effort, ses esprits languissants v.29 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Rien ne peut divertir la sentence homicide v.39 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Qui me doit aujourd'hui séparer de Perside. v.40 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Mais, dieux ! Je l'aperçois ; que son oeil gracieux v.41 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Nous peut-on reprocher qu'en nos plus doux plaisirs v.49 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Ne peut sentir l'effort d'une mauvaise issue : v.60 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Ah, dieux ! Toujours portés aux desseins de nos peines, v.63 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Qu'on prise vos faveurs avec peu de raison, v.65 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- La cour ne peut dresser d'embûche à mon devoir, v.73 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Un exemple éternel de respect et de gloire ; v.80 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Que d'appréhensions se joignent à ma peine ! v.92 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Perside, en cet adieu, mon dessein déclaré. v.97 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Et que l'effort du temps, qui peut finir nos vies, v.99 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Ne peut finir le cours de mes chastes envies. v.100 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Et moi, si l'on peut voir un amoureux transport v.101 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Je veux que tout défère à ma persévérance, v.103 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Ne peut rien sur mes feux ni sur tes cruautés ! v.122 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Joigne à tant d'apparence un peu de vérité ; v.138 (Acte 1, scène 2, CLÉONICE)
- Ne feraient qu'augmenter ma peine et vos furies. v.148 (Acte 1, scène 2, CLÉONICE)
- C'est trop peu, belle ingrate, il faut, pour te complaire, v.155 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Exigent-ils encor des peines plus cruelles ? v.160 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Une humeur résolue, et qui ne peut changer ; v.166 (Acte 1, scène 2, CLÉONICE)
- Que tous ces vains discours de constance et de peine v.167 (Acte 1, scène 2, CL?ONICE)
- Peuvent moins disposer à l'amour qu'à la haine. v.168 (Acte 1, scène 2, CL?ONICE)
- Les réduirait peut-être eux-mêmes à se plaindre : v.188 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Si ton aide ne rend un service à ma peine. v.212 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Qu'il vous doive permettre un sentiment douteux ? v.214 (Acte 1, scène 3, ÉRISTHÈNE)
- Peut ajouter du lustre à mon affection ; v.218 (Acte 1, scène 3, ?RISTH?NE)
- On peut tout obtenir d'une ingrate beauté ; v.222 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Les plaisirs amoureux qui sont dus à ma peine v.223 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- C'est où ton amitié peut servir mon amour. v.226 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Spectres, ne paraissez qu'à de faibles esprits, v.236 (Acte 2, scène 1, CLÉONICE)
- Mon oeil s'attache en l'air, et d'un peu de vapeur v.259 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Forme, abusé qu'il est, les sujets de sa peur : v.260 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Quel est ce bras armé qui lui perce le flanc, v.263 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Mais comme en un moment la vapeur séparée v.265 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Mon oeil rendu plus sain ne peut plus s'occuper v.267 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Au plaisir qu'il a pris lui-même à se tromper : v.268 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Le vent n'agite plus ces petits arbrisseaux ; v.271 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Le repos même a peur que ces fleurs ne se baisent ; v.273 (Acte 2, scène 1, CL?ONICE)
- Et, comme le respect enfin m'est un poison, v.295 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Un esprit peut brûler d'une éternelle flamme, v.298 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- On ne peut redouter de sinistre accident : v.304 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Tu ne peux ignorer que les pleurs ont des charmes, v.325 (Acte 2, scène 2, ÉRISTHÈNE)
- Les yeux à qui les tiens résistèrent si peu v.327 (Acte 2, scène 2, ?RISTH?NE)
- Un timide respect lui tient la bouche close. v.330 (Acte 2, scène 2, ?RISTH?NE)
- Si Tantale aux enfers peut oublier ses fruits. v.331 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Que tu mets peu d'appas en ce contentement ! v.335 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Non, tout respect à part, mon repos m'est si cher... v.339 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Qu'avec peu de respect l'eau coule sur ces marbres ; v.346 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Imite mon respect, et lis dans ma langueur v.351 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Conseille à ton devoir si peu de révérence ? v.358 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- N'es-tu pas tout de flamme ? Et peux-tu, coeur abject, v.359 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- L'amour et le respect ôtent bien le courage, v.366 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Te convainc clairement de peu d'affection. v.376 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Vous condamnez, mauvaise, un coeur qui vous respecte, v.377 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Et de qui la candeur ne peut être suspecte. v.378 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Dieux ! Puis-je d'une voix qui peut fendre des roches, v.381 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Qui même en ce moment blâme et cause ma peine... v.386 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Les rochers sont trop durs, on n'y peut reposer. v.392 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Inutiles respects, auteurs de mon tourment, v.403 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Ici ton amitié ne peut trop favorable v.409 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Qui conserve ma vie et détourne ma perte. v.414 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Ah ! Si quelque respect de mon intégrité... v.419 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Serpents, tigres, lions, ours, qu'ici votre rage v.425 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- C'est de vous seulement que dépend mon bonheur, v.427 (Acte 2, scène 2, CL?ONICE)
- Ne peuvent triompher de ton ardeur éteinte, v.430 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Peut tirer cet effet de ton sang répandu : v.432 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Mais, dieux ! Je perds ensemble et la vie et la voix. v.448 (Acte 2, scène 3, ÉRISTHÈNE)
- Comme il fut mon objet, me sert de récompense ; v.458 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Mais qu'ici mes transports usurpent de licence, v.465 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- Et quoi que le respect oppose à ma raison, v.471 (Acte 2, scène 3, CL?ONICE)
- Mais souffre qu'une dame un peu plus absolue v.481 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Tu peux infiniment augmenter ce plaisir. v.496 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- Allons, si tu promets que rien ne peut ravir v.499 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Les entretiens sont vains, les attraits superflus, v.503 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Mais qu'un puissant respect à ma douleur s'oppose, v.509 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Quel heur puis-je espérer de ces appas perdus, v.511 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Le devais-tu forcer à perdre ce qu'il aime, v.517 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Et peux-tu consentir à le perdre toi-même ? v.518 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Portez à mon amant mes plus chères pensées ; v.534 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Voeux, atteignez dans peu cet aimable vainqueur, v.535 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Page, que mon amant ait dans peu ces nouvelles : v.537 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- On n'y peut réussir... v.540 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Puissant dieu des amants ! Seul auteur de mes peines, v.545 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Et qu'on est aveuglé de te peindre sans yeux ! v.548 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Et s'il te suffisait de mon repos perdu, v.555 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Qu'un peu de flatterie et tant d'ingratitude ; v.562 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Et ne peut égaler le supplice au péché. v.572 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- De tout ce qui peut rendre un beau feu manifeste ! v.574 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Et toutefois je frappe avec tous ces appas v.575 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Quel objet peut donc vivre en ton âme ? v.578 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Perside ! v.578 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Pour qui Perside sent v.583 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- C'est Corinthe ; on me nuit pour peu qu'on me détourne. v.589 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Il n'est plus à Perside, il est à Cléonice. v.593 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Tiens, me peux-tu payer de ces joyaux offerts ? v.599 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Ici j'ai pour suspects et mes doigts et mes yeux. v.611 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Souffrez-vous que ma peur si longuement balance, v.613 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Quand des présents si chers ne seront plus suspects, v.615 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Pour vous plaire, ce coeur viole tous respects. v.616 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Que tu peux alléger le mal qui me tourmente ! v.617 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Que j'ai de lui porter un peu de flamme au sein : v.620 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Pour te mander que rien ne peut rompre mes fers. » v.630 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- M'importune beaucoup, et profite bien peu ; v.640 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Mais non, ta passion peut achever nos peines, v.645 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Sois un peu plus cruelle et me perce le sein. v.648 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Crois qu'un soudain respect bornera tes pensées ; v.654 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Perside y défend bien qu'un autre le partage v.657 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et ses yeux dont l'éclat excède le penser ; v.660 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ces deux monts que ce dieu voit enfler peu à peu, v.663 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Furent peints dans ce coeur par un pinceau si doux, v.668 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et jamais le respect n'eut de si prompts effets. v.672 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Dieux ! Ce front peu serein et ces yeux abaissés v.675 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Pour te mander que rien ne peut rompre mes fers. » v.684 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi, Perside n'est plus ? v.685 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- En quel lieu trop secret te peux-tu confiner, v.691 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi, mon soleil est mort ? Quoi, Perside est sans vie ? v.693 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Petits dieux comme nous infirmes et mortels, v.699 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- J'enferme votre gloire au tombeau de Perside ; v.714 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Barbare, tu peux voir ton semblable au cercueil, v.719 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ne mets point tant de peine à servir des ingrats ; v.724 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ah ! Mort, seule tu peux réparer mon malheur ; v.728 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Reçois, Perside... v.736 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Quels assez prompts devoirs rappelleront son âme, v.737 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- À quoi peut, juste ciel, ton courroux se résoudre ? v.745 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Je souffrirai trop peu si je meurs par le foudre ; v.746 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Si tu veux égaler sa peine à son forfait. v.748 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Ah ! Que votre grandeur me donne peu d'envie, v.769 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Si Perside est ici, les tourments y sont doux, v.771 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Suivons ce petit bruit, et cherchons pas à pas v.787 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Viens me conduire aux lieux où Perside m'attend. v.796 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Peut tout anéantir ce qui vit aux enfers ; v.804 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ni la flamme ni l'eau ne peuvent rien sur vous ; v.808 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Et mon affection ne peut rien par mes larmes. v.810 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Que tu n'auras jamais de dessein pour Perside ; v.822 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Perside, eh ! Quel malheur a changé ce courage, v.825 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- En ces propos obscurs qui peut... v.833 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Ainsi, Perside v.833 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Adieu, tu ne peux plus divertir mon dessein. v.844 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ta feinte est trop à nu, mets un peu plus d'étude v.849 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- N'use pour t'échapper de cette étrange sorte, v.853 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Où ton moindre vouloir te peut ouvrir la porte. v.854 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- M'est cher, et ne peut plus être éteint qu'au tombeau ; v.856 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- On trouve son repos dans la perte du jour, v.863 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Si ma perte et sa mort sont peintes sur son front. v.876 (Acte 3, scène 2, LA NOURRICE)
- Ciel ! Si j'osais forcer ton respect qui me lie, v.885 (Acte 3, scène 3, ÉRIMAND)
- Ma fille, unique espoir de mon âge penchant, v.895 (Acte 3, scène 3, ?RIMAND)
- Mon coeur ne peut changer et n'a point de constance ; v.902 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Soit qu'un triste penser représente à mes sens v.907 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Les lieux où j'ai permis des baisers innocents ; v.908 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Un tourment qu'on pourrait à peine concevoir, v.915 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Son absence vous tue, et que peut son trépas ? v.924 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Si mille fois les dieux permettaient d'y descendre, v.926 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Un beau dessein... mais, dieux ! Que ce penser me fâche ! v.930 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Se plaindre aux malheureux d'un peu d'ennuis soufferts, v.935 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Un esclave peut-il délivrer des liens v.939 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Ne peuvent séparer nos esprits amoureux. v.972 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- À qui fait vanité du bien qu'il a perdu, v.984 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Qu'un oracle entendu nous peut tirer de peine, v.990 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Qui marche à pas égaux, triste, grave, pensive. v.997 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Laissons ces vains respects aux âmes moins sensées, v.1009 (Acte 3, scène 4, CÉLINDE)
- Et m'ouvrez librement vos plus chères pensées. v.1010 (Acte 3, scène 4, C?LINDE)
- Proposé de couper le beau fil de son âge ? v.1026 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Donne un peu de licence à ces vives atteintes ; v.1030 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Sa beauté ne peut plus agréer mon servage, v.1041 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Serpent de qui l'aspect pour me tuer me flatte, v.1054 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Et, quoiqu'on vous épie avec peu de raison, v.1063 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Permettez cependant que libre je soupire ; v.1066 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- À ce qui peut servir en ce triste départ. v.1068 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Perside me parler, souffrir que je l'embrasse, v.1070 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Et toutefois j'ai cru, sacrilège pensée ! v.1077 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- La quitter, craindre plus leur perte que sa haine ! v.1082 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Les fers sont superflus alors qu'on peut jouir ; v.1084 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Et pour les mériter les perdre et m'outrager ? v.1100 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Il le faut, toutefois, Perside l'a voulu. v.1103 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Mais l'onde par respect ne les fait point mouvoir, v.1111 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Et me permet encor le bonheur de les voir. v.1112 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Tirez vos muids percés, allez porter vos roches ; v.1118 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Vous chérissez Perside, et vos ombres traîtresses v.1125 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Et, me rendant suspect à sa divinité, v.1127 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Et te fait éloigner de tes tonneaux percés ? v.1132 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Accorde un peu de temps au sens de mes discours, v.1143 (Acte 4, scène 1, CLÉONICE)
- Que l'esprit déchargé de ce pesant fardeau, v.1147 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Il reprend peu à peu sa nature première ; v.1150 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Séparé du sujet qui charme ta pensée : v.1158 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Perside est aux enfers, sans vie et sans amour, v.1159 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Pense voir par ses yeux, ouïr par ses oreilles. v.1173 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Subit l'arrêt fatal d'une peine éternelle ? v.1178 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Peux-tu bien sans douleur ouïr les voix plaintives, v.1181 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- C'est trop, c'est trop souffrir ce spectacle d'horreur ; v.1183 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Leurs bras sont trop pesants pour des fautes légères. v.1186 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Perside ici, ma reine ! Hé ! Cruelle, tu fuis ! v.1188 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Mais, las ! Que j'en ai peu d'aimer qui n'en a point. v.1192 (Acte 4, scène 1, CLÉONICE)
- Une âme en ce penser est digne de ta haine. v.1206 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Un roi peut-il vanter sa fortune seconde, v.1213 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- A cent fois en un jour pris et perdu la vie. v.1218 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Que verse Ganymède en la coupe des dieux. v.1224 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- A-t-elle vu d'instants ma lèvre suspendue, v.1226 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tu ne le peux nier, et toutefois, cruelle, v.1233 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tu me peux refuser une ardeur mutuelle ; v.1234 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Ces mots sont superflus, où la feinte est si claire. v.1253 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Un autre objet que toi vivrait dans sa pensée. v.1257 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Peux-tu porter les bras en de plus nobles fers ? v.1263 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Pourrai-je désormais sur quoi fonder ma peine ? v.1274 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Cessez, vaines erreurs, d'occuper ma mémoire, v.1281 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Me voir, en ces bas lieux, par la seule pensée ? v.1310 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Si le ciel pour me perdre était assez propice. v.1314 (Acte 4, scène 2, CLÉONICE)
- Mais je ne pense plus, voyant tes rêveries, v.1321 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Dieux ! Un autre penser doit-il m'entretenir ? v.1323 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Je la perds justement, perdant son souvenir : v.1324 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Chercher l'unique objet qui peut finir nos peines. v.1330 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Perside s'est cachée en un lieu plus obscur : v.1332 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Dégagé de nos mains, je le perds pour jamais. v.1336 (Acte 4, scène 2, CLÉONICE)
- Que les morts ont de force ! Ah ! Dieux ! En cette peine, v.1341 (Acte 4, scène 2, LA NOURRICE)
- Je perds en un moment le courage et l'haleine. v.1342 (Acte 4, scène 2, LA NOURRICE)
- Il accorde Perside à votre long martyre ; v.1346 (Acte 4, scène 2, CLÉONICE)
- Déjà mille faveurs à vos peines destine, v.1350 (Acte 4, scène 2, CL?ONICE)
- Ici je me promets de l'amener dans peu. v.1356 (Acte 4, scène 2, CL?ONICE)
- Si jamais ta faveur me peut rendre la vie, v.1358 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tes pas à mon repos, ta peine à mes plaisirs, v.1360 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Ah, dieux ! Que ce penser me flatte doucement ! v.1363 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- L'enfer en cet endroit fait trop peu de défense ; v.1370 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Épier si Perside est dans le rang des morts : v.1372 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- S'il pense en être aimé, que son estime est fausse ! v.1373 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Perside éprouve en vous que, d'un esprit joyeux, v.1403 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Mais c'est peu si la fin n'en réussit aussi. v.1408 (Acte 4, scène 3, PERSIDE)
- À la voir tous les jours pensive et retirée, v.1413 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Quel modeste respect tient votre oeil abattu ? v.1435 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- À qui donc pensez-vous ces discours adresser ? v.1471 (Acte 4, scène 4, CLARINDE)
- Que vous trouvez encor d'appas en ces pensées ! v.1486 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Et s'il laissait toujours souffrir ces douces peines. v.1490 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Enfin, c'est m'ennuyer en ce respect honteux : v.1507 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Je crois que depuis peu quelque démon contraire v.1513 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Tromper subtilement l'oeil des plus avisés. v.1520 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Perside cependant chez ma mère m'attend ; v.1528 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Sous mes habits, Perside, attend au rendez-vous. v.1536 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Qui pensez voir à nu la nature des choses, v.1542 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ne sème point d'appas à nos saintes pensées : v.1554 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Le peuple foule aux pieds, dans ces noires provinces, v.1557 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Les marbres qui pavaient tant de maisons superbes, v.1561 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Qu'on priserait bien peu l'éclat qui l'environne ! v.1582 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- C'est trop s'entretenir de ces vaines pensées, v.1593 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Toi, qui dépeins si bien une ardeur violente, v.1618 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- L'absence d'un bel oeil cause peu de tourment ! v.1620 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Et le plus vil serpent, comme il a moins de rage, v.1625 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Tu trembles, tu pâlis, lâche auteur de ma peine ; v.1630 (Acte 5, scène 1, CL?ONICE)
- De ce que peut l'amour jointe à l'impatience, v.1646 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Qui nous font violer les respects les plus saints. v.1648 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Si dans peu je n'apprends où Perside repose, v.1650 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Et baiseront les noms de Perside et de moi. v.1668 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Du nombre des vertus j'ôterai le respect, v.1671 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- On n'aura ni témoin, ni juge pour suspect ; v.1672 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Cette fleur, dont le prix rend la fille superbe, v.1673 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Et Perside vaincue, après ces longs efforts, v.1675 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Peut-on, sans être fou, douter de sa folie ? v.1678 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Dans une heure au plus tard, et ta Perside aussi. v.1680 (Acte 5, scène 1, CL?ONICE)
- Veillent à soulager la peine des passants ; v.1700 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Qui voudraient dès l'abord échapper de mes bras. v.1708 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Joint qu'il me semble un peu trop riche pour un page ; v.1718 (Acte 5, scène 2, DEUXIÈME VOLEUR)
- Avez-vous du respect pour ceux qui n'en ont point ? v.1748 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Dieux ! N'aperçois-je pas Aliaste et Perside ? v.1753 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Ah ! La mort n'est pas loin ; console-toi, perfide. v.1754 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Hélas ! Combien de fois dans ces forêts superbes, v.1757 (Acte 5, scène 3, ALIASTE)
- Cherchez-vous le menteur, le perfide, l'infâme, v.1773 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Que différez-vous plus ? Rompez ces faibles chaînes, v.1777 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- La repentance attire à force la pitié. v.1788 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Que Perside est l'objet de sa douce furie. v.1814 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Quoi qu'on doive de peine à ta noire action, v.1819 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Si ce coeur ne reçoit sa peine de vos bras, v.1823 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Votre ressentiment peut-il sans injustice, v.1825 (Acte 5, scène 3, LE PAGE)
- Et ta confusion te servira de peine. v.1830 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Sans Perside, a sujet de se croire sans vie : v.1842 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Rien ne l'a pu dompter, ce superbe courage, v.1845 (Acte 5, scène 4, CLÉONICE)
- Qu'on voit dessus mon teint n'être qu'à peine écloses ? v.1854 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Inutiles pensers ! Non je possède encore v.1857 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Aliaste, ah ! Ce nom rappelle en ma mémoire v.1861 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- De combien de souhaits ai-je flatté ses peines, v.1869 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Dieu ! Que son souvenir est doux à ma pensée ! v.1873 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Et conserver son coeur, a perdu sa raison. v.1876 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- La raison ne me peut désormais reprocher v.1883 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Que je perde le temps à combattre un rocher. v.1884 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Que de plus beaux objets captivent ta pensée ; v.1885 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Hélas ! Que mon malheur te livre peu d'atteintes ; v.1890 (Acte 5, scène 4, CLORIDAN)
- Ce flanc vous en dispense, et va rougir pour vous. v.1900 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- Perside excusera ces transports innocents. v.1927 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- Et me font abhorrer la perfide action v.1931 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Allons ; et, s'il se peut, calmons sa frénésie. v.1934 (Acte 5, scène 5, CL?ONICE)
- Tu ne peux m'empêcher ici de te punir : v.1944 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Tu penses vivre encor, simple, et tu ne sais pas v.1963 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Que je suis bien exempt de ces vaines pensées ! v.1978 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Quittez, faibles esprits, ces discours superflus ; v.1979 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Consultons, mes amis, sans perdre plus de temps, v.1983 (Acte 5, scène 6, CLÉONICE)
- Ce qui le peut guérir et nous rendre contents. v.1984 (Acte 5, scène 6, CL?ONICE)
- Je trouve ici Perside avecque son amant. v.1988 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Que ce départ me coûte et de peine et de larmes ! v.1998 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Penses-tu, bel esprit, que le mien puisse vivre ? v.2002 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Et peut-on voir une ombre où deux soleils reluisent ? v.2005 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Mais tu me sentiras, si tu ne me peux voir. v.2008 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Et ne peut refuser à leurs moindres accords v.2035 (Acte 5, scène 6, ALIASTE)
- Que ce plaisir confond ma douteuse pensée ! v.2045 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Quel sujet tient encor cette main suspendue ? v.2057 (Acte 5, scène 6, DEUXIÈME MORT)
- Perside, ton arrêt me peut tirer de peine ; v.2070 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- De toi seule dépend ma vie ou mon trépas : v.2071 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Perside, à mon secours ! v.2083 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- On me rend la santé sous le front de ma perte : v.2090 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Et vous me guérissez par la peur de mourir. v.2092 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Dieux ! En si peu de temps voir ce charme défait ! v.2100 (Acte 5, scène 6, ALIASTE)
- Et qu'on donne à ma peine un agréable prix. v.2116 (Acte 5, scène 6, ALIASTE)
LES OCCASIONS PERDUES (1636)
- Où ces petits oiseaux font un si doux ramage. v.8 (Acte 1, scène 1, LA REINE)
- Quand ils sont éveillés que ma force est petite, v.19 (Acte 1, scène 1, CLÉONTE)
- Lisez donc cet écrit qui ne peut que m'instruire, v.47 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Or, qui ne jugerait en une même peine v.55 (Acte 1, scène 2, ORMIN)
- Le roi peut commander, mais le ciel plus puissant v.57 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Peut contre vous et lui sauver un innocent ; v.58 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Donnez, donnez aux dieux vos dernières pensées, v.63 (Acte 1, scène 2, ATYS)
- Frappez, tuez. v.81 (Acte 1, scène 2, LA REINE)
- Mon coeur m'en assurait, et votre seul aspect v.105 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- M'imposait, grande Reine, un si profond respect. v.106 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Et de fausses couleurs ont peint nos passions. v.134 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Cette peste de gens toutes les cours infecte ; v.135 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- La meilleure action par eux devient suspecte. v.136 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Ainsi pensant me nuire on m'avait obligé. v.158 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Qu'autrement, estimé du peuple et de l'infante, v.167 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Le ciel qui les a vus animés à ma perte v.179 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- La peur leur a donné de favorables ailes : v.192 (Acte 1, scène 3, CLÉONTE)
- Madame, je n'entends répondre de personne, v.196 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Que bien souvent j'ai peine à bien payer pour moi. v.198 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Avez-vous aujourd'hui mes peines oubliées ? v.200 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Où vos commandements ont appelé mes pas ? v.206 (Acte 1, scène 3, LYSIS)
- Rompez-lui ces liens, rassurez ses esprits. v.213 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Est-ce trop peu, Monsieur, de vous devoir la vie ? v.247 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Peut-on priser assez les charmes de ses yeux, v.257 (Acte 1, scène 4, ORMIN)
- Que la nature a peints de la couleur des cieux ? v.258 (Acte 1, scène 4, ORMIN)
- Il en a fait trop peu pour arrêter nos corps, v.262 (Acte 1, scène 4, ATYS)
- Notre peu de valeur nous vaudra de la gloire, v.279 (Acte 1, scène 4, LERME)
- Qu'après tant de serments il ne peut plus faillir : v.301 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Accorde toutefois qu'on le peut assaillir, v.302 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Ah ! Si je possédais un peu de tes attraits, v.306 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- En un mot, on ne peut être amoureux et sage. v.312 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Eux seuls, ma chère vie, ont rappelé mes pas. v.326 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Ainsi qu'à mon réveil, ma première pensée v.331 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mon importunité t'en a fait perdre un peu. v.338 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Qui ne me permet pas d'épargner ton oreille ; v.340 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- La garde d'un trésor qu'on ne peut trop priser, v.361 (Acte 2, scène 2, ADRASTE)
- Est bien sûre en la main de qui n'en peut user. v.362 (Acte 2, scène 2, ADRASTE)
- Montrez-le moi, Madame, et me tirez de peine. v.392 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Cet aveugle démon gouverne ma pensée ; v.396 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Crois-moi, je ne vis plus, ou je mourrai dans peu. v.398 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Mais cela ne peut pas autoriser vos plaintes ; v.400 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Celui se plaint, qui brûle, et ne peut posséder : v.401 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Sont-ce là les objets qui causent votre peine ? v.404 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Mais dans peu tu sauras plus au long cette histoire. v.431 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Je porte des liens qu'on ne peut dénouer ; v.434 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Et, si tu ne promets du secours à mes peines, v.435 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Tu peux, si ton esprit tous ces moyens essaie, v.447 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Il me faut donc résoudre à perdre mon amant ? v.450 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Et tu n'espères pas d'en pouvoir tromper deux ? v.454 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Si pour vous obéir ma perte est nécessaire, v.455 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Et, pensant m'obliger, tu pourrais me trahir. v.482 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Hé ! Qui nous peut déjà connaître ? v.535 (Acte 2, scène 3, LYSIS)
- Et la peur dont tu vois mon esprit agité v.541 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- L'excès de ton mérite est suspect à ma foi ; v.545 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Et ma jalouse humeur ne peut être cachée. v.548 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Autre ne peut l'aimer avec impunité : v.550 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Me désobligerait, et je perdrais le jour v.553 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Et tu vois de tes yeux ta perte indubitable. v.568 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- La perfide qu'elle est a tracé cet écrit. v.570 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Qui, pensant beaucoup voir, en effet ne voit pas, v.586 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Non, non, c'est perdre temps que de flatter ma peine ; v.595 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Votre esprit m'est suspect : à d'autres, Clorimand ; v.597 (Acte 2, scène 3, CL?ONTE)
- Qu'en l'un des soirs passés il se fût aperçu v.617 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
- Que lui, qui jugerait cette ruse suspecte, v.623 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
- Bien loin de me chérir autant qu'il me respecte... v.624 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
- Cléonte, ne peut plus m'en laisser la croyance ; v.628 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Si l'objet que je sers ne me le permet pas ? v.630 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Et me la refuser quand je serais en peine, v.632 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- J'aime, et j'ai du respect pour qui j'en dois avoir ; v.649 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- On ne peut ignorer vos rares qualités, v.657 (Acte 3, scène 2, CLÉONTE)
- Et combien votre aspect est fatal aux beautés ; v.658 (Acte 3, scène 2, CL?ONTE)
- Qu'elle veut éprouver combien je la respecte, v.667 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Et qu'elle tient l'humeur de mon pays suspecte. v.668 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Perdrait cette créance à voir comme il repose. v.688 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Je crois qu'il a perdu tout souci des mortels ; v.690 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Quand tu ne la peux voir, elle est à la fenêtre ; v.699 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Qu'on ne peut jamais voir quand le soleil nous luit ? v.702 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Un hibou cause-t-il votre amoureuse peine ? v.703 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Auriez-vous bien, Monsieur, une âme si peu saine ? v.704 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Si tu savais combien je vois de monde en peine v.735 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- De me rendre odieuse ou suspecte à la Reine, v.736 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Qu'une étrange manie a troublé sa pensée ! v.747 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Qui pense bien aimer, et n'aime pas ainsi. v.762 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Qu'à son gré cependant se comporte mon maître ; v.763 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
- Te jurer une ardeur que rien ne peut éteindre, v.775 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Approche un peu plus près, et discourons plus bas. v.786 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Je trouve depuis peu son humeur refroidie ; v.796 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- C'est là qu'elle m'ouvrait ses plus douces pensées ; v.799 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Quelle peur fut jamais à la mienne pareille ? v.803 (Acte 3, scène 3, LA REINE)
- Si rien me peut résoudre à rompre ma prison, v.813 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Je rêve seulement quand je pense rêver. v.826 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- La perfide languit en de nouveaux appas ; v.829 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Et tes étonnements étaient bien superflus v.833 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Est-ce que votre haine a résolu ma perte ? v.844 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Jugez un peu des maux où votre humeur m'expose. v.855 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Qu'en l'art de bien aimer vous savez peu de chose ! v.856 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Pourquoi ce petit dieu se bande-t-il la vue ? v.863 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Je perds toute espérance, et ma mort est voisine v.867 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Qui me perd, est celui dont je suis le conseil ; v.870 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Que votre seule humeur me peut séparer d'elle. v.880 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- J'excuse... Mais je tiens des discours superflus, v.885 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Il est perdu dans l'ombre et ne m'écoute plus. v.886 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Si pensant lui parler j'entretenais un autre, v.887 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Ainsi j'avertirai ton esprit repentant, v.911 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Atys me dépeignit son visage si doux v.915 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
- Comme un petit enfant rabaisse ma grandeur ! v.919 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
- Que tu dépends, mon coeur, de deux cruels tyrans ! v.935 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Ton amour te convie à soulager ta peine, v.937 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Appelle-moi jaloux, atteste ciel et terre, v.965 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Commence un peu, volage, à feindre comme il faut. v.972 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Pardonne, cher amant, je vais t'ôter de peine... v.973 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Perfide, et, te taisant, tu confesses ton crime ? v.978 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Si quelque honte en toi peut désormais agir, v.995 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Mais conduis ton affaire un peu secrètement. v.1000 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Jamais cet Espagnol n'a touché ta pensée, v.1013 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- T'appeler infidèle, ah ! ce nom te déplaît, v.1023 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- On ne peut voir en toi, ni tache, ni défaut... v.1027 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Si de te détromper je suis autorisée. v.1034 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Perfide, c'est assez, ne va point concevoir v.1035 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Par quel nouveau moyen tu me peux décevoir ; v.1036 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Et qu'il est malaisé d'échapper de ses rets ! v.1040 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Que nature a donné peu de prudence aux hommes ; v.1041 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Notre bien dépendait d'être sans compagnie v.1046 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Chérissez-vous si peu cet aimable séjour ? v.1055 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Sa nature est de vent, que tout peut agiter, v.1063 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- Toutefois, il faut bien en redouter la perte. v.1065 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- Y songeant seulement, ma peine est sans seconde ; v.1074 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Des flammes vers le ciel peuvent être arrêtées ; v.1078 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- On peut apprivoiser les plus fiers animaux, v.1079 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Ils perdent leur instinct, on n'en craint plus les maux ; v.1080 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- La femme seulement ne peut être rangée. v.1082 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Dispensez mon esprit de ce soin trop pénible. v.1086 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Puisque vous estimez ce fardeau si pesant, v.1087 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- « Tous ces écrits sont superflus, v.1094 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Si mon sexe le permettait, v.1101 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Ah, perfide ! est-il vrai que j'idolâtre une onde ? v.1113 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Mais il n'est plus ici, j'appelle vainement. v.1116 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Adorable tableau ! serais-tu la peinture v.1117 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Hélas ! il est trop vrai, ma perte est trop certaine, v.1121 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Elle promet en vain du secours à ma peine ; v.1122 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Tu nous traites ainsi, tu l'oses, tu le peux, v.1139 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- « Tous ces écrits sont superflus. » v.1149 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Il a je ne sais quoi qui ne me peut déplaire. v.1164 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Mais la voix me défaut... Mon coeur, attends un peu. v.1182 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Ces mots interrompus te découvrent mes peines, v.1203 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Tu dusses rejeter ces doutes superflus, v.1217 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Vous me dispenserez de donner davantage. v.1228 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Je perds une maîtresse et je gagne un amant. v.1250 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Nulle ne peut si bien me servir que moi-même ; v.1256 (Acte 4, scène 3, LA REINE)
- Deux sceptres me seraient des fardeaux trop pesants ; v.1302 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Mes honneurs redoublant redoubleraient ma peine ; v.1304 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Ah ! Mon coeur n'est plus libre, il dépend de ses lois. v.1342 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- M'est-il ici permis de croire mon oreille ? v.1344 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Un qui peut espérer l'infante de Sicile, v.1347 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Peignez-le glorieux entre tous les mortels, v.1349 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Entre vos bras le mien lui percera le flanc. v.1354 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Qui, tempérant un peu l'aise que je ressens, v.1435 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Qui peut avoir appris ma naissance à la Reine ? v.1441 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Ce point, cher Cléonis, met mon esprit en peine. v.1442 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Sire, l'éclat des rois ne peut être caché. v.1444 (Acte 5, scène 2, CLÉONIS)
- Quelque amas de vapeurs que Phébus puisse faire, v.1445 (Acte 5, scène 2, CL?ONIS)
- On s'aperçoit toujours qu'il est sur l'hémisphère. v.1446 (Acte 5, scène 2, CL?ONIS)
- Il peut changer d'habit, mais de visage, non. v.1448 (Acte 5, scène 2, CL?ONIS)
- J'espérais, quand j'ai vu ma perte si certaine, v.1457 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Que mon éloignement allégerait ma peine ; v.1458 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Et qu'il est malaisé de vous persuader ! v.1472 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Perdez cette croyance, épargnez Isabelle, v.1473 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Pensant entretenir Isabelle les nuits, v.1479 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Ah ! Vous gardez longtemps ces doutes superflus : v.1483 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Hélas ! ma propre bouche a prononcé ma perte. v.1486 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Qu'à peine je me sens en l'état où je suis. v.1512 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Un plus sensible affront appelle ma vengeance. v.1522 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Prouvera ce que peut une amour irritée. v.1526 (Acte 5, scène 3, CL?ONTE)
- Que de tristes pensers viennent m'entretenir ! v.1532 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Comment le peut-on voir sans être tout de flamme ? v.1538 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Avait mal reconnu ce que peut sa beauté ; v.1540 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Mais plutôt qu'attend-elle ? Ah Cléonte ! Ah perfide ! v.1557 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- Tandis qu'elle est présente et qu'elle le peut voir. v.1572 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Et m'en fera sans doute un peu moins de caresse ; v.1578 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Je vois qu'il est plus tard que je ne pensais pas. v.1579 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Dieux ! que j'étais en peine v.1581 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Un si puissant respect à mon amour préside, v.1593 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Que je n'ose frapper, tant mon âme est timide ; v.1594 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Parle. Donnons, c'est lui, ne soyons plus en peine. v.1598 (Acte 5, scène 5, CLÉONTE)
- À moi, traîtres, à moi ! c'est trop peu de courage v.1601 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Que ne peut pas l'Amour sur de jeunes esprits ? v.1631 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Une ardeur mutuelle enflamme sa pensée, v.1637 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Une dame a promis de soulager ma peine ; v.1642 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Ce Clorimand languit en son perfide sein : v.1679 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
- Mais descends, Clorimand, et les tire de peine. v.1686 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Amant, non plus aimé, quelle perte fatale ! v.1701 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Après tout, nous devons du respect à la Reine. v.1722 (Acte 5, scène 6, CLÉONARD)
- Perfides ennemis du repos de mes jours, v.1723 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- De quoi ne peuvent pas disposer mes pareilles ? v.1730 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- Je dors assurément, et je pense veiller. v.1740 (Acte 5, scène 6, LYSIS)
- Qui pensez-vous, Madame, appeler de la sorte ? v.1754 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Las ! à quoi pensez-vous qu'elles soient occupées ? v.1770 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Dieux ! tant de majesté peut-elle être cachée ? v.1774 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- C'est peu que de mes lois la Sicile dépende ; v.1790 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Où tout sera permis à nos intentions, v.1823 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
CRISANTE (1640)
- Chez les peuples mutins a trouvé des passages, v.2 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Ne peut plus résister à vos moindres efforts ; v.4 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Contemple avec respect cette reine du monde : v.10 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- La superbe Corinthe éprouve à son dommage v.21 (Acte 1, scène 1, CASSIE)
- Leurs mains, quand nous frappions, étaient à peine prêtes ; v.33 (Acte 1, scène 1, PREMIER CAPITAINE)
- Ne peut voir sur leur chef tomber tant de malheurs. v.40 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- C'est peu que de paraître en un danger extrême, v.53 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Ne la peut divertir de sa sévérité. v.60 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Un voyage à Tegée, où ma charge m'appelle, v.73 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Et de faire aux dépens du reste de la Grèce v.77 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Si prières ni voeux ne peuvent l'émouvoir, v.83 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Éteignez s'il se peut ce brasier malheureux, v.87 (Acte 1, scène 2, CLÉODORE)
- Et qui reçoit un joug le quitte avecque peine. v.94 (Acte 1, scène 2, CL?ODORE)
- C'est aux plus circonspects que tout succède mal. v.96 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Elle exécute mal sans un peu de courage. v.98 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- De glorieux desseins un peu précipités v.103 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Mais lorsque nous tramons notre perte visible, v.105 (Acte 1, scène 2, CLÉODORE)
- Souffre que, toute crainte et tous respects bannis, v.131 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Quoi ! tout respect est vain, et la gloire de Rome v.133 (Acte 1, scène 2, CLÉODORE)
- Perdra ce grand éclat pour l'intérêt d'un homme ! v.134 (Acte 1, scène 2, CL?ODORE)
- Non, non, Rome sur soi peut attirer son bras ; v.143 (Acte 1, scène 2, CL?ODORE)
- Nos devoirs, nos respects et notre révérence, v.145 (Acte 1, scène 2, CL?ODORE)
- Plus forts que tous respects et que tous intérêts ; v.164 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Ce reste est le débris du superbe palais v.175 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Que même le vainqueur en déplore la perte : v.182 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Et joint, en nous perdant, ses larmes à nos pleurs. v.184 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Et vous perdez honneurs, et biens, et dignités ; v.188 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Mais votre perte encor peut être plus extrême : v.189 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Vous perdriez davantage en vous perdant vous-même. v.190 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Le ciel peut rendre tout, comme il peut tout ôter ; v.191 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Et comme il vous afflige, il vous peut assister : v.192 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Souffrez avec respect les maux qu'il vous ordonne ; v.193 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Peut lui donner encor ce qu'elle lui donna ; v.200 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Conservez-lui Crisante, et sa perte est légère. v.202 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- C'est peu qu'en une nuit voir sa ville déserte ; v.205 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Il n'a fait en ses biens qu'une inutile perte : v.206 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- De pires accidents lui peuvent arriver ; v.207 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Peut-être immoleront mon honneur et ma vie, v.210 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Ses soins dissiperont ce frivole soupçon, v.215 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Il prépare ma perte alors qu'il me respecte ; v.221 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Des vainqueurs aux vaincus la faveur est suspecte ; v.222 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Vous portez avec peine un si triste servage, v.245 (Acte 1, scène 4, CASSIE)
- Mépriser toute chose, et penser à la mort, v.263 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- Même en vous captivant, perdirent leur franchise ; v.270 (Acte 1, scène 4, CASSIE)
- Que je perde la vie après ce que je perds. v.300 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- Tant de peuples divers ne sont plus divisés ; v.339 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Il a pour notre perte assisté des tyrans, v.345 (Acte 2, scène 1, CRATÈS)
- Ah ! qu'à ce changement je vois peu d'apparence, v.351 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Nos communs entretiens diminueraient nos peines : v.359 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Sire, on ne peut priser sa valeur infinie : v.363 (Acte 2, scène 1, CRATÈS)
- Il ne peut plus m'ôter qu'une vie importune : v.380 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- À qui perd toute chose il reste au moins ce bien, v.381 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Qu'il peut mépriser tout et ne redouter rien. v.382 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- À tout respect l'amour voile mes yeux ; v.385 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Et je profite peu d'une illustre victoire v.391 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Ils lui sont superflus. v.393 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- La force, à leur défaut, me peut obtenir tout. v.402 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Celle qui sait mourir ne peut être forcée. v.403 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- C'est le dernier secours qui vienne en la pensée : v.404 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Et qu'un léger plaisir va perdre votre estime ! v.420 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- Et qu'au lieu de mon crime il soit ma récompense. v.424 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Par quel prix son esprit peut-il être porté v.425 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- Apprends en peu de mots le destin de la reine : v.436 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Ses baisers paieront les devoirs que je perds ; v.437 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Rien ne peut-il changer ce funeste dessein ? v.441 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- (Permets-moi de parler avec cette licence), v.448 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Il faut donner ou perdre, et mourir ou céder. v.474 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- Je vous reprocherais une perte légère, v.483 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- De quel discours viens-tu croître ma peine ? v.487 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Elle peut en la mort trouver son assurance. v.496 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Et se perdant soi-même on ne conserve rien. v.498 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Le vice perd son nom, et le déshonneur cesse. v.504 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Les pertes et les maux sont souvent aux monarques v.507 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Prendrez-vous un trépas qui peut être évité ? v.514 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Quand la faute profite et peut être cachée. v.516 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- La vertu ne dépend que d'une vaine estime, v.519 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Et ce que je perdrais, tu veux que je le donne ? v.528 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- En perdant ton honneur ? v.532 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Et s'il ne peut divertir mon malheur, v.545 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Mes yeux perdent le jour, et ma mort inhumaine v.547 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Est à mon imprudence une trop douce peine ; v.548 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Ô noire perfidie ! ô lâche trahison ! v.558 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Mais que tardé-je plus à me tirer de peine ? v.559 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Quel tyran est l'honneur s'il perd ceux qui le suivent, v.567 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Quel spectacle d'horreur se présente à ma vue ? v.571 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Et quel crime si noir lui peut coûter le jour ? v.573 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Elle peut réprimer ces transports déréglés ; v.581 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Le vice peut céder où la vertu s'oppose ; v.583 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- C'est à moi d'en user ; je dois perdre le jour. v.594 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- Et ce superbe dieu, rebuté de refus v.597 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Ne cherchez point à perdre une vie innocente, v.599 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Et s'armer contre soi de peur de m'obliger ! v.646 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Pour ses superbes yeux la mort a plus de charmes. v.648 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Entrons, et sans respect des hommes ni des dieux, v.653 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Éteins, lascif, éteins ces feux pernicieux, v.665 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Cessez, faibles pensers, vos conseils superflus : v.673 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Je meurs : soutiens un peu ma vigueur abattue ; v.675 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- D'une sombre couleur son visage se peint. v.682 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Donnent quelque ressource en l'espoir que je perds v.686 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Quelle peine importune v.687 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Pour perdre le coupable, il vous faut conserver, v.693 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Tu me peux accorder ce bien si souhaitable : v.696 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- À peine il est sauvé des efforts d'un perfide, v.707 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Ne va point effrayer ces superbes palais, v.713 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Où personne pour toi ne forme de souhaits ; v.714 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Mais, ô lâche entretien ! vains discours que je perds, v.721 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- La perte de vos jours serait son pire coup, v.737 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Confus, triste, saisi d'un repentir extrême, v.747 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Je me suis un démon, un enfer, une peste ; v.752 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- La tenir, s'il se peut, à vous-même secrète ; v.768 (Acte 3, scène 2, CLÉODORE)
- Deux mots te tireront de peine. v.780 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Et suivant sans respect ce furieux transport : v.782 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- « Ô ciel ! je suis perdue ! au secours ! » dit Crisante. v.783 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Par son éloignement permis sans sa rançon. v.798 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Mon supplice dépend de mourir une fois. v.806 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Rendez un peu le calme à votre âme égarée ; v.808 (Acte 3, scène 2, CLÉODORE)
- Chassez de votre esprit ce funeste penser : v.809 (Acte 3, scène 2, CL?ODORE)
- Le noir fleuve des morts ne se peut repasser, v.810 (Acte 3, scène 2, CL?ODORE)
- Que je sois sans danger quand Crisante est en peine ! v.824 (Acte 3, scène 3, ANTIOCHE)
- Rien ne peut racheter les libertés des rois v.833 (Acte 3, scène 3, CRATÈS)
- Sans disputer son prix, en mérite la perte. v.848 (Acte 3, scène 3, ANTIOCHE)
- Opposer à leur force une inutile peine v.851 (Acte 3, scène 3, EUPHORBE)
- Qu'il vous soit un poison, qu'il vous soit une peste. v.876 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- C'était peu des grandeurs, des biens, d'une couronne, v.879 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Cassie à cet effort a dispensé sa rage ; v.891 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Le ciel impunément a permis cet outrage ; v.892 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- La captive lui nuit qui le peut accuser, v.897 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- L'honneur se peut défendre avec un peu de peine. v.899 (Acte 3, scène 4, ANTIOCHE)
- Jamais qui peut mourir ne manque de remède. v.912 (Acte 3, scène 4, ANTIOCHE)
- Soucis, honte, remords qui troublez ma pensée. v.955 (Acte 4, scène 1, CASSIE)
- Achevez de me perdre ou de me tourmenter, v.958 (Acte 4, scène 1, CASSIE)
- Mes yeux perdent le jour. v.979 (Acte 4, scène 1, CASSIE)
- Quels efforts de pitié suspendent ta pensée ? v.984 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- En quels lâches pensers se perd votre vertu ? v.990 (Acte 4, scène 2, CLÉODORE)
- Un grand coeur en sa perte à tout se précipite, v.991 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Et la peur de mourir vous fait mourir trop vite : v.992 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Qui n'a pu respecter une vertu si rare ; v.1000 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Hais qui t'a trop aimée, et perds qui t'a perdue. v.1004 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- L'injure est peu sensible au coeur qui délibère, v.1008 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Avec les criminels frapper les innocents : v.1022 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Dieux ! Quelle frénésie occupe sa pensée, v.1027 (Acte 4, scène 2, CLÉODORE)
- À peine dans son sein je sens battre son coeur, v.1030 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Ses membres sont glacés, et mon oreille à peine v.1031 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Peut discerner dans l'air le bruit de son haleine : v.1032 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Mon coeur se peut à peine assurer de ma bouche ; v.1060 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- C'est trop perdre de jours, et nos armes oisives v.1083 (Acte 4, scène 3, DEUXIÈME CHEF DE GUERRE)
- L'un l'autre en ce repos ne se peut supporter, v.1089 (Acte 4, scène 3, DEUXI?ME CHEF DE GUERRE)
- Quels soins et quels respects a-t-il eu pour la Reine, v.1103 (Acte 4, scène 3, MANILIE)
- En ce que j'ai perdu toute ma gloire cesse ; v.1112 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- On dira (pour un seul) ce peuple est vicieux : v.1146 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Et s'il se peut au crime égalez la vengeance. v.1156 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Mais il veut que je vive, et je vis pour sa perte : v.1164 (Acte 4, scène 5, CRISANTE)
- Il ne peut que trop tard achever mon ennui, v.1169 (Acte 4, scène 5, CRISANTE)
- Le jours à mes regards se prête avecques peine ; v.1176 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Le ciel avec regret le dépeint à mes yeux, v.1177 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Frappes avec plaisir chaque endroit de ce corps, v.1181 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Est paraître saisi d'un repentir extrême ; v.1184 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Sa perte m'est sensible, et je dois toutefois v.1185 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- L'effroyable remords qui trouble ma pensée, v.1195 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Doncque différez vous, frappez cet insolent ; v.1197 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Commencez mon supplice, étouffez cette peste, v.1199 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- César serait touché de cette repentance ; v.1208 (Acte 4, scène 5, CLÉODORE)
- Pesés brave guerrier les devoirs que sa main, v.1209 (Acte 4, scène 5, CL?ODORE)
- Peines, soins, ni travaux n'égaient ses exploits, v.1213 (Acte 4, scène 5, CL?ODORE)
- Et vous ne trouvez pas nos peines légitimes, v.1223 (Acte 4, scène 5, CRISANTE)
- Elle peut satisfaire à son ressentiment. v.1230 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Et que rendant l'esprit ma plus sensible peine, v.1239 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Un seul points grand guerrier peut accomplir, mes voeux v.1250 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Tout vous sera permis[.] v.1252 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Et trop d'heur me restait si le ciel n'eût permis v.1307 (Acte 5, scène 1, ANTIOCHE)
- Peut-être vend ma vie en ce fatal moment. v.1312 (Acte 5, scène 1, ANTIOCHE)
- Mais qu'on hait mon repos ! Mes plus chères pensées v.1313 (Acte 5, scène 1, ANTIOCHE)
- Faites paraître un bien qu'il ne vous peut ôter. v.1320 (Acte 5, scène 2, CRATÈS)
- C'est peu de voir un monde asservi sous ses lois, v.1323 (Acte 5, scène 2, CRAT?S)
- À mes tristes pensers laissez un libre cours, v.1327 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- Là, sans honte il lui peut échapper quelques larmes. v.1334 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- Me fait bien voir ma perte et mon peu de puissance. v.1342 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- Et mon peu de crédit paraît en vos refus. v.1344 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- Sire, quand votre sort, s'il se peut, serait pire, v.1349 (Acte 5, scène 2, CRATÈS)
- Et dans mon infortune, ai-je si peu de coeur v.1359 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- Peut-être du dessein de venir m'égorger. v.1368 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- Qui dans le seul trépas mit la fin de ma peine. v.1374 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- Me peut moins faire croire un berger qu'un monarque ? v.1378 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- Tous mes gens retirés m'en permettent l'usage. v.1386 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- L'honneur de vous parler lui sera-t-il permis ? v.1391 (Acte 5, scène 4, MARCIE)
- Ont-ils à leurs desseins rangé cette perfide ? v.1393 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- Sire, s'il m'est permis de parler librement, v.1399 (Acte 5, scène 4, MARCIE)
- Toi par qui ma ruine est peut-être conduite, v.1405 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- Un moyen de me joindre à la perte publique : v.1410 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- L'esprit comme le corps de sentiment perclus, v.1432 (Acte 5, scène 5, ANTIOCHE)
- Quel souffle des enfers, quel poison, quelle peste v.1445 (Acte 5, scène 5, MARCIE)
- Et devenir dans peu soi-même son cercueil ! v.1448 (Acte 5, scène 5, MARCIE)
AMÉLIE (1637)
- Dépendra désormais de ta discrétion, v.8 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- A-t-il droit sur mon coeur, si je n'y peux plus rien ? v.24 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Éraste qui me rend des devoirs superflus v.31 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Mon sexe, mon respect, ni ma condition v.39 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Qu'on ne peut s'assurer en l'esprit d'un mortel : v.48 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Peu d'entre les amants sont exempts d'artifice. v.54 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Ne fondez point de peur sur ces difficultés : v.56 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Ne peux-tu rien pour moi. v.58 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Y peut par ton moyen entrer secrètement, v.72 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Témoignez par vos yeux un peu d'indifférence, v.85 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Et qu'on sait bien aimer, quand on ne le peut plus ! v.92 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Elle me l'a permis. v.107 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Votre espérance est vaine, et vos peines frivoles, v.114 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Que peut-être on verra son esprit adouci, v.119 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Elle me l'a promis avec beaucoup de peine, v.122 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Qu'il entre (a-t-elle dit) car tu peux tout sur moi. v.123 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Venez, je l'aperçois. v.124 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Vois-tu comme ces fleurs ont perdu leurs appas, v.131 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- J'ai perdu mon souci, toute ma défiance, v.137 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Vous devez puissamment occuper sa mémoire, v.158 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Et tu n'en peux douter, si tu crois que je t'aime. v.170 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Ce dieu ne défend rien, de toutes les pensées v.173 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Et je ne défends point, tout ce qui t'est permis, v.175 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Quoi ? C'est vous Dionys ? On me respecte ainsi. v.180 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Je tremble, je pâlis, à votre seul aspect, v.183 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Et je perdrai le jour, plutôt que le respect ; v.184 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- J'allais parmi ces fleurs égarer mes pensées, v.185 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Quand seront notre attente, et nos peines finies ? v.201 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Réponds à mes discours, tant de respect m'offense, v.205 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Que je ne peux défendre à tes chastes désirs ; v.208 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Que vous aurez bientôt dépeuplé l'univers. v.228 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Elle a mis dans vos yeux de superbes vainqueurs, v.231 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Se peut-elle exempter, v.235 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- D'aimer ce qui plaît tant ? Et qui peut tout dompter ? v.236 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Je dis peu, la voix même des anges v.237 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- La gloire et la terreur de ce siècle pervers v.248 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- J'ai peint tout ce qu'a fait, cette dextre meurtrière, v.261 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- Me peux-tu reprocher que dans l'occasion v.267 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Peux-tu de ce malheur accuser mon courage ? v.270 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- Dois-je perdre du temps, et vois tu qu'il s'observe v.297 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Il faut faire un miracle ; et que ne peut l'amour, v.303 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- Des flammes, des respects, un sensible tourment, v.315 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Mais ne m'enquête plus, j'aperçois Dionys, v.319 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Il peut fidèlement ma passion décrire, v.321 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- Que tu peux espérer, et sans présomption. v.324 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- L'un était difficile, on a peine à commettre v.329 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Il faut perdre du temps, pratiquer des valets, v.331 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- On ne les peut gagner sans peine, et sans dépenses, v.333 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Toute leur sûreté dépend des récompenses : v.334 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Le respect bien souvent nous tient la bouche close, v.338 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- D'un amour excessif le respect l'est aussi. v.340 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Et dont personne encor ne s'était avisé v.344 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- On n'a point de contrainte, on ne perd point de pas v.347 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- On ne dépense rien, et l'on n'en rougit pas. v.348 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Il faut les aborder. J'interromps vos pensées. v.349 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- S'en peut-elle défendre, et serais-je moi-même, v.365 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- Qui n'ai point d'ennemi, que le vice et la peur, v.371 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Qui ne lui fais point voir un visage trompeur, v.372 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Dont on doit honorer les personnes que j'aime. v.374 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Veut voir en beaux discours ma passion dépeinte ; v.386 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- Tout ce qui peut partir de l'esprit d'un amant, v.388 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Et dispensez ma main de ce vil exercice ; v.390 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- J'en ai fait un dessein qu'on ne me peut ravir. v.392 (Acte 2, scène 3, ?MILE)
- Peut-on priser assez une humeur de la sorte ? v.397 (Acte 2, scène 4, DIONYS)
- Je souffrirai, Monsieur, et ma persévérance, v.405 (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
- Le temps peut tout changer, son enfance indiscrète, v.409 (Acte 2, scène 5, LE PÈRE)
- J'ai souffert pour sa soeur des peines infinies, v.426 (Acte 2, scène 5, LISIDAN)
- Que ne m'est-il permis de parler de la sorte ! v.433 (Acte 2, scène 5, DIONYS)
- Et je peux toutefois répondre de vos jours. v.456 (Acte 2, scène 6, AMÉLIE)
- Le bien de ma santé dépend de votre envie, v.458 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Que me peut-elle écrire ? v.470 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Tu perds temps Dionys d'adorer une ingrate, v.473 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Oublie une insensible, et superbe rivale, v.481 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- A mise, en mon esprit seulement en peinture ; v.498 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Mon père est au jardin, qui n'a mandé personne ; v.506 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Si mon respect sur vous obtient quelque pouvoir. v.508 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Voyez combien vos voeux peuvent sur mon esprit. v.512 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- C'est là bien clairement vous ouvrir sa pensée, v.513 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Et vous aurez perdu ces adorables charmes v.525 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Vous verriez clairement la véritable peine, v.529 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Qui peut-être à vos yeux est encore incertaine, v.530 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Rien ne peut m'empêcher d'aimer votre beauté, v.543 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Espère mon souci, ta peine aura son prix, v.547 (Acte 2, scène 8, AMÉLIE)
- Et si l'on peut trouver un amant raisonnable. v.562 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Et tenir pour suspect son amoureux souci ? v.568 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Je ne murmure point, mes défauts ont leur peine ; v.578 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Tout respecte mon maître, et tout lui rend hommage, v.594 (Acte 3, scène 1, LE VALET)
- De cet aimable amant la flamme, et les pensées, v.598 (Acte 3, scène 1, LE VALET)
- Où sa peine est décrite en termes d'importance ; v.606 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- Se peut-on dégager de ses charmants appas : v.611 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- De faire voir ma peine aux yeux qui m'ont blessé. v.621 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- Je ne pense, je n'aspire, v.622 (Acte 3, scène 2, AM?LIE)
- Que n'en peuvent sentir ensemble tous les coeurs. v.625 (Acte 3, scène 2, AM?LIE)
- Que le ciel bénira notre persévérance ; v.655 (Acte 3, scène 2, AMÉLIE)
- Ce repentir m'oblige à forcer ma colère, v.658 (Acte 3, scène 2, LE VALET)
- Avant que de finir, et ma vie et ma peine, v.662 (Acte 3, scène 3, LISIDAN)
- Adieu, d'autres pensers troublent ma fantaisie. v.667 (Acte 3, scène 3, LISIDAN)
- Cette peine est conjointe aux fidèles amours. v.684 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Ô Dieux, je suis perdue. v.690 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- C'est beaucoup de tourment, qu'un peu de jalousie, v.694 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Car de la perdre après, il est bien malaisé, v.696 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Dont il ait murmuré du penser seulement ? v.701 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Ne me permettez plus l'honneur de vos visites, v.703 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Vous verrez mon respect forcer mes sentiments, v.708 (Acte 3, scène 4, LISIDAN)
- Qu'on ne trouve jamais en d'égales pensées, v.715 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Vous avez vu sa peine et sa mélancolie, v.731 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Et je me trompe fort, ou ma soeur l'aime aussi ; v.733 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Dépend du vain éclat des trésors seulement. v.741 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Que de daigner après considérer sa peine, v.751 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Il n'en peut espérer un seul trait de pitié, v.752 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- N'en soyez point en peine, aimez-moi seulement v.764 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Je suis fort imparfait, mais pour peu, qu'on me loue, v.770 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Faut-il perdre du temps à louer ton mérite, v.783 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Dont tu ne peux qu'en vain espérer la pitié, v.788 (Acte 3, scène 5, ?RANTE)
- Et n'en veille jamais divertir ta pensée ; v.791 (Acte 3, scène 5, ?RANTE)
- Le feu que j'y fais naître a bien peu de chaleur. v.797 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- M'a permis de flatter sa vaine fantaisie, v.811 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Contient dans le respect mon esprit furieux ! v.817 (Acte 3, scène 5, LISIDAN)
- Lâche, présomptueux, et superbe vainqueur, v.829 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Perdez ce sentiment. v.846 (Acte 3, scène 6, LISIDAN)
- Ne peut, cher Dionys, attirer ta pitié ? v.849 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Hélas ! Que j'ai de peine, à t'ouvrir mon secret ? v.876 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Mon père m'abandonne à sa persévérance, v.883 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Il considère peu si ce dessein me plaît, v.884 (Acte 3, scène 6, AM?LIE)
- Je prendrais plus de peine, v.902 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- Moi, je ferais pour toi, plus que le penser même, v.906 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Ne peut imaginer, et d'étrange, et d'extrême. v.907 (Acte 3, scène 6, AM?LIE)
- La gloire du combat, dépend de notre fuite. v.919 (Acte 3, scène 6, DIONYS)
- Se seront dispensés à d'honnêtes plaisirs ; v.929 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Cruelle, ton bonheur dépend-il de ma mort, v.952 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- Fais-moi, si tu le peux, une plainte équitable, v.955 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Laissez-moi, l'on m'appelle, v.962 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Peut-elle méconnaître, et trahir ce qu'elle aime ? v.971 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- Dieux ; il est bien aisé de te persuader ? v.985 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- J'aurais perdu l'esprit, et ta seule arrogance, v.990 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Me donner le plaisir de t'avoir mis en peine. v.995 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Que vous deviez ailleurs chercher la perfidie, v.1003 (Acte 3, scène 7, DIONYS)
- Je crois, qu'on ne peut rien ajouter à vos charmes, v.1006 (Acte 3, scène 7, DIONYS)
- Lisidan m'a vu feindre avec fort peu de crainte, v.1026 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Je crois qu'à mon sujet vous souffrez peu de chose, v.1030 (Acte 3, scène 7, LISIDAN)
- Perfide, prends congé de Madame, et du jour. v.1045 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- J'avais ce seul moyen d'expliquer ma pensée, v.1050 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Tu consultes perfide, en cette extrémité ? v.1053 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Et moi-même, je dois, me donner cette peine. v.1063 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Ne considère pas un repentir extrême ; v.1065 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- J'ai perdu le courroux dont j'étais enflammé ; v.1086 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- En l'humeur que je suis, rien ne peut m'irriter ; v.1091 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Peut-on priser assez ma valeur sans seconde, v.1096 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Et qui peut rire assez de cette frénésie, v.1101 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Et la mort seulement, peut violer ma foi ; v.1111 (Acte 3, scène 8, ÉRANTE)
- M'est-il permis de soupirer ici ? v.1117 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Perdit le jour, ou sa mère l'a pris : v.1125 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Et maintenant tout son peuple est en guerre. v.1127 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Que j'ai senti de morts, pour la peur d'une mort. v.1142 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Ma seule affliction ne se peut comparer, v.1149 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- La pitié me dispense à cette liberté. v.1166 (Acte 4, scène 2, AMÉLIE)
- Ô Ciel ! Est-ce trop peu, de ma dure infortune, v.1167 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- Cet esprit libertin, tout respect étouffant, v.1181 (Acte 4, scène 3, LE PÈRE)
- N'as-tu pu divertir sa perte, et mon malheur ? v.1186 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Te devait conseiller un peu de défiance, v.1188 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Je la voyais trembler à votre seul aspect, v.1197 (Acte 4, scène 3, LA-NOURRICE)
- Et je croyais que rien n'égalait son respect ; v.1198 (Acte 4, scène 3, LA NOURRICE)
- Je perdrai pour les perdre, et fond et revenu, v.1213 (Acte 4, scène 3, LE PÈRE)
- Et comme on le dépeint, leur amour sera nu. v.1214 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Et s'il ne perd ce nom, il ne les perdra pas. v.1218 (Acte 4, scène 3, LA-NOURRICE)
- Ce bon Paysan, Monsieur, mettra toutes ses peines, v.1219 (Acte 4, scène 4, AMÉLIE)
- Est sensible, Madame, au récit de ma peine ; v.1231 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Qui peuvent aux amants procurer leurs maîtresses, v.1247 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- J'avais perdu mon coeur, ils perdaient leurs paroles, v.1251 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Et je révérais peu l'aveugle aversion, v.1252 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Je force tout respect, je m'échappe, et je fais, v.1260 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Nous fuyons déguisés nos parents, et nos peines, v.1266 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Tant d'épaisses vapeurs s'amassent dans les airs, v.1280 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Le vent nous enveloppe, et le navire vole ; v.1283 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Nous vivrons, ma déesse, (il m'appelait ainsi,) v.1288 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Madame, épargnez-moi des discours superflus, v.1296 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Nos soupirs superflus, et nos pertes certaines. v.1306 (Acte 4, scène 4, AMÉLIE)
- Votre perte dépend de celle de ma vie, v.1310 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Hélas ! Qu'ai-je aperçu ? v.1315 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Je perds la voix, et l'âme, en ce ravissement. v.1316 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- S'offre à moi seulement pour accroître ma peine, v.1322 (Acte 4, scène 5, CLORIS)
- Que pour me disposer à perdre mon amant. v.1348 (Acte 4, scène 5, AMÉLIE)
- Et perdez de bon coeur le bien qui vous déplaît. v.1352 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Des coeurs de Matelots la peur était bannie ; v.1380 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Un rayon du soleil avait percé la nue, v.1385 (Acte 4, scène 5, ?RASTE)
- Divisèrent ma peine, et ma mélancolie v.1397 (Acte 4, scène 5, ?RASTE)
- Nous vivrons tous contents, nos peines sont finies v.1416 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Il est en mon pouvoir de divertir sa peine, v.1437 (Acte 4, scène 6, LISIDAN)
- Qu'elle peut enflammer le coeur le plus barbare, v.1469 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Mais, qui peut s'exempter d'un si noble servage, v.1472 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Pour vous, quelle raison ne perdrait son usage, v.1473 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- D'abord, que j'aperçus ces aimables Soleils, v.1474 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Mais je sais ce qu'au ciel déplaît la perfidie, v.1493 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Toute raison est faible, et tous respects bannis, v.1511 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Je m'accuserai seul, un bien peut-être ôté v.1538 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Sa beauté m'honorait de trop de récompense, v.1540 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Et l'on peut révoquer une injuste sentence. v.1541 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Les voeux d'un coeur si vil, sont un petit tribut, v.1554 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Et son peu de mérite a causé son rebut. v.1555 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Je sais que mon repos dépend de mon trépas, v.1558 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Mais j'ai moins de respect, que de laisser la vie, v.1572 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Cours, appelle en mon nom ce tyran de ma joie, v.1576 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Afflige-moi plutôt de la perte du jour, v.1587 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Elle peut m'ordonner, ou le prix, ou la peine, v.1589 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Elle ne peut faillir, et ne faillit jamais ; v.1591 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Je ne l'appelle point ingrate, ni parjure, v.1596 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Je l'acquis sans mérite, et la perds sans injure. v.1597 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Je viens pour vous tirer de cette peine extrême, v.1601 (Acte 5, scène 3, ÉRANTE)
- L'appelle par les noms de belle, et de maîtresse, v.1617 (Acte 5, scène 3, LISIDAN)
- Oui, mais la mettre en peine, v.1640 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Un favorable hymen peut t'en procurer mille, v.1645 (Acte 5, scène 4, AMÉLIE)
- Tous respects à mes yeux se sont évanouis ; v.1650 (Acte 5, scène 4, AMÉLIE)
- Je n'ai point murmuré, le respect qui me reste, v.1664 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Mais ne vous blâmant point, je vous peux imiter, v.1666 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Un de ses deux effets ne se peut éviter, v.1667 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Je change comme vous, et sans peur qu'on m'accuse, v.1668 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Mon coeur ne sent plus rien de ses premières peines, v.1684 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- Ingrat, vois-moi pousser des soupirs superflus, v.1696 (Acte 5, scène 4, AMÉLIE)
- Mais quoi ? Je ne tiens pas sa perte favorable ? v.1698 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Je regrette un amant si peu considérable. v.1699 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Je gagne en te perdant, et ta haine m'oblige, v.1703 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Adieu, fais vanité de ma peine passée, v.1706 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Mais ne me vois jamais, horreur de ma pensée. v.1707 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Alors que je perdrai cette ardeur sans seconde v.1714 (Acte 5, scène 4, DIONYS)
- J'ai pris à vos dépens, cette joie infinie : v.1722 (Acte 5, scène 4, ÉRANTE)
- Les trompeurs sont trompés, et la feinte punie, v.1723 (Acte 5, scène 4, ?RANTE)
- Caressant un objet, qui ne peut rien pour vous. v.1725 (Acte 5, scène 4, ?RANTE)
- Rien ne peut égaler, ce que vous méritez. v.1741 (Acte 5, scène 5, AMÉLIE)
- Puis-je récompenser, ce favorable office, v.1743 (Acte 5, scène 5, DIONYS)
- Il doit plus de respect à la terreur du monde, v.1755 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Et qui peut divertir mes résolutions, v.1760 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- J'entreprends justement, et j'achève sans peine ; v.1763 (Acte 5, scène 6, ?MILE)
- Mais je la sais donner, et ne la perdre pas, v.1769 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Tu n'as pas dû, perfide, après tant d'insolence, v.1778 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Il ne peut discerner le vrai, d'avec la feinte ; v.1795 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Que tu dois conserver, de ma persévérance ; v.1803 (Acte 5, scène 6, ?MILE)
- C'est trop perdre de temps, à l'entretien des fous, v.1812 (Acte 5, scène 6, DIONYS)
- Ma vengeance dépend de tes pas diligents : v.1821 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Que vos bras sont puissants et nos exploits superbes, v.1830 (Acte 5, scène 6, LE VALET)
- Après tant de travail prendre un peu de repos. v.1833 (Acte 5, scène 6, LE VALET)
LE BÉLISSAIRE (1644)
- Le peuple impatient s'empresse en ce devoir, v.6 (Acte 1, scène 1, ALVARE)
- Laissons faire le peuple, et parler les histoires ; v.16 (Acte 1, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Puis la peur de la mort sied mal au misérable ; v.27 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Ne se peut refuser à ma profession ; v.38 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Soldat, si mon crédit peut obtenir sa grâce, v.55 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- J'accroîtrai, s'il se peut, son rang et ses exploits, v.58 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Et coupe en moi le cours à cette trahison ; v.82 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Punis-en la pensée, et non pas l'entreprise : v.84 (Acte 1, scène 2, L?ONSE)
- Quel respect nous retient ? v.87 (Acte 1, scène 2, ALVARE)
- Qu'il meure le perfide. v.87 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- Mais son prompt repentir vous défend ce transport ; v.90 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Vous m'ôtez un ami, pensant tuer un traître ; v.92 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Cet heureux repentir répare assez ton crime, v.99 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Dis-moi, qui t'obligeait à conspirer ma perte. v.103 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Elle ne trempe point en ce noir attentat ; v.130 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Une femme ! Ha ce mot accroît encor ma peine ; v.132 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Mais par le compte exact que me rend ma pensée, v.139 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Et je ne trouve rien à me rendre suspect, v.141 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Ni dedans mon amour, ni dedans mon respect. v.142 (Acte 1, scène 2, B?LISSAIRE)
- Avant que l'Empereur eût porté l'oeil sur moi, v.165 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- Ma bouche, après mes yeux, lui parla de ma peine. v.171 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Croissant avec mon rang, me fit jurer sa perte, v.180 (Acte 1, scène 3, TH?ODORE)
- Il a dû dissiper cette indignation ; v.186 (Acte 1, scène 3, CAMILLE)
- Je ne puis avancer Philippe mon parent, v.197 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- Madame, Bélisaire en superbe appareil, v.205 (Acte 1, scène 4, ANTHONIE)
- Du retour d'où le peuple adore le Soleil, v.206 (Acte 1, scène 4, ANTHONIE)
- Et l'Empereur qui passe en votre appartement, v.209 (Acte 1, scène 4, ANTHONIE)
- Ha perfide Léonse, âme vile et traîtresse, v.215 (Acte 1, scène 4, THÉODORE)
- Philippe est le parti dont je vous ai fait choix, v.233 (Acte 1, scène 4, THÉODORE)
- S'il m'est aussi courtois qu'il m'a permis de l'être ; v.264 (Acte 1, scène 6, LÉONSE)
- Ton bras peut-il manquer ce que ton coeur résout, v.281 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et réserve ta joie à ta seule pensée, v.284 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- La Perse encor un coup accroît donc mes États ? v.294 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- La Perse ait osé rompre une paix si profonde, v.300 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Mais enfin nous avons dans ce superbe État, v.305 (Acte 1, scène 6, B?LISSAIRE)
- Possédant l'Empereur, tu possèdes l'Empire, v.332 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Dieux ! Peux-tu ma raison conserver ton usage, v.343 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Lève-toi, que fais-tu ? Me peut-on voir sans blâme, v.348 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Fléchir où tu peux tout, prier où tu commandes ; v.351 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Permets tout à tes voeux, ne te refuse rien, v.353 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et puise en ton pouvoir ce que tu peux du mien. v.354 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Qui peut de ta faveur fournir en son besoin, v.357 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Cet habit suspendait le rapport de ma vue, v.368 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- De servir ma vengeance, et de perdre ce traître ? v.380 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Il semble qu'avec peine elle souffre ma vue ; v.387 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Vous aurez moins de peine en cet aveuglement. v.393 (Acte 1, scène 6, ANTHONIE)
- Ce soin passe leur prix, et ce peu que je vaux : v.398 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Ô Dieux ! D'un seul regard ne pas flatter ma peine ! v.399 (Acte 1, scène 6, B?LISSAIRE)
- Et qui peut établir mon repos et le tien. v.402 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- À mes yeux innocents impose cette peine ; v.404 (Acte 2, scène 1, ANTHONIE)
- Au mépris de ses voeux, aux dépens de ma foi ? v.406 (Acte 2, scène 1, ANTHONIE)
- Bélisaire languit, et sert sans récompense ; v.411 (Acte 2, scène 1, ANTHONIE)
- Ô triste labyrinthe et de peine et d'amour ! v.414 (Acte 2, scène 1, ANTHONIE)
- Philippe au nom d'Amour, s'il porte ici vos pas, v.417 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- Que votre affection me cause plus de peine, v.419 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- Que par ces vains respects, et ces voeux superflus ; v.422 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- À peine, en ce chagrin, je me souffre moi-même ; v.436 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- J'aperçois Bélisaire, opposez, Anthonie, v.447 (Acte 2, scène 3, THÉODORE)
- Quelle tristesse, hélas ! Est peinte en son visage ; v.455 (Acte 2, scène 3, ANTHONIE)
- Contenez-vous mes yeux, suspendez votre usage, v.456 (Acte 2, scène 3, ANTHONIE)
- Et plus votre vaincu, que vainqueur de la Perse, v.460 (Acte 2, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Que fort peu de mon sang a taché mes lauriers, v.466 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Mes veines, peut s'en faut, vous les rapportent toutes, v.468 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Un office ennuyeux, et fort peu souhaité, v.474 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Peut-être croyez-vous que dessous mes trophées v.479 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- J'ai servi l'Empereur du coeur dont je vous sers, v.485 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Elle me sera chère, et pour ne rien penser, v.489 (Acte 2, scène 4, B?LISSAIRE)
- Tirez d'un juste oubli la fin de votre peine ; v.500 (Acte 2, scène 4, ANTHONIE)
- Puisque votre salut dépend de ce refus ; v.502 (Acte 2, scène 4, ANTHONIE)
- Recevoir tant de gloire, et perdre tant d'amour ; v.514 (Acte 2, scène 5, BÉLISSAIRE)
- C'est elle à qui Léonse avait juré ma perte ; v.520 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- Et que peut-elle en moi punir que mon amour ? v.522 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- (Puisqu'il ne peut ailleurs choisir l'objet qu'il aime, v.531 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Un peu plus de la tienne, et moins de la Fortune ; v.552 (Acte 2, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Par celle-ci Philippe en conçoit l'espérance, v.556 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Par cette égalité demeure suspendue ; v.564 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Permet que je m'abuse et me manque au besoin, v.566 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et ce grade éminent est peu pour sa vertu ; v.574 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et qui fait bien à tous peut dormir sûrement. v.582 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et tout crime est permis quand il vous agrandit ; v.590 (Acte 2, scène 8, NARSÈS)
- Qui ne s'est obligé qu'à la perte d'un homme, v.591 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Acquiert à peu de frais la régence de Rome ; v.592 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- En ce facile accès que ses gens m'ont permis, v.597 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Nul ne nous aperçoit, et tout nous favorise, v.608 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Ont peine à consentir cette lâche action ; v.610 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Me nomme à l'Empereur, Gouverneur d'Italie, v.616 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Quoi tant de haine, ingrate, à ma perte t'enflamme, v.648 (Acte 2, scène 9, BÉLISSAIRE)
- Quel trouble, ou quel effroi me peut inquiéter ; v.658 (Acte 2, scène 9, B?LISSAIRE)
- M'a pendant un sommeil cet avis procuré ; v.666 (Acte 2, scène 10, BÉLISSAIRE)
- Théodore ne peut, s'il est vrai qu'elle m'aime, v.683 (Acte 2, scène 11, L'EMPEREUR)
- Souffrez, grand Empereur, qu'elle me soit ravie, v.700 (Acte 2, scène 12, NARSÈS)
- Mais la juste frayeur que le respect lui donne, v.707 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- Nomme assez Théodore, en ne nommant personne, v.708 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- Et j'ai peine d'ouïr qu'un nom qui m'est si cher, v.709 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- S'il ne craint qu'une femme : ô perfide Narsès, v.717 (Acte 2, scène 13, THÉODORE)
- Et mon État perdant un vassal si fidèle, v.723 (Acte 2, scène 13, L'EMPEREUR)
- Perdrait sa place au jour, et sa place en mon lit. v.734 (Acte 2, scène 13, L'EMPEREUR)
- Arrière tout respect, forçons toute contrainte, v.739 (Acte 2, scène 14, THÉODORE)
- S'il ne m'est pas permis de venger un affront ; v.742 (Acte 2, scène 14, TH?ODORE)
- Joins, cher Philipe, joins ta fureur à la mienne, v.747 (Acte 2, scène 15, THÉODORE)
- Si tu ne perds l'Amant pour acquérir l'Amante. v.752 (Acte 2, scène 15, TH?ODORE)
- Tu peux sans trahison le prendre au dépourvu. v.778 (Acte 2, scène 16, THÉODORE)
- Fais-moi, César, fais-moi perdre pour ce délit, v.781 (Acte 2, scène 17, THÉODORE)
- Qui se voulant venger pense à l'événement, v.785 (Acte 2, scène 17, TH?ODORE)
- Périssons ou perdons ce qui nous importune, v.787 (Acte 2, scène 17, TH?ODORE)
- Où mon coeur interdit se rendait avec peine, v.828 (Acte 3, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Peut à vous traverser porter l'Impératrice ? v.836 (Acte 3, scène 1, ALVARE)
- L'intérêt de Philippe à qui sa Majesté v.837 (Acte 3, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Ma vertu m'appuyant, rien ne peut m'émouvoir, v.845 (Acte 3, scène 1, B?LISSAIRE)
- Que dans un mot d'écrit nos pensers amoureux, v.849 (Acte 3, scène 1, B?LISSAIRE)
- L'ordre de l'Empereur n'admet ici personne, v.856 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Il a beaucoup d'ardeur, ou peu de sentiment : v.862 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- C'est peu pour la fureur qui tous deux nous consomme, v.871 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- L'oeuvre perd de son prix à trop délibérer. v.874 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- De peur de la manquer, ajoutant l'artifice, v.880 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Ne perdons point de temps ; que vois-je, justes Cieux ! v.893 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- De quel transport, Philippe, est votre âme ravie, v.896 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Ma cruauté m'y rend, et ma fureur s'y perd, v.901 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- J'y pèche et m'y repens, je m'y souille et m'y lave, v.903 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Expliquez-moi ce trouble et me tirez de peine. v.907 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Que jamais on ne perd l'intérêt d'un bienfait. v.914 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Le dessein de ma mort, peut-être vous amène ; v.916 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Ma plaindre à l'Empereur serait croître ma peine, v.951 (Acte 3, scène 3, BÉLISSAIRE)
- Le salut d'un État dépend d'un prompt secours ; v.962 (Acte 3, scène 4, NARSÈS)
- Pour fondre au pied des monts où ces peuples mutins, v.965 (Acte 3, scène 4, NARS?S)
- Tous ses peuples soumis fléchiront sous ma loi, v.977 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Puisque ce port céleste, et ce divin aspect, v.989 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Impriment à la fois l'amour et le respect. v.990 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Et si je n'ai jamais d'effet, ni de penser, v.993 (Acte 3, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Qui dedans le repos représente nos peines ; v.1004 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Un confident peu sûr, un parleur peu discret, v.1005 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Après ta lâcheté tu peux encor paraître ? v.1016 (Acte 3, scène 5, THÉODORE)
- La peur plus que l'espoir peut toucher tes esprits ? v.1018 (Acte 3, scène 5, TH?ODORE)
- Voici le fer encor destiné pour sa perte, v.1019 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- D'un coup peu convenable à la main d'une femme. v.1028 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Contre l'original la peut porter demain ; v.1054 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Ne me réplique point de peur de m'éveiller, v.1061 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Et que malgré mes soins, Philippe ton parent v.1069 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- De souhaiter sa perte, et voir d'un oeil d'envie v.1075 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- A-t-il à sa valeur permis jamais de trêve ? v.1079 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Et ce grand coeur, l'effroi des peuples et des Rois, v.1089 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Mais ta haine entreprend, en ce dessein pervers, v.1101 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Que sans quelque respect dont l'honneur me retient, v.1110 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Je dois les yeux bandés peser d'un poids égal, v.1117 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Fût-ce, au lieu de ma femme en ma propre personne ; v.1120 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Dont j'ignore la cause, et partage la peine ; v.1124 (Acte 3, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et que le peu de fruit d'attenter sur ta vie, v.1147 (Acte 3, scène 6, L'EMPEREUR)
- Ne peut monter plus haut, sans s'attaquer aux Cieux, v.1198 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Ne peut pas s'alentir quand la cause en augmente, v.1208 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Quoiqu'enfin révoquée, appelle ma vengeance ; v.1212 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Ne peut être qu'un crime à l'innocence même ; v.1228 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Il ne suffisait pas à cet esprit superbe, v.1235 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Qu'autrefois mon amour ait dépendu de lui, v.1237 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Il veut que mon sort même en dépende aujourd'hui ; v.1238 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et faisant peu d'état de m'avoir outragée, v.1239 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- M'a paru de sa mort un moyen peu certain ; v.1254 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Et par qui sur un coeur un autre peut régner, v.1265 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Pour perdre cet ingrat, tâcher de le gagner ; v.1266 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Le dessein de sa perte est si bien concerté, v.1269 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Nise, en qui l'Empereur, plus qu'en nulle a créance, v.1271 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et la Couronne a joint au peu que j'ai d'appas, v.1277 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Quant au lieu de sa perte, où tend mon entreprise, v.1279 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Je l'en verrais, peut-être, avecque moins de peine, v.1283 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et sa confusion dissiperait ma haine ; v.1284 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Le respect me chassait, et non pas la surprise. v.1296 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Me perdre par l'amour, n'ayant pu par la haine ? v.1312 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Et votre rang, Madame, et cet auguste aspect, v.1313 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- Restreignirent mes voeux aux termes du respect ; v.1314 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- Je fus respectueux, et non pas insensible ; v.1316 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- Acheta de vos voeux la superbe conquête ; v.1324 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- De quelque étroit respect qu'un amour soit contraint, v.1337 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Et l'art, quoique trompeur, d'un coeur indifférent, v.1341 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Et vous ne vouliez pas perdre une occasion, v.1345 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Des moyens de vous perdre, et de me satisfaire ; v.1356 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- Achevez mes soupirs qui me coupez la voix, v.1358 (Acte 4, scène 2, TH?ODORE)
- On peut grand Empereur, mon Seigneur et mon Roi, v.1373 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- On peut m'ôter le jour, mais non m'ôter la foi ; v.1374 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- Sortons, et lui laissons cette écharpe à la main. v.1382 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Je cherchais l'Empereur qui m'attend pour la chasse, v.1383 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Il ne l'aperçoit pas, ou ne l'ose toucher. v.1386 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Sous cette écharpe, encor, quelque embûche est tendue. v.1387 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Ce gant dessus l'écharpe adressera sa vue. v.1388 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Cette écharpe et ce gant sont tombés à Madame, v.1404 (Acte 4, scène 3, BÉLISSAIRE)
- Cette écharpe et ce gant ne sont pas sans mystère, v.1407 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- Mais mon salut dépend de voir et de me taire. v.1408 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- J'ai de quoi triompher de ce superbe esprit, v.1437 (Acte 4, scène 5, THÉODORE)
- Leurs plus secrets pensers, leur propre intelligence, v.1439 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Quand je perds tout espoir, s'offrent à ma vengeance ; v.1440 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Avoir par tant de gens sa perte poursuivie, v.1463 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Tant abhorré son nom, perdu tant de repos, v.1465 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Pesez auparavant que de rien intenter, v.1469 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- On ne me peut heurter qu'on ne me choque en lui ; v.1478 (Acte 4, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et, s'il se peut encor, quelque chose de pire, v.1484 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- L'Enfer ne peut former de si noire pratique, v.1491 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- De savoir quel degré j'occupe en votre grâce, v.1507 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Ce papier vous peut dire au défaut de ma bouche, v.1519 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Peut, si vous l'enquérez, joindre à ce témoignage, v.1523 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Et le Ciel, cependant, va payer ma vertu, v.1526 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Que le respect d'un trône empêche d'y monter, v.1556 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Se défend par respect de s'en charger le front, v.1559 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Libre d'ambition, permet qu'Amour le touche, v.1561 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Et d'un bras de l'État, le fléau de l'Empereur ! v.1576 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Je vous ferme l'oreille, et de peur de pencher v.1583 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Je deviens importun, on me souffre avec peine ! v.1622 (Acte 4, scène 10, BÉLISSAIRE)
- Et n'élever personne au plus haut de sa roue, v.1629 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Et puisqu'on ne peut voir cette instable Déesse, v.1633 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Et que c'est un instinct qu'elle ne peut dompter, v.1635 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Connaissant l'Empereur, taxer l'Impératrice, v.1642 (Acte 5, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Et lui-même ayant pris et le temps et la peine v.1645 (Acte 5, scène 1, B?LISSAIRE)
- Je vous suis trop acquis, pour vous pouvoir sans peine, v.1661 (Acte 5, scène 2, LÉONSE)
- Le plus cher favori n'est rien qu'un peu de boue, v.1669 (Acte 5, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Est seul indépendant et du temps et du sort ; v.1676 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Qui vous en peut servir d'une preuve assez ample. v.1678 (Acte 5, scène 2, B?LISSAIRE)
- Que vous n'éteindriez pas pour partager ma peine. v.1682 (Acte 5, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Me fait premier que vous ressentir votre peine ; v.1686 (Acte 5, scène 3, NARSÈS)
- L'Empereur m'honorant de ses magnificences, v.1689 (Acte 5, scène 3, BÉLISSAIRE)
- Je ne les reçus pas comme des récompenses, v.1690 (Acte 5, scène 3, B?LISSAIRE)
- Que ton faste est trompeur ! Et quoi qu'il ait de beau, v.1703 (Acte 5, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Sans que de mes pensers le secret entretien, v.1707 (Acte 5, scène 4, B?LISSAIRE)
- Tenez, elle ne peut mieux tomber de mes mains, v.1719 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Prince l'espoir des bons, et l'effroi des pervers, v.1727 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Si pour distribuer et le prix et les peines, v.1730 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- S'il vous souvient encor du combat où les Perses, v.1753 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Je vis votre cheval percé de mille coups, v.1759 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Je l'ai conduit si loin, que j'en ai fait dépendre, v.1793 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Combien ai-je servi votre propre personne ? v.1802 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Si par quelque rapport ma foi vous est suspecte, v.1825 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Et l'oeil d'un Empereur, non plus que d'un sujet, v.1831 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Peut-il lire en un coeur, ni savoir son projet ? v.1832 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Philippe, à quelle fin destine-t-on ma vie ? v.1865 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- La mort qui frappe tôt s'en fait moins ressentir. v.1868 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- De la plus éclatante et superbe Machine ; v.1870 (Acte 5, scène 5, PHILIPPE)
- Quand je pense aux États que son bras m'a soumis, v.1875 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Sa perte est de ses faits un indigne salaire, v.1882 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- De voir en un vassal des pensers pour ma couche, v.1886 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Sa perte est à l'État de trop grand préjudice, v.1901 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Suspendez votre arrêt, Seigneur, l'Impératrice, v.1909 (Acte 5, scène 7, CAMILLE)
- Empêchez que Philippe... v.1935 (Acte 5, scène 7, L'EMPEREUR)
- Ha ! S'il m'était permis, après cette aventure, v.1977 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
LE VÉRITABLE SAINT GENEST (1648)
- Un songe, une vapeur, vous causent de la peine ! v.2 (Acte 1, scène 1, CAMILLE)
- Déjà cinq ou six nuits, à ma triste pensée, v.13 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Et l'Empereur mon père, avec violence, v.17 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Je puis, s'il m'est permis, et si la vérité v.19 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Dispense les enfants à quelque liberté, v.20 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Quand Empereur il fit sa couche et son État v.27 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- Peut-il pas, s'il me veut dans un état vulgaire, v.77 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Et peut toujours braver son pouvoir insolent ; v.83 (Acte 1, scène 1, VAL?RIE)
- L'Empereur qui m'envoie v.89 (Acte 1, scène 2, LE-PAGE)
- Aux pieds de l'Empereur apporte les trophées ; v.94 (Acte 1, scène 2, LE-PAGE)
- Et cet heur inconnu, qui flatte ma pensée, v.101 (Acte 1, scène 2, VALÉRIE)
- Dissipe ma frayeur, et l'a presque effacée ; v.102 (Acte 1, scène 2, VAL?RIE)
- Aujourd'hui, que pour prix des pertes de son sang, v.115 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- La Terre trouverait ses bornes trop petites ; v.122 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Que qui gouverne Rome, a conduit des troupeaux ; v.144 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- Et de votre personne et de votre naissance ; v.154 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- Qui ne redoutant rien, ne peut rien respecter, v.163 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Gordian, Pertinax, Macrin, Probe, Aurélie, v.174 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Des règles aux troupeaux, et des lois aux humains ; v.176 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Et choisi la personne, et non pas la naissance ? v.182 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Et ce qui fut ma peur, est enfin mon souhait. v.196 (Acte 1, scène 3, VALÉRIE)
- Permet de partager l'allégresse commune, v.210 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- (Puisque le peuple grec, non plus que le romain, v.219 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- N'a point pour les tromper une assez docte main.) v.220 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Et dans l'état qu'il est, ne peut sans être ingrat, v.231 (Acte 1, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- De trois ou quatre au plus, peut-être la mémoire v.261 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Et dont l'estime enfin ne peut être effacée, v.269 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Ce serait vous mentir, et trahir ma pensée. v.270 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Sans doute, ont mis la scène en sa perfection ; v.272 (Acte 1, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- D'un pinceau sans pareil a peint l'esprit Romain, v.284 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Elle sera sans peine, v.297 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Et si peu différent de la vérité même, v.302 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Oui, crois qu'avec plaisir je serai spectateur v.307 (Acte 1, scène 5, MAXIMIN)
- Il est beau ; mais encor, avec peu de dépense, v.313 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- En marbrer les dehors, en jasper les colonnes, v.317 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- Draper mieux ces habits, reculer ces paysages, v.321 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- Et surtout, en la toile où vous peignez vos cieux, v.323 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- Au lieu que la couleur m'en semble un peu meurtrie. v.325 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- L'approche à ces desseins ôtent leurs perspectives, v.329 (Acte 2, scène 1, DECORATEUR)
- La querelle du ciel à ce combat t'appelle ; v.338 (Acte 2, scène 2, GENEST)
- La troupe, en me perdant, perdrait tous ses appas ; v.356 (Acte 2, scène 3, MARCELE)
- Ce récit me surprend, et vous peut acquérir v.387 (Acte 2, scène 3, GENEST)
- J'ai pour suspects, vos noms de dieux et d'immortels ; v.411 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Je répugne aux respects qu'on rend à vos autels ; v.412 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Mais où va ma pensée, et par quel privilège v.417 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Et du pouvoir des dieux, perds-je le souvenir ? v.419 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Poursuis Genest ton personnage, v.421 (Acte 2, scène 4, VOIX DU CIEL)
- Ton salut ne dépend, que d'un peu de courage, v.423 (Acte 2, scène 4, VOIX DU CIEL)
- Pour me toucher le coeur, me frappes-tu l'oreille ? v.426 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Mais ô vaine créance, et frivole pensée, v.433 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Quelqu'un s'apercevant du caprice où j'étais, v.435 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Et les pensers pompeux et pleins de majesté, v.455 (Acte 2, scène 6, VALÉRIE)
- Le théâtre aujourd'hui, superbe en sa structure, v.461 (Acte 2, scène 6, PLANCIEN)
- Admirable en son art, et riche en sa peinture, v.462 (Acte 2, scène 6, PLANCIEN)
- Que bien loin d'en souffrir le spectacle avec peine, v.470 (Acte 2, scène 6, MAXIMIN)
- Sinon en sa personne, au moins en sa figure. v.474 (Acte 2, scène 6, MAXIMIN)
- La querelle du ciel, à ce combat t'appelle ; v.480 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- La faveur de césar, qu'un peuple entier t'envie, v.487 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Ne peut durer, au plus, que le cours de sa vie ; v.488 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Si ton zèle te dure, a ta perte arrêtée ; v.492 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Ces fruits à peine éclos, déjà mûrs pour les cieux. v.502 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Cette vigueur, peut-être, est un effort humain ? v.513 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Où pend pour nous le fruit le plus chéri des cieux. v.522 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- J'ai peine à concevoir ce changement extrême, v.523 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Un seul bien que je perds, la seule Natalie, v.527 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Mais que j'ai peu de coeur, si ce penser me touche ! v.531 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Ne peut ou s'arrêter, ni s'asseoir, qu'avec peine. v.544 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Voyant le peu d'effet que la rigueur produit, v.553 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Leur obstination s'irrite par les peines ; v.555 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pour trop agir contre eux, le feu perd son usage ; v.560 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Ha ! S'est-il écrié, César, tout est perdu ; v.566 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Qu'est-ce, a dit l'Empereur, interdit et troublé, v.569 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pâlit, frappe du pied, frémit, déteste, tonne, v.579 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Comme désespéré, ne connaît plus personne, v.580 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Les dieux, dont comme nous, les monarques dépendent, v.587 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Ne le permettent pas, et les lois les défendent. v.588 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Il vous peut même ôter vos biens si précieux. v.605 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Que votre repentir ! v.613 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Si vous vous obstinez, votre perte est certaine. v.615 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- À peine, depuis l'heure, à ce noeud destinée, v.623 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Devait après la mort perpétuer vos jours ! v.626 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Qu'avant qu'être Empereur, Maximin fut berger ? v.634 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pour peu que sa faveur vous puisse être constante, v.635 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pesez-en le succès d'un esprit plus remis ; v.642 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Celui n'a point péché, de qui la repentance v.643 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- M'a bien persuadé, mais ne m'a point surpris ; v.646 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Et me laissant toucher à cette repentance, v.647 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Ni ce foudre qu'on peint en la main de vos Dieux, v.650 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Pesez bien les effets qui suivront mes paroles. v.655 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Si raison ni douceur ne vous peut émouvoir ; v.657 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Pour de riches faveurs, et de superbes marques, v.663 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- Il ne se peut rien feindre avecque plus de grâce. v.668 (Acte 2, scène 9, MAXIMIN)
- L'intermède permet de l'en féliciter, v.669 (Acte 2, scène 9, VALÉRIE)
- Ne peuvent-ils produire aucun plaisant spectacle ? v.672 (Acte 3, scène 1, VALÉRIE)
- Si l'onde est agitée, il la peut affermir ; v.693 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Ce que j'extirpe ici, dans ma Cour prend racine, v.723 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Ne peut (quoi qu'elle fasse) acheter un ingrat. v.726 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Et se peut-il souffrir de moindres libertés ? v.730 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Et de tremper ses mains dans le sang innocent ; v.738 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Je cherche le salut, qu'on ne peut espérer v.753 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Si tu ne divertis la peine où tu t'exposes, v.763 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Traître, jamais sommeil n'enchantera mes peines, v.767 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Que ton perfide sang, épuisé de tes veines, v.768 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Quand je perdrai le jour pour l'auteur de la vie. v.772 (Acte 3, scène 2, ADRIAN)
- Ne le peut allumer, et demeure impunie ! v.784 (Acte 3, scène 3, MAXIMIN)
- À qui contre le ciel soulève un peu de terre, v.787 (Acte 3, scène 3, MAXIMIN)
- Inspirez-moi, grands Dieux ! Inspirez-moi des peines, v.791 (Acte 3, scène 3, MAXIMIN)
- Si l'effet n'en dépend que d'un désir extrême... v.800 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- La demeure, les biens, les délices, les peines, v.804 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Sur un plus digne objet, adresse ta pensée ; v.836 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Et qu'on ne peut s'aimer, ni vivre qu'avec Dieu. v.850 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Permets que l'alliance enfin s'en accomplisse, v.855 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Que mes voeux, que ta foi ; mais tire-moi de peine, v.863 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Il fit qu'avec le lait, pendante à la mamelle, v.871 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Qu'à peine eus-je des yeux pour voir ta passion ; v.894 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Permets-moi toutefois de me plaindre à mon tour, v.909 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Peux-tu, sans t'émouvoir, avoir vu ton époux, v.913 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Partageons donc la peine, aussi bien que les crimes, v.923 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Lorsque Dieu nous appelle, il est temps de répondre ; v.932 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Jusques au ciel enfin me permet de te suivre ; v.944 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Épargne-leur cette inutile peine, v.951 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Nul intérêt humain, nul respect ne le touche ; v.959 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Vous ne vous y blessiez, pensant le secourir, v.965 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Avec quelle pitié le peut-on secourir, v.977 (Acte 3, scène 6, FLAVIE)
- Comparés aux futurs, sont doux, ou peu cuisants ! v.990 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- De ce lâche respect, forçons la violence ; v.1012 (Acte 3, scène 7, NATALIE)
- Ce qu'à Dieu, du penser nous avons dit cent fois. v.1014 (Acte 3, scène 7, NATALIE)
- J'avais vu, par l'espoir d'un proche repentir, v.1037 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Mais quand il a connu nos prières, nos peines, v.1039 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Amenez ce perfide, en qui mes bons offices, v.1043 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Peut aller la fureur d'un monarque irrité. v.1046 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Et si le repentir de ton aveugle erreur v.1049 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- S'unisse pour ma perte, et conspire à ma peine ; v.1052 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- Se retint le pouvoir d'en suspendre l'usage ; v.1056 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- Le feu ne peut brûler, l'air ne saurait mouvoir, v.1057 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- Ni l'eau ne peut couler, qu'au gré de son pouvoir ; v.1058 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- S'émousse, s'il l'ordonne, et ne peut pénétrer, v.1061 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- Mais quand ce spectre affreux sous un front inhumain, v.1069 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Et notre repentir, en cette occasion, v.1073 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Et j'appris leur constance, en ordonnant leurs peines, v.1076 (Acte 4, scène 2, ADRIAN)
- Nous est de sa personne une assez sûre garde. v.1087 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- De ses persécuteurs, bravaient la tyrannie ? v.1104 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Va, perfide, aux tyrans, à qui tu t'es rendu, v.1117 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Mais parmi ses honneurs, et ses rangs superflus, v.1121 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Ne saurait en son coeur priser ta perfidie ; v.1128 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Pour me perdre avec toi, chercher grâce en ces lieux ? v.1134 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Que ferai-je, ô Seigneur ! Puis-je souffrir sans peine v.1135 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Je te vais détromper, où cours-tu ma chère âme ? v.1140 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- La palme qu'aujourd'hui tu perds, faute de coeur ; v.1142 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Il a reçu ma foi, rien ne peut l'ébranler, v.1149 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Je me rends au combat où l'Empereur m'appelle ; v.1152 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Cours, puisqu'un Dieu t'appelle aux pieds de son autel, v.1177 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Suivre la vanité de ses trompeurs appas. v.1190 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Tu peux parler en homme, et non pas en martyr ? v.1206 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- D'un trésor précieux, que rien ne peut m'ôter. v.1210 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Et je sais que jamais pour la peur du trépas, v.1221 (Acte 4, scène 5, ANTHYME)
- Il faut lever le masque, et t'ouvrir ma pensée ; v.1244 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Descends, céleste acteur ; tu m'attends ! Tu m'appelles ! v.1255 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Pour tromper l'auditeur, abuser l'acteur même, v.1263 (Acte 4, scène 5, VALÉRIE)
- Ceux qu'on mande à la mort, ne marchent pas sans peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, SOLDAT)
- Toi l'accueil d'un vainqueur, sensible au repentir, v.1281 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Certes, ou ce spectacle est une vérité, v.1285 (Acte 4, scène 7, PLANCIEN)
- Mais mon salut dépend de cet illustre crime ; v.1323 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Écoutez donc, Césars, et vous troupes romaines, v.1331 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Et (si peu que mon art pouvait exécuter) v.1337 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Tout mon heur consistait à les persécuter ; v.1338 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Et fait choix à dessein d'un art peu glorieux, v.1341 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Dont le pouvoir d'un dieu, peut seul être l'auteur, v.1345 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Je deviens leur rival de leur persécuteur ; v.1346 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Qui m'a fait des chrétiens, persécuter la vie ; v.1356 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Déployez vos rigueurs, brûlez, coupez, tranchez, v.1361 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Je sais de quel repos cette peine est suivie, v.1363 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Aujourd'hui je veux plaire à l'empereur des cieux ; v.1366 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Dont la faible clarté perce à peine les ombres ; v.1380 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- (Quoiqu'ils trompent encor votre crédulité,) v.1381 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Et des autres, le nom à peine en est resté. v.1382 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- L'Empereur abandonne aux rigueurs de la loi, v.1397 (Acte 4, scène 8, MARCELE)
- Nos prières, peut-être. v.1399 (Acte 4, scène 8, OCTAVE)
- D'en oser faire gloire, aux yeux de l'Empereur ; v.1406 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- À tout respect humain, nous doit fermer les yeux ; v.1422 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Et si Genest persiste en son aveuglement, v.1425 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Le peut rendre lui-même à lui-même propice, v.1428 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Vaine promesse d'un trompeur ! v.1442 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- N'est jamais sans quelque vapeur ; v.1444 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Et mon_Dieu, dans la peine même, v.1445 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Et que peut plus un corps, dont le chef est à bas ? v.1482 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Ce n'est que de tes jours, que dépend notre vie, v.1483 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Que j'appelle une grâce, et vous un châtiment. v.1494 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- D'un Dieu, qui donne aux siens la mort pour récompense ! v.1496 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Perdent l'ambition, en perdant l'espérance, v.1507 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et qu'il ne peut punir d'un trop rude supplice ; v.1512 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Peut-être que tu plains ta jeunesse passée, v.1519 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Par une ingrate Cour, si mal récompensée ; v.1520 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Les rois ont ce penser inique et rigoureux, v.1525 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et que nos voeux, nos soins, nos loisirs, nos personnes, v.1527 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Mais peut-on qu'en souffrant, vaincre un mal sans remède ? v.1531 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Ne nous épargne point, ouvre-nous ta pensée ; v.1536 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- D'un si peu raisonnable et si lâche penser. v.1546 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- À m'en être promis beaucoup de récompense ; v.1548 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Nos voeux, nos passions, nos veilles et nos peines, v.1551 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- De tous les empereurs, l'Empereur et le Maître, v.1559 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Qui seul me peut sauver, comme il m'a donné l'être ; v.1560 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Ta grâce peut, Seigneur, détourner ce présage ! v.1575 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- De tant de conviés, bien peu suivent tes pas, v.1577 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Et pour être appelés, tous ne répondent pas. v.1578 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Dont cette ingrate voix l'a tant persécuté, v.1594 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Aux oreilles d'un prince, et d'un peuple idolâtre, v.1596 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- J'aurai bien peu vécu, si l'âge se mesure, v.1607 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Et commence de perdre, en recevant le jour. v.1614 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Toute perte est légère, à qui s'acquiert un dieu. v.1617 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Vous vous acquittez mal de votre personnage ; v.1620 (Acte 5, scène 4, GEOLIER)
- Donner ce soir au peuple un spectacle sanglant ; v.1666 (Acte 5, scène 5, MAXIMIN)
- Permettez-moi, Seigneur, de rendre à vos genoux, v.1673 (Acte 5, scène 6, VALÉRIE)
- Qu'ils la perdront du coup qui tranchera ses jours ; v.1678 (Acte 5, scène 6, VAL?RIE)
- Le couteau, dont lui-même il se perce le sein. v.1694 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- Le coup frappe sur nous, s'il tombe sur sa tête ; v.1696 (Acte 5, scène 6, MARCELE)
- Nous assassine tous, en lui perçant le sein. v.1698 (Acte 5, scène 6, MARCELE)
- Si par son repentir, favorable à soi-même, v.1711 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- A du courroux des dieux, contre sa perfidie, v.1723 (Acte 5, scène 7, PLANCIEN)
- À si peu que les dieux m'ont donné de lumières, v.1728 (Acte 5, scène 7, PLANCIEN)
- Tout l'art, dont la rigueur peut tourmenter les corps ; v.1730 (Acte 5, scène 7, PLANCIEN)
- Nous souffrions plus que lui, par l'horreur de sa peine ; v.1736 (Acte 5, scène 7, PLANCIEN)
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
LA DIANE (1635)
- Éteins ou récompense une ardeur si parfaite : v.13 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Qui me flattait d'attente et d'espoirs superflus, v.19 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Attends, abaisse un peu ta voix. v.32 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Comment m'appelles-tu ? je t'ai tant conjurée v.33 (Acte 1, scène 2, C?LIR?E)
- Et ne sais-tu pas bien que l'on m'appelle ainsi ? v.36 (Acte 1, scène 2, C?LIR?E)
- Je m'y trompe toujours. v.37 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Ils laissent leurs troupeaux à la merci des loups ; v.48 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Et votre perte seule est cause de ces pertes. v.50 (Acte 1, scène 2, DOROTH?E)
- Il est désespéré d'avoir perdu ses peines ; v.54 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Il le peut bien. v.59 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Souffrait pour votre perte un déplaisir extrême. v.62 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Le traître s'est couvert des couleurs d'un perfide ; v.70 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Damon par son moyen le peut savoir aussi. v.72 (Acte 1, scène 2, DOROTH?E)
- Accorde cette peine au feu qui me consomme ; v.86 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Ai-je assez appelé ? quels importants secrets v.95 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Le déplaisir de perdre un infidèle amant v.103 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- La perte d'un traître est heureuse. v.105 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Ne vous repentez pas quand il sera trop tard. v.116 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Tu ne peux, sans me faire tort, v.122 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- N'appelle point leur rigueur importune ; v.124 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Et, de peur de sentir ses rais, v.138 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Un sentiment secret me l'a peint incapable v.153 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Qui vous est destiné pour charmeur de vos peines, v.165 (Acte 1, scène 4, FILÉMON)
- L'éloignement d'un jour peut-être vous offense, v.169 (Acte 1, scène 4, FIL?MON)
- Cette alliance acquise avec beaucoup de peine, v.189 (Acte 1, scène 4, FILÉMON)
- Permettez ces transports à mon courage extrême : v.197 (Acte 1, scène 4, ORANTE)
- Que je ne peux noircir une illustre famille, v.202 (Acte 1, scène 4, ORANTE)
- Pour peu qu'il dissimule, v.209 (Acte 1, scène 4, ORANTE)
- Mon fils, où peut-il être ? v.218 (Acte 1, scène 5, FILÉMON)
- On peut tout sur ces gens avec la flatterie. v.222 (Acte 1, scène 5, FILÉMON)
- Je crains qu'on ne m'appelle, il faut presser le pas ; v.223 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Et puis c'est un peu loin. v.224 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- En doivent suivre deux avec fort peu de peine. v.226 (Acte 1, scène 5, SYLVIAN)
- Affliger mes troupeaux et sécher leurs pâtis. v.236 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et les plus noirs péchés sont moindres que ma peine. v.242 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et j'arrive à Paris avec peu d'apparence v.245 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et j'y perdrai la vie, ayant perdu ma peine, v.249 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais dans l'égalité de ces superbes toits, v.255 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne sais-tu pas, Damon, qu'Amour peut tout changer ? v.267 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Pourquoi ne peux-tu voir que sa force me change v.269 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Lui fait toujours blâmer ce qu'il ne peut plus faire. v.290 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Mais tu ne réponds pas des heures que je perds : v.299 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Tu m'offenses, Damon. Adieu, car on m'appelle. v.306 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- M'aura peint incivil aux yeux de ma maîtresse. v.326 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Beau sujet de mes feux, doux objet de ma peine, v.354 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Mais que de vains pensers mon âme est agitée ! v.361 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Ce rival seulement peut avoir éventé v.371 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- (Car Orante est un bien que je perds sans regret), v.375 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Et qui n'a rien de cher que ses troupeaux et toi. v.384 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Non, ne dis rien. Que me peux-tu répondre, v.385 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Peux-tu désavouer cette inclination ? v.388 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Qui ne pouvait longtemps occuper mes désirs, v.391 (Acte 2, scène 4, LYSIMANT)
- Qui ne peut respirer que des plaisirs infâmes, v.398 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Un bien promis ailleurs ne peut m'appartenir ; v.415 (Acte 2, scène 5, FILÉMON)
- Je ne conjoindrai point ce qu'on peut désunir : v.416 (Acte 2, scène 5, FIL?MON)
- Sauvez-vous à vous-même une inutile peine, v.417 (Acte 2, scène 5, FIL?MON)
- À souffrir un regret pour la peur d'un plus grand. v.420 (Acte 2, scène 5, FIL?MON)
- Perdant ce que j'acquis sans peine et sans désir. v.424 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Mais que peut t'acquérir l'effet de ta vengeance ? v.437 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Que peut-elle à nos maux procurer d'allégeance, v.438 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Lui fait souffrir l'humeur de Rosinde avec peine, v.450 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Quel fruit dois-je espérer des peines que je prends, v.471 (Acte 2, scène 8, CÉLIRÉE)
- S'il peut, malgré mes soins, forcer tant de franchises, v.477 (Acte 2, scène 8, C?LIR?E)
- Mais qu'il trouve de peine en l'accomplissement ! v.484 (Acte 2, scène 8, C?LIR?E)
- Car je serais aveugle en ma persévérance, v.493 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Puisqu'enfin j'ai perdu tout sujet d'espérance. v.494 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Pensers qui me parlez de son ingratitude, v.498 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Laissez-moi seulement du respect pour une heure ; v.502 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Peignez-la-moi cruelle, ingrate, inaccessible, v.505 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Que c'est perdre mon temps que de vous désirer, v.516 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Que vous payez de vent les peines que j'ai prises, v.517 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Et qu'il s'est enrichi du bien que j'ai perdu ? v.520 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Qu'on est peut-être injuste alors qu'on vous accuse, v.522 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Que vous participez à tous mes déplaisirs, v.523 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Ne vous figurez pas causer autant de peine v.553 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Mon coeur est dépouillé de tous ces vains respects, v.563 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Qui font faire aux amants des compliments suspects, v.564 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Las ! Malgré le respect que j'avais proposé v.571 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Et ne rapporte point ton offense à ta peine ; v.578 (Acte 3, scène 3, ORANTE)
- À qui je peux fier l'ennui qui me tourmente ; v.582 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Avec si peu de peine, avec tant de dédains, v.587 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Une juste fureur dégage ma pensée. v.590 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Un moment peut ôter son portrait de mon coeur, v.591 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Et me faire abhorrer ce superbe vainqueur. v.592 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Vous vous êtes piquée un peu légèrement : v.616 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Mais que j'avais ma peine, et mon honneur plus cher, v.631 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Que ce superbe esprit triomphe de mes biens, v.647 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Je ne le peux souffrir, que cet amant volage v.649 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Je peux tout ruiner, quand même Lysimant v.655 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Durant cinq ou six ans j'ai gardé mes troupeaux v.659 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Lysandre, c'est son nom, lorsqu'il fut un peu grand, v.675 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- On peut à son défaut accepter votre amant. v.684 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Heureux qui vit sans peine, et qui peut à sa fille v.709 (Acte 3, scène 7, FILÉMON)
- Orante ne perd rien éloignant Lysimant, v.711 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Et voyait Lysimant avec autant de peine v.725 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Que mon pouvoir est grand, et qu'avec peu d'efforts v.731 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Je peux en un moment ressusciter deux morts ! v.732 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Vous frappez hardiment. v.747 (Acte 3, scène 9, LE LAQUAIS)
- Qui termine sa peine et son éloignement, v.760 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Peut réparer l'éclat de ce visage triste. v.790 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- Peux-tu désapprouver cet heureux mariage ? v.794 (Acte 4, scène 2, FIL?MON)
- Où j'épargne à vos ans des travaux superflus, v.803 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Où je puisse, occupée à de saintes pensées, v.805 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Qu'on n'en peut espérer de votre humeur volage. v.810 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- Au moins dispensez-moi d'un si fâcheux servage ; v.813 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Daignez me dispenser d'inutiles rapports. v.824 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Que de vous figurer d'avoir causé ma peine ; v.834 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Que je serais injuste en ma persévérance, v.842 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- En ces occasions ne peut rien révérer ; v.852 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- Ne perdons point de temps, et voyons si son père v.865 (Acte 4, scène 3, LYSIMANT)
- Il ne fait qu'arriver, et ce n'est pas sans peine v.877 (Acte 4, scène 4, ORIMAND)
- Peux-tu perdre ton coeur sans perdre aussi le sens ? v.896 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- Et ne perds plus de temps en ces recherches vaines : v.902 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- N'est pas, infortuné, permise à tes desseins, v.904 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- J'ai sans beaucoup de peine un malheur diverti, v.907 (Acte 4, scène 6, DIANE)
- Mais un second danger appelle mon adresse : v.909 (Acte 4, scène 6, DIANE)
- Orante peut beaucoup d'une seule caresse, v.910 (Acte 4, scène 6, DIANE)
- Et je perdrai le fruit de ce déguisement v.911 (Acte 4, scène 6, DIANE)
- J'ai peur d'avoir Ariste : v.922 (Acte 4, scène 7, ORANTE)
- Qu'il ne peut s'offenser de votre résistance. v.926 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- C'est là qu'innocemment un esprit se dispense v.929 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- Ne me le permet pas. v.942 (Acte 4, scène 7, ORANTE)
- Votre heur dépend de vous. v.951 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- Ces crimes sont permis aux esprits amoureux, v.955 (Acte 4, scène 8, CÉLIRÉE)
- En la peine qu'ils ont d'exercer leurs malices, v.958 (Acte 4, scène 8, C?LIR?E)
- Et, jugeant du souci qui les peut assaillir, v.959 (Acte 4, scène 8, C?LIR?E)
- Mais ce perfide amant à mes yeux se présente ; v.961 (Acte 4, scène 8, C?LIR?E)
- Ne peut-elle toucher un amant si fidèle ? v.970 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Ô dieux ! Causant sa peine et son inquiétude, v.981 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Vous avez peu d'amour ou peu d'expérience ; v.1005 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Ce vous est un grand mal qu'un peu de patience. v.1006 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Orante est si blessée, et sa peine si vraie, v.1017 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Demain je la verrai, parle-lui de ma peine ; v.1021 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Et que mon seul respect avait rompu mes fers. v.1024 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Sinon, vos maux sont vains et vos voeux superflus : v.1031 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Et qu'on m'aurait permis de vivre en ses liens, v.1043 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- L'amour qu'elle eut pour vous vous la peignit si belle ; v.1057 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Le changement du sort peut changer ses esprits, v.1059 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Traître, qu'espères-tu que de perdre tes pas, v.1071 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Qui perd sa liberté, rend son honneur suspect, v.1099 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Et pour suivre un ingrat dépouille tout respect. v.1100 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Punis, belle Diane, un barbare, un perfide, v.1101 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- J'appelle trahison cette seule impuissance, v.1105 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Que toujours ton objet fut cher à ma pensée, v.1109 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Que nous pussions tromper une aveugle avarice, v.1114 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Si l'or peut à nos voeux accorder ses désirs, v.1119 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Que je suis glorieux alors que je la perds, v.1131 (Acte 4, scène 10, LYSIMANT)
- Moi, j'entre chez Orante, et dans fort peu de temps v.1135 (Acte 4, scène 10, DIANE)
- Où te peux-tu cacher avec tant de lumière, v.1141 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Tu me plaindrais peut-être en l'état où je suis. v.1144 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Abondant en troupeaux et riche en pâturage, v.1146 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Témoigne peu de soin de mon contentement ! v.1164 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Avecque si peu de beauté. v.1170 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Où Diane paraît, rien ne me peut ravir : v.1171 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Qu'on ne peut estimer que par civilité, v.1195 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Et qui pouvait si peu sur votre liberté ? v.1196 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Avec un repentir plus cruel que la mort. v.1200 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Déniez-vous ma peine à ma confession ? v.1207 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Quelle peine mérite une juste action ? v.1208 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Mais que peut épargner un esprit furieux v.1232 (Acte 5, scène 3, ARISTE)
- Un respect nécessaire aurait pu vous contraindre v.1241 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Votre discrétion dépendait de ma crainte ; v.1245 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Je devais témoigner d'être un peu moins atteinte : v.1246 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- On souffre avec respect une sévère loi, v.1247 (Acte 5, scène 3, ORANTE)
- Diane peut beaucoup, tout cède à son adresse, v.1253 (Acte 5, scène 4, DOROTHÉE)
- Elle s'est déguisée avecque tant de peine v.1257 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- De cette heureuse nuit toutes ses nuits dépendent ; v.1265 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Seule tu la peux mettre où ses désirs prétendent, v.1266 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Tout mon contentement dépend de ses délices ; v.1269 (Acte 5, scène 4, DOROTH?E)
- Je ne demande pas le loyer de mes peines ; v.1278 (Acte 5, scène 5, DOROTHÉE)
- Maintenant je m'occupe à de lâches travaux, v.1291 (Acte 5, scène 5, SYLVIAN)
- Mais voici Lysimant, ne perdons point de temps. v.1296 (Acte 5, scène 5, DOROTHÉE)
- Voyons-le toutefois, donnez-vous cette peine, v.1302 (Acte 5, scène 6, DOROTHÉE)
- Et vous peut-il payer de raison qui vous plaise ? v.1310 (Acte 5, scène 7, DIANE)
- Et qui perdra le jour aussitôt que l'envie v.1321 (Acte 5, scène 7, DIANE)
- Car chacun participe à ses félicités ; v.1336 (Acte 5, scène 7, DOROTHÉE)
- En la peine où je suis, qui de vous dois-je prendre ? v.1361 (Acte 5, scène 8, ORIMAND)
- Qui confirme mon nom et ma persévérance ; v.1378 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Nie un peu de faveur à tant d'affection. v.1388 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Flattait d'un doux espoir mes peines infinies ; v.1394 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Que jamais vos travaux peuvent avoir acquis. v.1404 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Adieu. Mais quel tumulte aperçois-je en ces lieux ? v.1406 (Acte 5, scène 9, ARISTE)
- Un coup me peut tirer de ces mains insolentes v.1411 (Acte 5, scène 9, DIANE)
- Qui révèrent si peu mes ardeurs violentes. v.1412 (Acte 5, scène 9, DIANE)
- Ces habits sont suspects en sa condition, v.1429 (Acte 5, scène 10, ORIMAND)
- Ne se peut découvrir qu'aux yeux de la justice. v.1432 (Acte 5, scène 10, ORIMAND)
- Qu'à peine marchait-il qu'on parlait de son nom. v.1462 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Me laissant cette fille et quelque récompense ; v.1468 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Il pense profiter de ce déguisement ! v.1474 (Acte 5, scène 10, ORIMAND)
- Ma mère m'appelant : Lysandre, me dit-elle, v.1480 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Et venez remarquer ces signes superflus. v.1494 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Un autre ne peut plus disposer de ma foi. v.1514 (Acte 5, scène 10, ORANTE)
- Puisque tout est contraire à ta persévérance, v.1547 (Acte 5, scène 10, SYLVIAN)
- La perte que tu fais de ses rares appas. v.1550 (Acte 5, scène 10, SYLVIAN)
AGESILAN de COLCHOS (1637)
- Et l'avantage égal ; prenons un peu d'haleine ; v.2 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Qu'elle achève ma perte, et me prive du jour ; v.16 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Qui sous un si beau joug ne peut être asservie, v.18 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Peut prescrire au vaincu, quoi qu'il ait résolu, v.24 (Acte 1, scène 1, FLORISEL)
- Dis-lui que son courroux peut agir librement, v.31 (Acte 1, scène 1, FLORISEL)
- Qu'il voulut s'éloigner de la troupe mortelle, v.47 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Meurs donc, puisque le Ciel a résolu ta perte, v.69 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Tout ce que peut offrir le pouvoir d'un mortel ; v.72 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Et privé de son corps, meurs dessus sa peinture ; v.74 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Mes yeux perdent le jour, je tombe, je suis mort. v.76 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- J'en présume un peu moins. v.86 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Peut-être davantage, v.86 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Tu nous peins savamment. v.101 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Aux objets que je peins j'égale la peinture ; v.102 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Je dis ce que je pense, et suis fâché pour vous v.103 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Fait voir qu'il n'est pas mort, et qu'un peu de secours v.111 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Peut-être de sa vie allongera le cours ; v.112 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Et ses moindres baisers peuvent rendre la vie. v.123 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Si vous fuyez le jour, quel objet vous peut plaire ? v.135 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Toutes les privautés que l'on peut commencer, v.170 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Tout ce peut permettre une ardeur infinie, v.172 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Et perd ce qu'elle a pris alors qu'elle se donne, v.177 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Souvent de la rigueur dépend la sûreté, v.178 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Rien ne la peut résoudre, et sa juste fureur v.190 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Et d'elle, ce portrait vous peut entretenir, v.199 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Tous les efforts du Ciel sont moins que sa peinture, v.205 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Et de qui le Soleil à peine obtient la vue, v.213 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Elle en fait disperser un nombre de portraits, v.218 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Et cherche en Florisel le secours de sa peine : v.221 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Qui blesse vos regards et peut à tout propos, v.238 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Ce portrait en qui l'art ne se peut trop louer, v.242 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Vous prenez un serpent, un poison, une peste, v.245 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Quel dieu peut justement lui refuser l'honneur, v.266 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Il t'est permis un jour de répandre des larmes. v.269 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Heureux qui peut l'aimer, et plus heureux encor, v.270 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Peux-tu voir ces beautés, et paraître insensible, v.273 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Montre en cette action un peu de jugement, v.275 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Chacun ferait pour soi, chacun ressent sa peine, v.281 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Peut à des yeux mortels rendre un Ange visible, v.289 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Quel utile conseil peut inspirer l'amour, v.290 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Pour tromper ce jaloux, et forcer une tour, v.291 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Si tu peux m'assister d'un avis salutaire, v.292 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Allez servir Diane, et tromper Sydonie, v.297 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Et quels yeux si subtils ne tromperez-vous pas, v.299 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- À peine seulement vous pourrais-je connaître. v.301 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Et dût-elle coûter la perte de la tête. v.321 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Quelque dupe aux dépens de son honnêteté v.330 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- De l'hommage honteux de ses troupes captives ; v.361 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- La Reine peut dompter l'ennui qu'elle ressent v.362 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Pour un seul qu'elle perd elle en rencontre cent. v.363 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Je ne puis toutefois voir sans beaucoup de peine v.364 (Acte 2, scène 1, ARLANDES)
- Et de tant d'ennemis, l'un à peine est à bas, v.370 (Acte 2, scène 1, ARLANDES)
- Enfant malicieux, petit bourreau des âmes ; v.377 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Peste de mon repos, et pour tout dire amour : v.379 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu blesses lâchement, tu frappes sans paraître, v.385 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Je crois qu'il ne peut pas en éviter la perte. v.405 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- On dit qu'il est vaillant, mais votre seul aspect v.406 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Impose aux plus hardis, la crainte, et le respect. v.407 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Elle a trop peu d'attraits, et j'estime insensé, v.429 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Qui veut d'un si bas prix être récompensé. v.430 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Ô mépris criminel, juge par sa peinture. v.435 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Serait-ce Florisel, qui me le peut apprendre : v.471 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tyran des libertés, amour, peste des âmes v.479 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Et je tremble à l'aspect du glorieux séjour, v.489 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- En ces cruels assauts que le respect me livre, v.491 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- C'est agir (ce me semble) un peu légèrement ; v.494 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Qui s'offre, c'est à charge, et l'on l'estime peu. v.498 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Quel salutaire avis me peux-tu donc prescrire ? v.499 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- Pourra peut-être ouïr les aimables accents v.505 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Peuvent si vous voulez charmer toute la terre ; v.508 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Peut-être de Diane attirera l'oreille ; v.512 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Et peut-être ses yeux, en qui vos doux attraits, v.513 (Acte 2, scène 3, DARINEL)
- Qu'on peint ceux de celle que j'aime, v.524 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- L'ouvrier qui la peignit, n'en fit de fausses traces, v.553 (Acte 2, scène 4, DARINEL)
- Ô dieux ! qu'à cet aspect, v.555 (Acte 2, scène 4, DARAIDE)
- J'éprouve ce que peut la crainte, et le respect ! v.556 (Acte 2, scène 4, DARAIDE)
- Peut mériter l'honneur qui m'arrive en ce lieu, v.564 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Que peut-on posséder dont on put être avare. v.566 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Mais peut-on souhaiter cette faveur insigne, v.573 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Chaque moment vous peint plus charmante à mes yeux, v.579 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- J'ai forcé tout respect de parents, et d'amis, v.595 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Avecque peu d'espoir, mais un désir extrême v.597 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Le pouvoir de montrer un peu de jugement v.607 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- Votre peur n'est pas tant que je ne la reçoive, v.609 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- L'aveu que je désire, avec fort peu de peine. v.614 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- Et que me revient-il de ce qu'il a perdu ? v.648 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Un oubli fut son crime, une mort est sa peine : v.653 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Détournez de mes yeux ce funeste spectacle, v.657 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Elle peut être fausse, et ta plainte être vaine, v.662 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Attendez Ardenie, hélas, en cette peine, v.673 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Il profite du mal, sa peine accroît sa gloire, v.685 (Acte 2, scène 8, BRUNEO)
- Mon honneur dépend de sa mort, v.701 (Acte 2, scène 8, SYDONIE)
- Et ma mort dépend de la sienne, v.702 (Acte 2, scène 8, SYDONIE)
- Entrons, n'y pensons plus, et quoi qu'il en advienne, v.703 (Acte 2, scène 8, SYDONIE)
- Peut disputer du prix avec celle des Cieux, v.708 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Elle peut mépriser ce divertissement, v.712 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Elle est seule en la tour, et je suis peu sensée, v.713 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Ou quelque inquiétude occupe sa pensée. v.714 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Qui la peut traverser ? v.715 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Semblaient muettement exprimer ses pensées : v.722 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Que savons-nous, c'est peut-être vous-même, v.726 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Qu'elle ne peut trouver que dans son sexe même ; v.734 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Tu le peux ma cousine avec fort peu de peine ; v.746 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Que je te vois déjà, d'un oeil un peu jaloux : v.768 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et qui vous peut aimer, sans vous être fidèle. v.773 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Où vas-tu cependant ? v.779 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- À peine seulement saurait-on vous toucher, v.791 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Ces divers mouvements de respect, et de flamme, v.794 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Me peut-elle souffrir, je suis indigne d'elle : v.798 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Je perds en la voyant par un secret effort, v.807 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Ne me peut opposer qu'une défense vaine. v.818 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Mais prenez s'il se peut, puisque vous êtes pris : v.820 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- J'ai de l'amour pour elle, et du respect pour vous. v.824 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Mon amour entreprend, et mon respect s'offense, v.838 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Et laisse à mon désir forcer un peu ma crainte. v.842 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Plus belle occasion ne vous peut être offerte, v.853 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Les honteux perdent tout. v.854 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Tu causeras ma perte ; v.854 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- À mes travaux passés est trop de récompense ? v.858 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- De peur de l'éveiller retiennent leurs soupirs, v.864 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- D'un peu d'huile brûlant lui fait une blessure, v.866 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Vos devoirs, vos respects, votre civilité, v.871 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- À peine de vos yeux puis-je avoir une oeillade, v.873 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Mon esprit, Daraide, en est un peu malade, v.874 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- On ne le peut nier belle, et sage, Ardenie, v.881 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Mais en dussiez-vous prendre un peu de jalousie : v.885 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Je vous rendrai Justice à mes propres dépends : v.900 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Qu'ils dérobent des voeux à la troupe immortelle, v.918 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Il nuit de savoir trop, l'éloquence est suspecte, v.925 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Je suis juste, et de plus vous respecte : v.926 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Encore un, ma peine est beaucoup soulagée. v.955 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Qu'il sert d'importuner, et d'être un peu jaloux ! v.957 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Donc pour prix de moi-même, un ingrat, un perfide, v.960 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Tire de mes desseins moins de peur que d'orgueil, v.965 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Devant perdre le jour, ou paraître à tes yeux, v.976 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Voilà de cet ingrat la superbe pensée, v.978 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- C'est mériter mon mal que de craindre sa peine, v.986 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Elle est avare encor à ses perfections : v.1017 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Si mon sexe est suspect, mon honneur se hasarde, v.1039 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Et s'il est au besoin permis de se vanter, v.1040 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Ne croyez point par moi perdre un illustre rang, v.1048 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Je crains un ennemi qui frappe droit au cour. v.1060 (Acte 3, scène 6, ANAXARTE)
- Je le ferai peut-être, où s'emploieront mes armes. v.1063 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Vous observez pour vous, ces regrets superflus, v.1073 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Mon sexe à votre peur est une excuse heureuse, v.1074 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Et pour mettre la peur au sein des plus vaillants, v.1077 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- La victoire à la fin penche de son côté. v.1092 (Acte 3, scène 6, ARDENIE)
- Que ne peut faire oser une beauté divine ? v.1111 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- De ce qu'à peine un Dieu pourrait exécuter. v.1113 (Acte 3, scène 6, DARAIDE)
- Mais écoutez comment : à peine du Soleil, v.1136 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Ce jeune astre d'amour luit à peine à mes yeux, v.1152 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Si tu peux de ces lieux t'éloigner sans mourir, v.1157 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Jugez si cependant j'avais l'âme égarée ; v.1162 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- De ce que le hasard m'avait permis d'ouïr ; v.1165 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Mais l'ayant fait souffrir à mes propres dépens, v.1184 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Ces témoins de sa peine, et de votre beauté, v.1188 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Jugez par ma tristesse avec combien de peine, v.1190 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- J'attaquerais sans peur le monstre le plus fier, v.1196 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Qui m'a pu jusqu'ici mettre la peur au sein. v.1201 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Appelle si tu veux ces ardeurs insensées, v.1210 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Mais tu fais tous mes soins, et toutes mes pensées, v.1211 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Ma peine est incroyable, et j'éprouve en ce jour v.1212 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tu ne peux sans la mort de mon père, ou de toi, v.1220 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et peut-être la sienne accomplir cette loi. v.1221 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tue, ou perde le jour, meure, ou soit homicide, v.1227 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Ne lui peut-elle pas remettre toute chose ? v.1239 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Il ne me peut changer, ne me déguise rien. v.1241 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Si j'avais pour vous perdre employé du poison : v.1249 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Sans même t'obliger au moindre repentir. v.1253 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Je t'aimerais encor, et perdant la lumière, v.1258 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Non, non, que craignez-vous, ce coup ne peut paraître, v.1278 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Et moi, vivant encor, elle peut ne plus être : v.1279 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Cessez, rare beauté ces efforts superflus, v.1280 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Ne peut être égalée, et toute autre surpasse, v.1287 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Excuse, ni raison, ne me peut satisfaire, v.1290 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- D'une sombre couleur son visage se peint : v.1305 (Acte 4, scène 2, ARDENIE)
- A semblé la traiter d'un peu d'indifférence, v.1311 (Acte 4, scène 3, ARDENIE)
- D'où lui peut procéder ce refroidissement ? v.1316 (Acte 4, scène 3, SYDONIE)
- Que peut vous profiter le jour que je respire, v.1322 (Acte 4, scène 3, DARAIDE)
- Ne m'obligerait pas à craindre votre perte ; v.1327 (Acte 4, scène 3, SYDONIE)
- Peut-on quitter Diane avecques moins de peine ? v.1331 (Acte 4, scène 3, DARAIDE)
- Que mon cour, je l'avoue, en est un peu jaloux, v.1341 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Elle peut faire choix d'Ardenie, ou de moi, v.1344 (Acte 4, scène 4, DIANE)
- Te fasse pour mon bien rencontrer ce perfide : v.1363 (Acte 4, scène 4, SYDONIE)
- Dépend ou de la mort, ou de toi seulement. v.1365 (Acte 4, scène 4, SYDONIE)
- Cependant qu'à l'abri des myrtes Élysées, v.1387 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Et vous qui me serviez, ô troupe infortunée, v.1390 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Vous faire peu de temps attendre sur ses bords ; v.1393 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Quelle rencontre enfin me tirera de peine v.1394 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- A voir ces grandes tours dont le superbe front v.1404 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Et ne peut de ce lieu faire la différence : v.1411 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Je reconnais ces lieux, et ces superbes tours, v.1416 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- A peine je me trouve assuré de moi-même : v.1431 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Nous peint ici des vents l'insolence, et la rage ; v.1435 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- Et pour ma propre perte, ou pour son allégeance, v.1447 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- J'en suis échappé seul, et peut-être mon sort, v.1456 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Qu'à peine je pourrai partir de ce rivage ; v.1471 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Je te dois satisfaire, et ta perte m'est dure, v.1479 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Mais qu'il m'est dur aussi de perdre Florisel, v.1480 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Ma rage, mon mépris, ma fureur, et ma peine v.1486 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Fut moindre que celui qui procure sa perte, v.1495 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- De savoir l'abuser, dépend l'art de lui plaire, v.1518 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Que je vois le bras meurtrier de ce perfide, v.1531 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Mais bouillante qu'elle est abat ce qu'elle peut, v.1557 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Allons perdre la vie aux pieds de mon vainqueur v.1560 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Qu'une seconde fois, il me perce le coeur, v.1561 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Il faut tromper Diane, accorde-moi ce point : v.1581 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Pernicieux remède, homicide allégeance ? v.1599 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Quoi le Ciel ne peut faire à cet ingrat amant v.1624 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Il faut pour l'arrêter que ce perfide meurt, v.1626 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tout perfide qu'il est, insensible, intraitable, v.1633 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Je voudrais le frapper, et voudrais le baiser, v.1648 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Ô mouvements divers, peur, désir, amour, haine, v.1649 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Que tous également vous me causez de peine, v.1650 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Étant bien amoureux, peut-on être inhumain, v.1651 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Et perdre ce cruel, pour ne le perdre pas ; v.1664 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Il est cruel, ingrat, perfide suborneur, v.1667 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Peut-être que ses yeux, ces vainqueurs si barbares v.1677 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Prouvons tout ce que peut, une amour dans l'extrême, v.1681 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Et recouvrons l'honneur en nous perdons nous-même, v.1682 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Aussi si peu que mes yeux le chemin de ton cour, v.1712 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Souffre ce que tu fais, permets ce que tu veux, v.1720 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tes charmes ont leur prix, mes défauts ont leur peine, v.1725 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Mais puisque ta pitié ne me peut secourir, v.1727 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Ton cour, contre leurs coups, ne peut plus se défendre ; v.1734 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Tu ne lui peux nier un amour mutuel : v.1736 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Et si mon repentir est encor de saison. v.1740 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Ô frivole discours, dont tu flattes ma peine ? v.1741 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Que tu peux m'abuser d'une espérance vaine, v.1742 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Que j'ai de peine encor, à croire que je veille. v.1766 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Ô frivoles discours, ô conseils superflus, v.1767 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Elle peut soulager les pires infortunes. v.1773 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Et si temps, ni raison, ne vous peut secourir ? v.1784 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Ne pourrait pas souffrir, ce spectacle funeste ; v.1794 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Est-ce moi qui les blesse ; et suspend leur pouvoir, v.1799 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Tout fait précipiter pour y perdre le jour. v.1804 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- M'a fait souffrir de morts, pour la peur d'une mort. v.1812 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Cessons enfin, cessons, ces propos superflus, v.1816 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Me joindre à Sydonie est la peine d'un crime ! v.1826 (Acte 5, scène 6, FLORISEL)
- Puisqu'en si peu de temps, tout succède à propos, v.1839 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- Que peut-elle pour vous ? quelle est votre prière, v.1842 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Et que servent les biens, dont on ne peut user. v.1844 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Mon respect cède enfin à l'ardeur qui me presse, v.1861 (Acte 5, scène 6, DARAIDE)
- L'édit est consommé, nos soins sont superflus v.1893 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
- Ce bras propice aux bons, et fatal aux superbes, v.1895 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
- Les bruits, dans peu de jours, s'en répandront ici. v.1909 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
LES CAPTIFS (1640)
- Otez un peu de temps à votre rêverie, v.9 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Hélas ! Combien la mienne a de peine à s'ouvrir, v.27 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Les yeux ne peuvent rien où l'esprit est le maître, v.37 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Se peut dire un plaisir où manque l'allégresse, v.42 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Un penser qu'on nourrit, et qui donne la mort. v.44 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Un principe de vie, et sa fin tout ensemble, v.49 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Une charge à la fois et pesante et légère, v.54 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Ô perfide Célie, à qui je l'ai commise ! v.82 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- D'un si perfide tour Célie est incapable, v.85 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Où la main peint si bien le tourment de l'esprit. v.88 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Comment peut une amour être longtemps secrète, v.89 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Et qu'en si peu de temps, une fille si sage, v.97 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Sans blesser notre honneur, il ne peut l'assaillir, v.111 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Encor vous permettrais-je, une ardeur légitime, v.113 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Puisqu'à peine il entrait en sa quatrième année v.129 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Et la perte de l'un dispense au choix d'un autre, v.138 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Le temps qui nous l'ôta nous le peut rendre un jour, v.139 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Le soin que j'en ai pris lui sauve cette peine, v.145 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Mais tous deux ont permis l'ardeur que j'ai conçue v.157 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Ce spectre dont toujours l'indigence est suivie v.163 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Je t'étais bien léger, tu m'es pesante et forte : v.176 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Puisque le seul, chez qui l'abord m'était permis, v.193 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Allons tenter fortune, il sort je l'aperçois, v.209 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- À quoi pense Ergazile, et d'où naît sa tristesse ? v.235 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Et comme ailleurs aussi je prends fort peu de chose, v.247 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Et la peine où je suis surpasser ton ennui, v.269 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Mais bannis ta tristesse et ne perds pas courage, v.287 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Où soupes-tu, chez toi ? v.299 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Car je ne soupe point si on ne m'en convie, v.300 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Je crois que mon ennui me le pourra permettre, v.307 (Acte 1, scène 3, ERGAZILE)
- Et permets cependant que j'entre chez mon frère, v.312 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Est l'heur le plus parfait dont un Roi peut jouir. v.326 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Nous passons de fort peu l'innocence des hommes. v.332 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Sache qu'il est des biens dont le vol est permis, v.337 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Refuse le présent, mais ne hait pas la perte : v.340 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Sent un peu la pratique, et son expérience, v.344 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Peut ainsi qu'au plus fol arriver au plus sage, v.356 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Ne désespérons rien de chose qui peut être, v.375 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Tout peut avec le temps arriver à son point. v.377 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Qu'un baiser cependant, v.378 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Appelle ce transport ou raison ou folie, v.388 (Acte 2, scène 3, PHILÉNIE)
- Qui malgré moi résiste à ses persécuteurs, v.401 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Et que j'apprends qu'on peut posséder en ces lieux v.413 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Mais ô félicité que j'ai si tôt perdue ! v.423 (Acte 2, scène 3, PHIL?NIE)
- Et je crois que pour peu que je vous entendrais, v.429 (Acte 2, scène 3, CÉLIE)
- En ayant dit les biens, confessons-en les peines : v.432 (Acte 2, scène 3, C?LIE)
- Vous savez comme moi la persécution, v.433 (Acte 2, scène 3, C?LIE)
- Qui feront s'il se peut par force ou par raison, v.437 (Acte 2, scène 3, C?LIE)
- Mon coeur, quoi qu'il en soit, me trompe rarement, v.449 (Acte 2, scène 3, PHILÉNIE)
- Leur main vous a touchés respectez-en les coups, v.453 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- Par ces sanglots témoins de votre peine, v.459 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- Votre fidélité dépend de cette honte, v.467 (Acte 2, scène 4, PSEUDOLE)
- Garde qu'à mes dépens elle te soit ingrate, v.483 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Je sais mon personnage. v.490 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- C'est d'elle seule aussi que dépend mon remède. v.495 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Mais bientôt, d'un plaisir la mémoire se perd, v.498 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Je doute si jamais j'ai respecté mon père, v.499 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Par la commune peine, et le commun servage v.511 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Ne mêle de respect ni de civilité, v.513 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- C'est d'où dépend le bien que le ciel me prépare. v.515 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Elle n'en peut avoir qui passent ton mérite, v.532 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Qui de peur de jeûner, son manger se dénie, v.575 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Vous vous tromperez seul si vous dissimulez, v.578 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Mais il dépend de vous, qui tenez aujourd'hui, v.585 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- S'il le veut maintenant, il le peut de l'effet, v.590 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Mais par l'heur que le Ciel peut rendre à vos vieux ans v.609 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Nos gains sont quelquefois instruments de nos pertes, v.620 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Enfin tous s'il se peut tirons-nous de souci, v.625 (Acte 2, scène 7, HAEG?E)
- Mais savez-vous de qui dépend sa liberté ? v.630 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Cet unique moyen peut accomplir vos voeux. v.650 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Quelqu'un des miens pourra lui sauver cette peine, v.651 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Tu gouvernes ma nef, tu la peux rendre au port, v.665 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Et de toi seul dépend, mon bon ou mauvais sort : v.666 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Tu ne me peux manquer en cette extrémité, v.673 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Et d'écouter un peu ces mouvements secrets v.677 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Et je n'y puis penser que je n'en sois confus, v.689 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Quel maître peut aimer avecque plus de zèle, v.703 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Et quel esclave aussi peut être plus fidèle, v.704 (Acte 2, scène 7, HAEG?E)
- Afin de retarder le souper que j'attends, v.716 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Tous grands et tous petits, tous sujets et tous Rois, v.728 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Fait dépendre ses voeux de mon consentement, v.776 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Elle peut alléguer la perte de mon frère, v.778 (Acte 3, scène 2, OLYMPIE)
- L'un à peine arrivait à l'âge de trois ans, v.787 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Et le second à peine attendait son printemps : v.788 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Mais mon malheur a fait que les perdant tous deux, v.791 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Ainsi de tous côtés le sort me persécute, v.793 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Tu me peux soutenir avecque ta vertu : v.808 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Va, remets s'il se peut cet esprit au devoir, v.811 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Ma dépense et mes soins font que dans peu j'espère v.813 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Parmi mes autres serfs, j'en trouverai peut-être v.817 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Et ce superbe Dieu croirait s'être fait tort v.831 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- La pensée est fort belle. v.853 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Ne peut ni me servir ni me fournir d'excuse, v.866 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Quel respect vous retient ? vous ne l'abordez pas. v.868 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Ne vous étonnez pas qu'il m'appelle Tyndare, v.906 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Quel respect me retient que des poings et des dents, v.911 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Peux-tu ma patience aller jusqu'à ce point, v.964 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Quel monstre, quel serpent, a conçu ce prodige, v.965 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Qu'il forge à tes dépens cette vaine folie : v.973 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Dépeins-moi Philocrate. v.1001 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Châtain, de basse taille, un peu haut en couleur, v.1002 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- De vingt ans à peu près. v.1003 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Ô triste expérience apprise à mes dépens, v.1006 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Ô vieillesse inexperte, ô bonté ridicule. v.1009 (Acte 3, scène 4, HAEG?E)
- Oui faites qu'à mon crime on égale mes peines. v.1016 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Vous les pouvez couper puisqu'elles sont à vous, v.1023 (Acte 3, scène 5, TYNDARE)
- Peuvent m'être des maux, mais non des châtiments. v.1031 (Acte 3, scène 5, TYNDARE)
- Appelle si tu veux cette mort une vie, v.1033 (Acte 3, scène 5, HAEGÉE)
- Mais hélas quel profit te naîtra de sa perte. v.1045 (Acte 3, scène 5, CRISIMANT)
- Je saurai bien pourvoir à ne le perdre pas, v.1046 (Acte 3, scène 5, HAEGÉE)
- La perte qu'il me cause, et l'amour qu'il excite, v.1056 (Acte 3, scène 5, HAEG?E)
- Qu'on peut à ses dépens croire ses passions, v.1070 (Acte 3, scène 5, TYNDARE)
- Dieux je ressens sa peine et son malheur m'afflige. v.1076 (Acte 3, scène 5, PSEUDOLE)
- Traînez, tirez, frappez ; servez si bien ma haine, v.1080 (Acte 3, scène 6, HAEGÉE)
- Que mes autres Captifs profitent de sa peine, v.1081 (Acte 3, scène 6, HAEG?E)
- À d'autres désormais leurs conseils superflus, v.1082 (Acte 3, scène 6, HAEG?E)
- Et que la perte encor y soit jointe au mépris, v.1086 (Acte 3, scène 6, HAEG?E)
- On n'en a point pour moi, je n'en ai pour personne. v.1089 (Acte 3, scène 6, HAEG?E)
- Je ne souperai point, pardonne à ma tristesse, v.1093 (Acte 3, scène 7, HAEGÉE)
- Comme je vais souper, ainsi ton fils revienne, v.1101 (Acte 3, scène 8, ERGAZILE)
- Peut-être qu'en marchant nous la pourrons trouver, v.1110 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Ne pouvant trop bien faire on ne peut trop rêver. v.1111 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Bon, ce terme, ce semble est né pour la pensée, v.1116 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Il faut que mon amour corrompe mon devoir, v.1169 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Tout petit Dieu qu'il est il fait de grandes choses ; v.1179 (Acte 4, scène 3, PSEUDOLE)
- Il dispense à son gré la joie et le souci, v.1180 (Acte 4, scène 3, PSEUDOLE)
- Comme il forge des fers il en peut rompre aussi ; v.1181 (Acte 4, scène 3, PSEUDOLE)
- Par ma confusion lui prouvera ma peine. v.1195 (Acte 4, scène 4, PHILÉNIE)
- Qui vit pour votre peine, et qui naquit coupable v.1206 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Le temps de mon berceau n'en fut pas dispensé, v.1209 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Il est de votre honneur que je perde le jour, v.1220 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Pour ne permettre pas qu'il te fût reproché. v.1225 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Qu'il nous fallait tromper par une même adresse, v.1246 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- C'est un Tyran qui règne, et qu'on ne peut chasser, v.1257 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Un pouvoir qui s'étend, et qu'on ne peut restreindre, v.1258 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Un brasier qui dévore, et qu'on ne peut éteindre. v.1259 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Qui sans égard de rang, ni respect de fortune v.1266 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Loin d'appeler ta faute, orgueil, ni trahison, v.1292 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Je prends part en ta peine, et je plains ta prison ; v.1293 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Ma vie est superflue en ce mortel séjour, v.1304 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Mais je perdrai la vie en te perdant, Adieu. v.1325 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Mon heur ne dépend plus de la pitié d'autrui, v.1336 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Perdre ce que [je] hais, et sauver ce que j'aime, v.1339 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Et que récompensant mon ventre avec usure, v.1342 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Autant, et plus de biens qu'il n'en peut souhaiter ; v.1345 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Pour lui laisser d'abord un peu d'inquiétude. v.1347 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- De soupçonner si peu ces perfides esprits, v.1352 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- On montre au doigt la dupe, et la fourbe est prisée : v.1355 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- À qui de si vieux ans ont acquis si peu d'art, v.1357 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Tôt donc, que par respect chacun rentre chez soi, v.1376 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Et si je frappe un coup, la brise comme verre. v.1407 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Épargne mes discours, et lis dans ma pensée, v.1426 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Mon bonheur dépend donc d'un Dieu bien affamé, v.1453 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Respecte malheureux les sentiments d'un père v.1463 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Puisqu'il perd en son fils le plus cher de ses biens. v.1465 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Non, quel esclave, dis, ne me tiens point en peine. v.1471 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Tu les peux faire au port, témoins de ces nouvelles. v.1479 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Prends le soin du souper, donne ordre à la cuisine, v.1483 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Tranches-y, coupe, taille, ordonne absolument, v.1484 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Et quand j'eusse avec vous fait perte d'un Empire, v.1508 (Acte 5, scène 1, CRISOPHORE)
- Qui fait plaisir aux bons a double récompense, v.1524 (Acte 5, scène 1, PHILOCRATE)
- S'il peut absolument de vos voeux disposer, v.1530 (Acte 5, scène 1, CRISOPHORE)
- Que ne dois-je au trompeur dont la fourbe est si belle, v.1536 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Une peine trop dure, v.1544 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Rare fidélité voilà ta récompense. v.1549 (Acte 5, scène 1, PHILOCRATE)
- Toute la ville a droit de punir ce perfide, v.1568 (Acte 5, scène 2, ÉRIMAND)
- N'avoir trahi que vous, lui semblait peu de mal, v.1570 (Acte 5, scène 2, ?RIMAND)
- Dans l'air, et sur la mer peut chercher de la foi. v.1579 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- Tu la peux amoindrir par ta confession, v.1591 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- À qui vendu, voleur, serf ingrat, et perfide. v.1596 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Je crois qu'on peut depuis avoir compté vingt ans ; v.1607 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- À la suite d'un fils à peu près de même âge. v.1609 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- Il s'appelait Crisale, on le nomma Tyndare. v.1612 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- N'exigeons point de signes superflus. v.1618 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- J'avais bien autrefois vu l'horrible peinture, v.1632 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- Dépeint avec l'horreur, des Enfers d'où je sors ; v.1635 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- Que ma peine vous serve, et vous tire d'ennui. v.1647 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- Oui, puisque je reviens pour te tirer de peine, v.1648 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- A comme il la causa ta peine terminée ; v.1653 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Consulte un peu ton sang, ne te le dit-il pas ? v.1659 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Met toujours les plaisirs à la suite des peines ; v.1673 (Acte 5, scène 4, ÉRIMAND)
- Ainsi peut la fortune avec les mêmes bras v.1674 (Acte 5, scène 4, ?RIMAND)
- Il m'en restait pourtant si peu de connaissance, v.1680 (Acte 5, scène 4, TYNDARE)
- Cependant que le Ciel incline à nos désirs, v.1682 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Si le peu que je vaux égalait mon courage, v.1700 (Acte 5, scène 4, PHILOCRATE)
- Vous perdîtes deux fils, vous en recouvrez trois. v.1707 (Acte 5, scène 4, PHILOCRATE)
- Mais mon fils, cachez-vous, j'aperçois Philénie, v.1712 (Acte 5, scène 5, HAEGÉE)
- Participez, ma fille, à la joie infinie,À Phi- v.1713 (Acte 5, scène 5, HAEG?E)
- Et ce joug que j'appelle un enfer aujourd'hui, v.1742 (Acte 5, scène 5, PHILÉNIE)
- Il peut sur d'autres coeurs et dessus d'autres âmes v.1748 (Acte 5, scène 5, PHIL?NIE)
- En même occasion vous prendriez même peine. v.1764 (Acte 5, scène 5, OLYMPIE)
- Que vous sert de tenter des efforts superflus. v.1766 (Acte 5, scène 5, PHILÉNIE)
- À l'amitié qui nuit, et qui fait tant de peine, v.1769 (Acte 5, scène 5, PHILÉNIE)
- C'est trop vous consumer en désirs superflus, v.1778 (Acte 5, scène 5, HAEGÉE)
- Ce corps ne lui plaît-il que dans l'excès des peines, v.1788 (Acte 5, scène 6, TYNDARE)
- Ne peut-elle durer avec ma liberté. v.1791 (Acte 5, scène 6, TYNDARE)
- Quoi ? je perds une Amante en recouvrant un père, v.1792 (Acte 5, scène 6, TYNDARE)
- Et c'est trop peu donner de me donner moi-même. v.1809 (Acte 5, scène 6, PHILOCRATE)
- Il n'est tonneau chez vous qu'Ergazile ne perce, v.1820 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)
- Si je taille, abats, coupe, et tranche absolument, v.1830 (Acte 5, scène 8, ERGAZILE)
- Et toi, leur Empereur, rentre dans ta Province ; v.1837 (Acte 5, scène 8, HAEGÉE)
- Du souper qu'il nous faut t'acquitte dignement ; v.1839 (Acte 5, scène 8, HAEG?E)
LA SOEUR (1636)
- Et qu'avec tant de peine il te faut arracher, v.12 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- La peux-tu négliger sans trop d'ingratitude ? v.30 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- J'en avais bien prévu ce triste repentir, v.43 (Acte 1, scène 1, ERGASTE)
- Pendant à mes genoux, les yeux baignés de pleurs, v.52 (Acte 1, scène 1, ERGASTE)
- J'en concevrais enfin des regrets superflus v.55 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- De perdre la lumière ou conserver mes voeux v.59 (Acte 1, scène 1, L?LIE)
- Et perdre tout repos pour leur en procurer. v.76 (Acte 1, scène 1, ERGASTE)
- Ne serait pas sensible à ta peine incroyable ? v.78 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Un fruit de ma ruine est qu'il ne peut l'accroître. v.106 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Frappe, accable, poursuis, je ne suis plus sensible. v.110 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Qui vous rendent suspect... v.120 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- L'inconstance peut bien être un de ses ouvrages, v.130 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- A pu me soupçonner de cette perfidie ? v.134 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Je vais la détromper. v.136 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Mais perdant la clarté, j'emporterai la gloire... v.137 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Cette peur était plus mon soupçon que le sien ; v.139 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Cruelle, tu saurais si pour causer ma peine v.149 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Celle du bras la tirera de peine ; v.158 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Ne servent qu'à tromper la bonne foi d'autrui. v.168 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- Et, trahi de chacun, n'épargnerai personne. v.170 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
- Et mon meilleur ami me trompe et m'assassine. v.182 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- Et tel ami ne peut être assez détesté. v.184 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Sans vous en mettre en peine, apprenez-moi son nom, v.187 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Quoique infiniment traître, il ne me peut trahir ; v.191 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- J'ai part en votre peine, et plains le trouble extrême v.197 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Dites-moi donc mon crime et me tirez de peine. v.201 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Témoin, juge et bourreau de votre perfidie, v.205 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- Mais sans avoir donné, du penser seulement, v.211 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Mais le pilote à peine eut laissé choir les voiles, v.237 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Et comme, après des soins si longs et superflus, v.243 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- M'excita tant de peine et tant d'inquiétude, v.258 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Mais de peine si chère et si douce à souffrir, v.259 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- À l'heure du souper, la table fut couverte v.261 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Par des mains dont Amour avait juré ma perte, v.262 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Espérant perdre au lit ce tourment agréable ; v.270 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Je me hasarde enfin, et force le respect v.287 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Que de l'objet aimé nous imprime l'aspect ; v.288 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Que je ne puis prétendre autre fruit de mes peines v.294 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Et si, quoi qu'on propose, il peut souffrir sans peine v.321 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Et l'éclaircissement, qui dissipe ma crainte, v.325 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- J'ai fait mon personnage en cette comédie ; v.329 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- J'ai pendant ce récit eu le temps d'y rêver ; v.331 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Et le peu de rapport de Polydore à lui, v.340 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Vous peut-il pas unir de ces noeuds simulés ? v.356 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Un plus rare moyen ne se peut concevoir, v.359 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Par cet heureux avis, qui nous tire de peine, v.361 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Moi peut-être un gibet, si l'art est éventé. v.363 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Il sera bien adroit s'il nous peut échapper ; v.375 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Et, s'il ne court bien fort, je saurai l'attraper. v.376 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Quel nouveau déplaisir peut l'avoir altéré ? v.380 (Acte 2, scène 1, LÉLIE)
- Je perdis d'un seul trait que lança la furie, v.389 (Acte 2, scène 1, AURÉLIE)
- Le malheur de vous perdre et de ne vous plus voir v.407 (Acte 2, scène 1, LÉLIE)
- Je vous suivrai sans peine au bord des précipices ; v.413 (Acte 2, scène 1, AURÉLIE)
- Sitôt qu'on lève l'ancre, et qu'il faut perdre terre, v.417 (Acte 2, scène 1, ERGASTE)
- Ton intérêt n'est pas ce qui nous met en peine. v.421 (Acte 2, scène 1, LÉLIE)
- Qui sans perdre courage est constant jusqu'au bout, v.427 (Acte 2, scène 1, AURÉLIE)
- Le ciel nous peut aider si l'art nous est frivole ; v.429 (Acte 2, scène 1, LÉLIE)
- Que rachetant sa soeur, il acheta sa perte, v.438 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Ne s'aperçoivent pas que je m'en aperçois. v.464 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Là, chacun à gausser librement se dispense ; v.465 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Et, si je m'en souviens, on appelle en ces lieux v.467 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Se peuvent-ils chérir avec trop de douceur ? v.476 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Et, proches comme ils sont, peut-on sans injustice v.477 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Ils appellent tubalch cette ardeur fraternelle, v.485 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- S'il m'est enfin permis de ne te point mentir, v.487 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Et si d'une bonne oeuvre on se peut repentir, v.488 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Puisqu'en la recouvrant je perdis mon repos, v.491 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Me les rend plus suspects et m'en fait défier. v.500 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Un mariage enfin vous tirerait de peine, v.506 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Et que son seul respect lui fait cacher sa flamme. v.514 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Et que pensant l'accroître avec de la fumée, v.541 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Ne pardonne à personne et se prend jusqu'à vous : v.548 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Car toute femme enfin n'en peut faire qu'un sot ; v.572 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Rend pour le moins suspect l'honneur de sa famille ; v.574 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Pour l'autre, il peut ailleurs se pourvoir d'un beau-père v.586 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- J'ai du respect pour lui comme il en a pour moi ; v.587 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- L'âge vous en dispense, et lui n'est pas si traître, v.597 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Si peut-être il n'y va pour faucher ou pour paître. v.598 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- D'oubli, de perfidie et d'infidélité ; v.604 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Me le rend, en un mot, suspect de trahison. v.612 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Flattant trop un amant, une amante inexperte v.621 (Acte 2, scène 3, ?ROX?NE)
- Par ses soins superflus en hasarde la perte. v.622 (Acte 2, scène 3, ?ROX?NE)
- Où l'on permet d'aimer, non d'avouer qu'on aime, v.637 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Si votre oncle arrivant m'appelait par hasard... v.639 (Acte 2, scène 3, LYDIE)
- Tu seras chez l'orfèvre, ou bien chez l'empeseuse ; v.642 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Que je travaille à vous tirer de peine, v.650 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- Mais comme j'en ai peu, sa dot sera petite. v.677 (Acte 2, scène 5, ANSELME)
- Mais je pense veiller, et dors assurément. v.684 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Pour peu que sous sa cendre il reste de chaleur ; v.691 (Acte 2, scène 5, ANSELME)
- Et, lâches, nous prisons un bien si peu constant, v.699 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Dont la perte et le gain se fait en même instant ! v.700 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Ô noire perfidie ! ô siècle ! ô monde immonde ! v.711 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Qui se peut garantir des lacs que tu nous tends ? v.714 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Si peu nos serviteurs, et si longtemps nos maîtres, v.724 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Est travailler, dit-il, pour la tirer de peine ! v.732 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Et qui m'attrapera s'en pourra bien vanter. v.742 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Et de Géronte Anselme a perdu la mémoire ! v.755 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
- Vous l'appelez... v.780 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- En assez bon état peu devant mon départ, v.789 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Haïs, persécutés, souffrent plus qu'aux enfers. v.794 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Et je gagne en perdant bien plus que je ne perds, v.853 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Voici l'instant fatal d'où dépendait ma perte : v.867 (Acte 3, scène 3, AURÉLIE)
- De les rendre suspects, car ils vous peuvent nuire. v.888 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- S'ils vous peuvent blesser, c'est par la vérité. v.894 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- L'intérêt de tromper, de fourber, de bien feindre. v.896 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- J'ai bien su qu'à ce mot je vous mettrais en peine, v.907 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Aussi par quelle audace usurpez-vous chez lui v.909 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
- Sous le nom de Sophie appeliez les passants ? v.913 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Doutez-vous maintenant qu'il a perdu le sens ? v.914 (Acte 3, scène 3, AURÉLIE)
- Vous peut-il divertir par cette extravagance ? v.923 (Acte 3, scène 3, AURÉLIE)
- Vous peut-elle fourber avec cette arrogance, v.924 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Affligé que j'étais d'un bras presque perclus, v.926 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
- Et s'appelait... v.927 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Mais leur rapport peut-être a produit son erreur. v.929 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- On peut bien imposer, mais non à la nature : v.932 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- De devoir par respect contenir ma colère, v.944 (Acte 3, scène 3, AURÉLIE)
- Aux dépens de mon sang je pusse avoir raison. v.946 (Acte 3, scène 3, AUR?LIE)
- Je ne puis ; permettez-moi, de grâce, v.951 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Quand je crois que Constance a perdu la clarté, v.957 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Qui peut pour mon argent m'en avoir fait accroire, v.963 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Et qui plus il m'attrape et plus il en fait gloire ; v.964 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Peu de temps réglera l'amour qui vous transporte. v.971 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Tu t'accuses, perfide, en ne répondant pas : v.974 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Adieu mon personnage. v.977 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Fait que vous avez trop et trop peu de créance, v.988 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Pendant un tour ou deux qu'il fait pour ses affaires, v.995 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Des moyens et des gens pour nous persécuter ! v.1002 (Acte 3, scène 4, LÉLIE)
- Celle qui d'Aurélie usurpe ici le nom. v.1005 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Il n'entend pas la langue, et ne te peut répondre. v.1015 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Rire aux dépens des morts et troubler leur repos ! v.1026 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Que toujours quelque fou rit aux dépens d'autrui ? v.1030 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Et s'en étant instruits, ils peuvent aisément, v.1033 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Et d'un peu de bon temps régalant leurs esprits, v.1045 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Qu'il n'en a pu sortir sans une peine extrême, v.1047 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- T'en a-t-il pu tant dire en si peu de propos ? v.1049 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- La défaite est plaisante, et la dupe en vaut deux ! v.1058 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Quoi ! Sans savoir la langue il peut vous l'avoir dit ? v.1077 (Acte 3, scène 5, GÉRONTE)
- Je trouve que je perds et finance et finesse ; v.1100 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- Perdant encor le sens, ne perdrais guère plus. v.1102 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- L'édifice penchant et presque renversé. v.1110 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Et d'une âme ingénue, a pensé tout détruire ; v.1112 (Acte 4, scène 1, LÉLIE)
- Persan, turc, esclavon, arabe ni chinois ; v.1118 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Arpenté le Japon, l'Égypte et le Pérou. v.1122 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Les envoie à dessein pour nous persécuter. v.1126 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Obligez-moi, messieurs, de me tirer de peine. v.1127 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Plus que vous ne pensez, puisque je suis Lélie. v.1143 (Acte 4, scène 2, LÉLIE)
- Je perds le plus grand bien que je tenais des cieux. v.1154 (Acte 4, scène 2, LÉLIE)
- En vous le déclarant, je perdrais votre estime, v.1183 (Acte 4, scène 2, LÉLIE)
- Rien ne peut altérer ce que je vous promets. v.1190 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- De vous pouvoir servir aux dépens de ma vie. v.1192 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Je vous parlerai bas, de peur d'être entendu. v.1194 (Acte 4, scène 2, LÉLIE)
- Rien ne peut garantir mes mains ou mes épaules v.1199 (Acte 4, scène 2, ERGASTE)
- Je ferai cependant descendre votre époux. v.1230 (Acte 4, scène 2, ERGASTE)
- Que l'amour ne m'a pu permettre à votre abord ! v.1234 (Acte 4, scène 3, LÉLIE)
- Cette faveur, mon fils, est peu considérable, v.1243 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Ô Dieu ! Quel intérêt on tire de sa perte, v.1251 (Acte 4, scène 4, CONSTANCE)
- Voulut qu'assez longtemps je fusse esclave en Perse, v.1272 (Acte 4, scène 4, CONSTANCE)
- Elle est trop manifeste : appelez Aurélie ; v.1276 (Acte 4, scène 4, ANSELME)
- Mais votre éloignement me fit sentir mes peines, v.1307 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
- Peut-elle avec tant d'art laisser aucuns soupçons ? v.1309 (Acte 4, scène 5, ERGASTE)
- Vous tenir en suspens et vous tromper vous-même, v.1332 (Acte 4, scène 6, ERGASTE)
- Qui ne me peut souffrir de biens qu'infortunés, v.1341 (Acte 4, scène 6, LÉLIE)
- Ne conserver de vous que la seule pensée ! v.1356 (Acte 4, scène 6, LÉLIE)
- Te perdre, te quitter, ô ma chère Aurélie ! v.1359 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Ah ! perdons, renonçons, quittons plutôt la vie ! v.1360 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Nole vous peut fournir assez d'autres beautés v.1361 (Acte 4, scène 6, CONSTANCE)
- L'Amour ne peut changer le beau noeud qui me lie, v.1363 (Acte 4, scène 6, LÉLIE)
- Et ce m'est une peine également cruelle v.1367 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Je recouvre une soeur, et je perds une femme ; v.1376 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Tu recouvres un frère et tu perds un amant. v.1378 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Tu m'es trop et trop peu ; mon mal naît de mon bien v.1381 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Crois que tu ne me peux blâmer d'ingratitude, v.1403 (Acte 4, scène 7, LÉLIE)
- De crainte et de pitié vous me percez le coeur ! v.1406 (Acte 4, scène 7, ERGASTE)
- Méritent quelque estime ou quelque récompense, v.1408 (Acte 4, scène 7, ERGASTE)
- Quoique le voir nous soit une inutile peine, v.1415 (Acte 4, scène 7, LÉLIE)
- Le même ciel, perfide, ou te comble ou t'accable v.1419 (Acte 4, scène 8, ÉROXÈNE)
- Retire-toi, perfide, et ne me vois jamais. v.1422 (Acte 4, scène 8, ÉROXÈNE)
- Et lui rendre suspecte une ardeur si fidèle ? v.1428 (Acte 4, scène 9, ÉRASTE)
- Perfide, en doutez-vous ? n'en ai-je pas raison ? v.1434 (Acte 4, scène 10, LYDIE)
- D'un peuple médisant la fable et l'entretien, v.1438 (Acte 4, scène 10, LYDIE)
- Je ne puis t'arracher ces yeux trompeurs et vains, v.1446 (Acte 4, scène 10, LYDIE)
- Quel grand mal ai-je fait ? Ne peut-on sans soupçon, v.1457 (Acte 4, scène 11, LYDIE)
- Je n'ai point tant perdu de force et de courage v.1484 (Acte 4, scène 11, ORGIE)
- Ma vengeance dépend seulement de deux mots. v.1497 (Acte 5, scène 1, LYDIE)
- Des flancs qui le portaient étant à peine au jour, v.1526 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Il vous peut souvenir qu'on lui choisit Fénice, v.1527 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Dans le coeur d'un mortel ce dessein peut entrer ! v.1541 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Oui ; mais par ceux de Dieu qu'on ne peut pénétrer, v.1542 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Au point qu'ils méditaient et se trouvaient en peine, v.1547 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Le ciel permit sa perte, et cet événement, v.1549 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- S'il la tirait des mains de ce peuple infidèle, v.1559 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Mais qui peut là-dessus m'éclaircir avec toi ? v.1577 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Votre seul souvenir vous peut convaincre enfin v.1581 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Il me souvient de plus (ciel, tu le peux savoir) v.1585 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Du bien que je vous fais j'ai pris la récompense. v.1604 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Je crains bien de t'avoir trop crue à mes dépens, v.1610 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Ô vérité trop forte, et qu'on ne peut celer ! v.1618 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Et que tu me peux rendre un redoutable office ! v.1620 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Tu ne perds point ta force à force de vieillir ! v.1621 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Aucun siècle, aucun temps ne peut t'ensevelir ; v.1622 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Ton respect m'obligeait à ne m'emporter pas, v.1625 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Accuser justement mon peu de conscience v.1627 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Rien ne peut plus, chétif, te sauver sans magie. v.1632 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- De peur que commençant dedans ce trouble extrême v.1664 (Acte 5, scène 4, ANSELME)
- Mais ne nous ôtez point ce qui ne se peut rendre, v.1680 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- L'honneur, qui ne s'acquiert ni se perd qu'une fois, v.1681 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- Et modérez un peu l'accent de votre voix : v.1682 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- Je veux tout oublier, encor qu'à mes dépens. v.1741 (Acte 5, scène 6, ORGIE)
- Ne nous inspirait plus que des pensers funèbres. v.1759 (Acte 5, scène 6, CONSTANCE)
- Oh ! combien ce beau jour dissipe de ténèbres ! v.1760 (Acte 5, scène 6, ANSELME)
- Est-ce pour honorer l'appareil de ma perte v.1771 (Acte 5, scène 7, LÉLIE)
- D'un profond repentir détestez vos incestes, v.1776 (Acte 5, scène 7, ANSELME)
- Le ciel ne le peut pas. v.1793 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
- C'est trop vous voir souffrir et vous laisser en peine : v.1795 (Acte 5, scène 7, CONSTANCE)
- À qui dépend de vous cette excuse est frivole, v.1811 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
ANTIGONE (1638)
- Ils n'ont pas appelé ma voix à leur conseil ; v.2 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Tout dépend de toi seule, et rien de l'artifice : v.12 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Viens, s'ils ont du respect, faire voir ta puissance. v.16 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Ou la troupe Thébaine a-t-elle été défaite ? v.19 (Acte 1, scène 2, JOCASTE)
- Et son retour dans peu vous le fera savoir. v.22 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Peut-être que le ciel, qui préside aux combats, v.29 (Acte 1, scène 2, ISMÈNE)
- Arrêtez." Cette voix est à peine entendue v.51 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Que la main aux soldats demeure suspendue : v.52 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Noble victime aux dieux pour le peuple thébain. v.70 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
- Maudite ambition ! Abominable peste ! v.79 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
- Le peuple aime mon règne et craint sa tyrannie : v.84 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Satisfera pour tous et perdra la lumière. v.91 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Ai-je, autre Oedipe, entré dans le lit de ma mère ? v.110 (Acte 1, scène 3, CRÉON)
- Je sais qu'un fils qu'on perd afflige vivement ; v.120 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Ou la peine suivrait un semblable caprice : v.122 (Acte 1, scène 3, ETEOCLE)
- Et, suivant sans respect sa brutale colère, v.130 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Oedipe, quoi ! Tes yeux par tes mains arrachés, v.132 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Ne peuvent faire encore qu'un innocent péché v.136 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Qui, forçant tout respect, ose bien à vos yeux v.140 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- Pour les siens et pour soi promet beaucoup de peine ; v.147 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Et je n'ose vous dire une secrète peur v.148 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- M'a bien pu sans sujet mettre ces peurs en l'âme ; v.151 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- Non, un si beau dessein ne peut mal succéder ; v.152 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Nulle raison d'État, nul respect de couronne, v.162 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Et je ferais beaucoup de respecter les dieux. v.165 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Ma permit de parler touchant notre hyménée, v.167 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Tournons donc nos pensers du côté de l'orage v.174 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Que ce jeune lion, chef des troupes de Grèce, v.182 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- À peine s'acquéraient la créance des yeux : v.185 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- En effet, et vos yeux peut-être en sont témoins, v.208 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Et, si la vérité se peut dire sans fard, v.212 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Et j'aurais épargné tant d'illustres personnes v.234 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Le sang de tant de peuple et de tant de noblesse. v.239 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Vous mettez un serpent au sein de votre fille, v.250 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Sans honte et sans frayeur y pouvez-vous penser ? v.261 (Acte 1, scène 6, ARGIE)
- Quand mon année arrive et m'appelle à l'empire ? v.271 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Quelle rage, bon dieu, vous occupe le sein ? v.272 (Acte 1, scène 6, ADRASTE)
- Qui vous rompe de pacte et qui vous soit contraire ; v.279 (Acte 1, scène 6, ADRASTE)
- Le respect de l'accord entre nous arrêté, v.289 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Un éternel adieu peut-être nous sépare : v.311 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Là, si ton lâche coeur enfin se peut résoudre, v.326 (Acte 2, scène 1, POLYNICE)
- Chaque instant qui se perd marque ta lâcheté. v.333 (Acte 2, scène 1, POLYNICE)
- Qu'un traître a peu de coeur, et qu'un perfide est lâche ! v.335 (Acte 2, scène 1, POLYNICE)
- La nature, Seigneur, dispense le courage ; v.339 (Acte 2, scène 1, 1ER-CAPITAINE)
- Et ne lui peut donner le salut ordinaire ; v.347 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Un seul embrassement ne vous est pas permis ; v.348 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Vous vous plaignez, armez et frappez à la fois : v.356 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Tout respect de nature et ne l'écouter plus ? v.361 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- L'un ne le veut verser sans la perte de l'autre ; v.374 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Gloire du sang d'Oedipe, honneur de sa famille, v.383 (Acte 2, scène 2, POLYNICE)
- Et pour qui j'aurais peine à vous rien refuser, v.388 (Acte 2, scène 2, POLYNICE)
- Et par qui je vois bien que je lui suis suspecte, v.398 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Ne pouvant l'honorer comme je vous respecte ; v.399 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Elle a perdu son droit et ne vous touche plus ! v.401 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Peut-être en leur faveur mettriez-vous bas les armes : v.403 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Ce que ma passion ne vous peut accorder, v.421 (Acte 2, scène 2, POLYNICE)
- Ton appel est, au reste, un bien que je t'envie ; v.434 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- Fuyons, ne voyons pas cet horrible spectacle. v.443 (Acte 2, scène 3, ANTIGONE)
- Détourner s'il se peut une étrange infortune. v.451 (Acte 2, scène 4, HÉMON)
- Perdez-moi toute entière, ou conservez-moi toute. v.459 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Ainsi je perds l'espoir de vous revoir ensemble; v.478 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- L4heur de vous entrevoir ne vous est pas permis : v.480 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Eh ! Quel est cet abord ? Qu'il est peu gracieux ! v.488 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Si ce n'est que ma foi soit suspecte aussi. v.493 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Ma sûreté dépend de n'être plus crédule ; v.495 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Votre parole enfin m'est suspecte aussi; v.500 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Le roi ? Quoi ! Le perfide exige encore ce titre v.506 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Vous venez tout d'un sens contraire à ma pensée ! v.511 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Pour vous la pitié peut-être a plus de charmes : v.514 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- C'est ce qu'on peut nomme votre parti contraire. v.550 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Tout un peuple ennemi marche dessus vos pas ; v.556 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Tout un peuple allié marche dessus mes pas v.560 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Tout un peuple ennemi marche dessus vos pas v.564 (Acte 2, scène 4, ETEOCLE)
- Ce coeur qui vous peut faire un si bel héritage, v.601 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Qui vous peut au besoin donner un si beau rang v.602 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Les exemples de Laie et d'Oedipe en font foi. v.607 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Et de tous deux peut-être. v.609 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Plus est permis aux rois à qui plus on s'oppose ; v.616 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Le peuple, trop aisé, les lie en les aimant ; v.618 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Passe au dernier excès que peut faire paraître v.624 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Ne peuvent de vos mains faire tomber les armes, v.629 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Adieu, non plus mes fils, mais odieuses pestes, v.640 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Pour vous persécuter même jusqu'au trépas. v.643 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Tu caresses, tu frappes, v.671 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu viens à nous, tu nous échappes, v.672 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Mais pourquoi, trompeuse déesse, v.674 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu ne peux voir la tête d'un roi v.678 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- L'ennui d'un tel malheur ne peut être léger ; v.692 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Votre douleur peut-être... v.698 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Non, elle est en un point où rien ne peut l'accroître ; v.699 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Mes sens par son excès sont demeurés perclus ; v.700 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Et qu'on en peut nommer la cause légitime, v.714 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Si ce traître y peut voir le sceptre qu'il me nie, v.718 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Et s'il peut en mourant emporter avec soi v.720 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Il semble que des sens il ait perdu l'usage : v.739 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Et sait encore tromper dans les bras de la mort. v.741 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Mais sa main est à peine à cette oeuvre occupée, v.751 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Retire un peu le bras, puis, le poussant d'adresse, v.754 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Ta perfidie arrête où ton âme n'est pas ? v.760 (Acte 3, scène 2, H?MON)
- Peut lâcher quelque trait qu'il n'ait lâché sur nous... v.773 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Tant versé pour un jour de peine et de disgrâce. v.787 (Acte 3, scène 4, HÉMON)
- Mais ma peine ou ma vie enfin pourra cesser : v.793 (Acte 3, scène 4, ANTIGONE)
- Un peu de solitude à ce mortel ennui, v.797 (Acte 3, scène 4, ANTIGONE)
- Poursuit encore Oedipe et le punit en nous : v.809 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Et, vierges, nous portons la peine d'un inceste. v.811 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Dont le règne insolent déjà nous persécute, v.815 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Pour honorer le roi de la pompe funèbre, v.819 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Et défend que son corps, sans d'Oedipe et de nous, v.824 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- Telle qu'est cette loi, telle est aussi la peine ; v.826 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
- Et qui peut plus sur nous ou des dieux ou des hommes ; v.835 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Ne nous permettent pas une lâche action ; v.837 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Peut être que plus faible elle sera punie. v.839 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Il ne peut être après tout qu'arriver une mort : v.841 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Quand l'une peut manquer, l'autre est bien imparfait. v.852 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- J'abhorre l'ordonnance et redoute la peine. v.858 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Un peu d'abaissement aujourd'hui nous sied bien. v.870 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Bien, mon pouvoir cessant fera cesser ma peine. v.896 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Vos raisons, comme vous, sont de si peu de force, v.899 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Madame, vous cherchez votre perte visible. v.911 (Acte 3, scène 6, MENETTE)
- C'est bien ma perte, hélas ! Elle m'est bien sensible. v.912 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Peut-être que déjà Polynice m'accuse v.919 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Que je me suis soustraite aux troupes de la Grèce, v.924 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Pour ne nous pas tromper ne prenons autre voie v.927 (Acte 3, scène 6, MENETTE)
- Vois, perfide cité, quelle pompe environne v.939 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Je ne cherche qu'un mort, je ne peux que sa cendre ; v.943 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- À qui tu fus perfide autant que légitime, v.947 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Nous sommes aperçus, quelqu'un vers nous s'adresse. v.956 (Acte 3, scène 7, MENETTE)
- Si quelqu'un de ces morts vous cause de la peine, v.963 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Ce n'est pas sans raison que sa perte m'est dure ; v.991 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Et non sans que mon coeur en fût un peu jaloux ; v.998 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Elle n'a diverti sa mort ni votre peine : v.1004 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- Enfin l'État est clame, et le dieux ont permis v.1017 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- Pour profiter pour moi lui-même s'est perdu, v.1025 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Mais mon autorité ne peut sans injustice v.1039 (Acte 4, scène 1, CR?ON)
- Et qui demain peut-être eût pu voir avec joie v.1051 (Acte 4, scène 1, CLÉODAMAS)
- À peine il s'établit qu'on souhaite qu'il cesse, v.1067 (Acte 4, scène 1, ÉPHISE)
- Depuis quand des deux points d'où dépend la justice v.1079 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- De plus mutins que lui dans le respect des lois : v.1106 (Acte 4, scène 1, CRÉON)
- Amenez cette peste, et qu'on cherche une peine v.1139 (Acte 4, scène 2, CRÉON)
- Quel superbe maintien et quelle égalité ! v.1142 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Je me résous sans peine à la fin de ma peine ; v.1183 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- Peut-être qu'elle rang qu'elle tint autrefois, v.1200 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Et qui l'a secondée aura part en sa peine; v.1207 (Acte 4, scène 3, CR?ON)
- Ayant appris l'édit et le peine prévue, v.1222 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Peut-être que le temps vous ôterait l'envie v.1226 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- La murmure du peuple irait jusques à vous, v.1228 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- On souffre avec respect, on voit, mais on se tait. v.1233 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- Tous tremblent, tous ont peur ; moi, je n'ai rien à craindre. v.1235 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- J'ai seule aimé mon frère ; il n'appelle que moi. v.1272 (Acte 4, scène 4, ANTIGONE)
- Il peut pour un manqué, recouvré cent partis. v.1292 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Cherchant cette alliance, il cherchait bien sa perte ; v.1294 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Profite de sa perte, et crains un même sort. v.1301 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Veillez-les avec soin, que tout vous soit suspect ; v.1308 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Mais que l'on traite Argie avec plus de respect, v.1309 (Acte 4, scène 4, CR?ON)
- Cependant qu'au conseil on ordonnera d'elle ; v.1311 (Acte 4, scène 4, CR?ON)
- Sire, à peser bien tout d'une égale balance, v.1314 (Acte 4, scène 5, ÉPHISE)
- Sur toutes ces raisons passent un peu mûrement. v.1321 (Acte 4, scène 5, ?PHISE)
- Elle est juste en l'amant qui perd une maîtresse : v.1327 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Et que nous nous perdions afin de l'acquérir. v.1348 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Pour souffrir qu'il reçoive un serpent en sa couche : v.1350 (Acte 4, scène 5, CR?ON)
- C'est à peu près, Monsieur, ce que je viens d'entendre, v.1389 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Le plus savant se trompe, et deux yeux font plus qu'un. v.1392 (Acte 4, scène 5, H?MON)
- Ne regardez pas l'âge, et pesez la raison. v.1403 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Appelles-tu raison de faire honneur au crime ? v.1405 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Le peuple toutefois ne le confesse pas. v.1408 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Ne m'est-il pas permis de conserver mon droit ? v.1419 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Envers qui ne veut ni ne peut faire bien. v.1428 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Ce fol à m'outrager encore persévère ! v.1429 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Souffriez-vous, mes yeux, ce spectacle exposé ? v.1455 (Acte 5, scène 1, HÉMON)
- Règne pernicieux ! Joug, certes, détestable, v.1457 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Mais peut-être qu'Éphise aura par sa prière v.1465 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Le voilà qui, pensif, adresse ici ses pas. v.1468 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Force ici tout respect et de fils et de père. v.1478 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- Pardonnez mes transports, respect, devoir, naissance ; v.1485 (Acte 5, scène 2, H?MON)
- Sait-il que je m'avoue un peu trop téméraire, v.1505 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- Ni mes soumissions ne peuvent l'émouvoir, v.1512 (Acte 5, scène 2, H?MON)
- J'ai peint votre respect, votre amour, votre ennui ; v.1515 (Acte 5, scène 2, ÉPHISE)
- Que son bras, s'il se peut, nous immole à sa haine ; v.1541 (Acte 5, scène 3, HÉMON)
- Mais, s'il se peut aussi, faisons qu'elle soit vaine. v.1542 (Acte 5, scène 3, H?MON)
- Il s'avoue un peu prompt. v.1561 (Acte 5, scène 4, ÉPHISE)
- Qu'il souffre donc sa peine. v.1561 (Acte 5, scène 4, CRÉON)
- Mais pesez mûrement ce que je viens de dire. v.1574 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Lorsque l'horrible cri d'une troupe d'orfraies, v.1585 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Et n'a point respecté la naissance du jour : v.1588 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Je cours au temple alors, où la lampe allumée v.1593 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- L'encens n'y peut brûler quelque effort que j'essaie ; v.1597 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Qui, cruel, attaquez qui ne se peut défendre, v.1609 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Sur tout autre votre art me persécute ; v.1613 (Acte 5, scène 5, CRÉON)
- Non pas en abusant du respect des autels, v.1623 (Acte 5, scène 5, CR?ON)
- Peu de gens de votre art sont exempts de vice. v.1630 (Acte 5, scène 5, CRÉON)
- La soeur vive enterrée, et tout le peuple en deuil, v.1644 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Appellent d'une voix que ne sera pas vaine v.1645 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Vous persécuteront jusqu'aux derniers abois ; v.1651 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Sire, il peut s'abuser ; mais depuis qu'en ces lieux v.1659 (Acte 5, scène 6, ÉPHISE)
- Traitez le sang d'Oedipe avec plus de douceur ; v.1671 (Acte 5, scène 6, ÉPHISE)
- Il la peint généreuse et me témoigne lâche. v.1714 (Acte 5, scène 8, ISMÈNE)
- Mon fils, quel désespoir trouble votre pensée, v.1744 (Acte 5, scène 9, CRÉON)
- Je n'ai plus de respect, ni connais plus mon père. v.1749 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- Ma peut faire passer à toute extrémité. v.1751 (Acte 5, scène 9, H?MON)
- Croyez que Cadme, Laie, Oedipe et ses enfants, v.1766 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- Que des dieux Tyrésie annonçait la pensée, v.1768 (Acte 5, scène 9, H?MON)
- À ma fureur encor quelque respect est joint, v.1774 (Acte 5, scène 9, H?MON)
- Mourrai-je mille fois pour la peur d'une mort ? v.1787 (Acte 5, scène 9, ISMÈNE)
LES DEUX PUCELLES (1639)
- Puisque l'art aisément en répare la perte, v.16 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Et que ce peu de feu suffit pour me guider, v.17 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Au premier rendez-vous, alla finir sa peine. v.24 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- La peine d'acquérir, donne le prix aux choses, v.27 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Soupçons, crainte, respect, mon coeur vous congédie, v.43 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Mon oeil ne peut tenir qu'avec beaucoup de peine v.51 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Quelque endroit où ce Dieu daigne vous appeler, v.57 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Sautez, courez, volez, c'est trop peu que d'aller. v.58 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Ha ! fâcheux souvenir ! puis-je sans perfidie, v.83 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Et d'un commun dessein les tromper toutes deux. v.86 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Ne me saurait permettre assez de patience, v.88 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Me viennent mille morts, plutôt que ce penser. v.94 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Loin pensers indiscrets, hors tous soupçons jaloux, v.99 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Quelle perfection, et quelle pureté, v.109 (Acte 1, scène 2, THÉODOSE)
- Et quels de ses pensers ne t'appartiennent pas ? v.114 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Et j'allais bien chercher, ce qui m'aurait perdu. v.130 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- C'est une vertu rare, au-dessus du penser, v.137 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Après s'il s'en repent, court en vain après elle, v.144 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Cessez fâcheux pensers, loin prudence importune, v.147 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Oui, mais visiblement, je machine ma perte, v.152 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Un second fruit naissant de cette perfidie, v.155 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Pour tant de passion, j'ai beaucoup de respect, v.161 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Et pour un amoureux, je suis bien circonspect, v.162 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Et si tu peux, me pousse au sein de ma maîtresse, v.176 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- En semblables combats, la peur fait la victoire, v.179 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Loin, pensers indiscrets, hors tous soupçons jaloux, v.181 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Empêchera l'effet de suivre le penser. v.188 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Je suivrai cependant un dessein que j'ai fait v.196 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Elle peut méditer sur ces métamorphoses , v.210 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Quand elle me suivrait, me permettrait la fuite, v.218 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Vos rayons peu courtois ne passent pas la nue , v.230 (Acte 1, scène 3, LÉOCADIE)
- Une ombre que le jour ne dissiperait pas. v.232 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Laisse briller les feux à l'Olympe attachés, v.239 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Et qu'Hymen est tout prêt de permettre à nos sens. v.244 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- À tromper la rigueur d'un père trop avare, v.246 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Qui se peut faire attendre, aime peu sa maîtresse, v.258 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Tu devais m'ordonner la moitié de la peine, v.270 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Quel divertissement tires-tu de ma peine ? v.290 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Je t'entends, je te suis, je t'appelle cent fois, v.291 (Acte 1, scène 4, L?OCADIE)
- Et quel discours, te peut exprimer mes ennuis ? v.300 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Vous qu'on peint à nos yeux si dures, et si fières, v.313 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Quelle flamme, quel fer, quel poison, quelle peste v.317 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Et tu lui rends un soin un peu trop diligent. v.347 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Mais ta peine, pour lui va jusques aux caresses, v.349 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Quoi bons Dieux ! se peut-il que quelque jalousie, v.365 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et ne peux-tu juger quelle douleur le presse ? v.382 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et je permets au sort de suivre son caprice, v.389 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Cependant qu'en repos je suis mon exercice, v.390 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Qu'amené par mes gens à peine il suit mes pas v.400 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
- Mais qu'emploierais-je, hélas ! que des soins superflus, v.451 (Acte 2, scène 3, THÉODOSE)
- A servi de butin au perfide que j'aime. v.454 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Il serait superflu de passer autrement, v.475 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- De peur du bruit, moi-même en prendrai le souci, v.479 (Acte 2, scène 4, ALCIONNE)
- Chétive, tu te perds, par le soin que tu prends, v.483 (Acte 2, scène 4, ALCIONNE)
- Et deviendras enfin courtoise à tes dépens. v.484 (Acte 2, scène 4, ALCIONNE)
- Notre peine s'accroît dans le temps du repos, v.495 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Quelque parole enfin trahira sa pensée. v.506 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Tu me faisais un Dieu de l'auteur de mes peines, v.509 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Je découvre à peu près, d'où provient son ennui, v.511 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Appas faux et trompeurs, sources de mes ennuis, v.515 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Que l'amour t'avait bien, d'une fausse peinture, v.521 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Ha ! cet ardent désir, ne se peut contenir : v.532 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Sans votre su , peut-être à mon oreille arrive, v.534 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- S'il lui faut un pardon, au lieu de récompense, v.554 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Peut-être que ce mal dont votre âme est saisie, v.561 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Et que si l'on peut rien pour votre allégement , v.563 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- J'exige des serments qui dissipent ma crainte, v.581 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Le penser que j'aurai contre votre dessein, v.583 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Qu'il m'étouffe, et qu'il soit un serpent en mon sein. v.584 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Que j'aurai peine à dire, autant que vous à croire, v.586 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Cependant que l'amour en ces lieux est le mien ; v.608 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Je m'oublie, il apprend, je me perds, il profite. v.610 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Ô sort ! qui peut prévoir tes accidents divers ! v.612 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Qui me demande à peine une minute entière, v.630 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Mon penser se confond, et celle que je fus, v.643 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Se perd en un moment en un proche nuage, v.650 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Mon coeur à mon visage a reproché sa peine, v.658 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Que peut délibérer en un malheur pareil, v.667 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Mais je crois que dans peu le retour de l'aurore, v.681 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- De ses vives couleurs peindra la rive more , v.682 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Pernicieux amour ! v.695 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Mais s'il se dispensait à la témérité, v.699 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Mon respect est déjà bien près de ses limites, v.722 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Mais la perfection en tous deux est égale, v.726 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Ce qu'un peut espérer, l'autre le peut prétendre, v.729 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Espérance, désir, sortez de ma pensée, v.734 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Possède-les tous deux, tu leur peux satisfaire, v.741 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Deviens pour mon repos un peu plus négligente ; v.746 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Mais à quoi tant de soins ? peu de bien nous suffit, v.759 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Peut-être avec raison. v.763 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Que peut plus à mes maux ajouter la fortune ? v.778 (Acte 2, scène 6, THÉODOSE)
- Et dans mon repentir ne cherche point d'excuse, v.786 (Acte 2, scène 6, TH?ODOSE)
- J'attends ce fer sans peur, le coup m'en sera doux, v.787 (Acte 2, scène 6, TH?ODOSE)
- J'ai mon frère, en ma peine intérêt comme vous, v.788 (Acte 2, scène 6, TH?ODOSE)
- Par l'excès des forfaits, et le défaut des peines, v.794 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- D'un traître, qui volant, ne m'échapperait pas, v.804 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
- Par elles, votre honneur ne se peut rétablir, v.811 (Acte 3, scène 1, ALEXANDRE)
- À moins que de périr, il ne se peut cacher v.827 (Acte 3, scène 1, ALEXANDRE)
- Avec ce qu'ils m'ont pris, je perds encor la voix v.832 (Acte 3, scène 2, FILÉMOND)
- Leur nombre aurait fait peine à la valeur d'Alcide, v.837 (Acte 3, scène 2, FILÉMOND)
- Mon être à peine accroît l'être commun des choses, v.849 (Acte 3, scène 3, LÉOCADIE)
- À peine mon printemps pousse encore des roses, v.850 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- À peine je me trouve, et déjà je me perds ; v.852 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Plus humaine que toi, terminerait ma peine, v.862 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Que la perte du jour rend toute autre insensible, v.866 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Cependant que le sort jusqu'ici nous envoie, v.873 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Infidèle , barbare, arrête un peu ta fuite, v.881 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Dieux ! quel est ce spectacle ? v.885 (Acte 3, scène 4, ALEXANDRE)
- Ô troupe fortunée, v.885 (Acte 3, scène 4, LÉOCADIE)
- Troupe, bien plus que moi chère à la destinée, v.886 (Acte 3, scène 4, L?OCADIE)
- Assez d'autres sans moi font preuve à leurs dépens, v.915 (Acte 3, scène 5, ALCIONNE)
- Tel, qui feint de railler exprime sa pensée ; v.938 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Mais je suis peu courtoise, il les faut recevoir. v.952 (Acte 3, scène 6, ALCIONNE)
- Tout cela m'est suspect, et cette courtoisie, v.953 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Ô le pesant fardeau qu'un hymen inégal ! v.955 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Une petite femme, est souvent un grand mal. v.956 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Et suspends là-dessus ma curiosité. v.996 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- Quoique mon peu d'adresse ait encor son excuse, v.1005 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Outre ce grand respect, ces charmes ces appas, v.1011 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Me peut faire chez vous trouver quelque crédit ; v.1027 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Mais le traître s'accorde avec votre pensée, v.1033 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Et connaissez enfin, que pour peu qu'on en die, v.1050 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- La nature a tiré cet auteur de mes peines, v.1070 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Ô volage, ô perfide ! âme sans conscience, v.1077 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Et qu'en est-il suivi, que lui permîtes-vous, v.1087 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- La maison perd son droit, où ton poison se glisse, v.1098 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Ce venin si funeste, et si pernicieux, v.1099 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Vais consulter ma peur, qui résolut ma fuite ; v.1138 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Rare, accomplie, et belle au-delà du penser, v.1147 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Et je n'ai peur de voir, ni fuis rien tant que moi ; v.1160 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Mais c'est peu de matière à tant de renommée, v.1162 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Les charmes, les attraits, n'auront point de dispense, v.1170 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Noble comme on la tient, peut-être son courage v.1177 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- L'espoir de la victoire, et la peur du danger ; v.1180 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- J'apprendrai cependant, votre histoire à mon frère, v.1182 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Espérez tout de lui, s'il vous peut obliger ; v.1183 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- Mais qui ne sait le mal, ne le peut soulager. v.1184 (Acte 3, scène 8, TH?ODOSE)
- L'état où vous étiez n'a pu tromper mes yeux, v.1239 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Qui se peut asservir les coeurs de tout le monde, v.1250 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Trouve partout entrée, et de ses spectateurs, v.1255 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Où votre bonne humeur s'exerce à mes dépens. v.1264 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Explique tout d'un sens contraire à sa pensée, v.1266 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Et penser à mon mal, est mon unique bien. v.1272 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Si même un peu de temps manque à ma rêverie ? v.1278 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Doit donner pour un temps trêve à votre pensée : v.1290 (Acte 4, scène 3, ALCIONNE)
- Cet importun ennui ne se peut-il distraire ? v.1297 (Acte 4, scène 3, ALCIONNE)
- Je méconnais Antoine, ou je vois ce perfide, v.1301 (Acte 4, scène 4, LÉOCADIE)
- Ô comble de mes peines v.1317 (Acte 4, scène 4, LÉOCADIE)
- Belle âme, attends un peu, la mienne suit tes pas v.1323 (Acte 4, scène 4, L?OCADIE)
- Et lâche, je permets qu'au chemin du trépas v.1331 (Acte 4, scène 5, THÉODOSE)
- Capricieux enfant, petit Dieu de Cythère, v.1345 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- À peine brûlent-ils, qu'ils ne sont que fumée, v.1362 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- Qui ne me permet pas le respect du silence, v.1370 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Parlez, que craignez-vous ? ce respect est frivole, v.1373 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Quelque état où je sois ne peut m'être que doux. v.1376 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Peut laisser à mon nom, dedans votre mémoire, v.1381 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Mes plus simples pensers, et les plus criminels, v.1412 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Si le mal que je sens, permet que je le die, v.1418 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Que mon coeur est un bien, qu'on ne lui peut ravir ; v.1424 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Et si (lorsque j'ai vu vos plus chères pensées v.1425 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Que ne peut par tes mains, ma paupière être close ? v.1442 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Ô soupçons superflus ! ma perte est trop certaine, v.1461 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Je ferme en vain les yeux, pour ne pas voir ma peine, v.1462 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Sors malheureuse fille, et si tu perds le jour, v.1471 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Paroles que permet une jalouse rage, v.1477 (Acte 4, scène 7, LÉOCADIE)
- Chétive, j'ai pu voir ce perfide embrasser ; v.1487 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Ha ! tais-toi malheureuse, et meurs à ce penser, v.1488 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Sans peine tu conclus à te déshonorer, v.1491 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Qui peut sinon ta mort réparer ton estime, v.1493 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- La peine volontaire ôte beaucoup de crime, v.1494 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Ruinons qui nous perd, et tuons, en mourant ; v.1500 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Qu'avec Léocadie, il perde Théodose, v.1501 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Voici, qui peut m'aider à ce que je propose. v.1502 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- L'amour est, je l'avoue, une sensible peine, v.1509 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- De la peine au repos, d'aimer, à n'aimer pas, v.1512 (Acte 4, scène 8, ALCIONNE)
- Cependant, s'il se peut, que par votre faveur, v.1515 (Acte 4, scène 8, LÉOCADIE)
- Ne me rapprochez point respect, honte, raison, v.1523 (Acte 4, scène 8, LÉOCADIE)
- Que qui croit à la fable , ait de la peine à croire, v.1526 (Acte 4, scène 8, L?OCADIE)
- La voici, qui ravie, et d'un superbe pas, v.1531 (Acte 4, scène 8, L?OCADIE)
- A dû faire épreuve ce que peut la nature, v.1546 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- À qui par dessein même, on ne peut résister, v.1551 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- À peine je vous vois, que cette loi secrète, v.1553 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- À vos perfections trouve une humble sujette, v.1554 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Qu'il ne me soit permis d'aimer, ni de haïr ; v.1560 (Acte 4, scène 9, LÉOCADIE)
- Que je ne doive encor craindre sa perfidie, v.1566 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Antoine peut encor manquer à toutes deux, v.1568 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Mon espoir penche encor, et n'a rien qui l'assure, v.1569 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Et je dépends d'un astre assez malicieux, v.1571 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Vos pas sont achevés, si vous cherchez ma perte, v.1577 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Si ma mort vous importe elle dépend de vous, v.1579 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Et vous oblige autant, qu'il me cause de peine, v.1590 (Acte 4, scène 9, LÉOCADIE)
- Madame, encor un mot : mais je l'appelle en vain, v.1591 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Sa peine m'est sensible, et toutefois m'oblige, v.1593 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Dieux ! que ne se peut-il pour notre commun bien, v.1595 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Te peux-tu désormais exposer à ton père, v.1617 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Il s'échappe à grand pas. v.1632 (Acte 5, scène 1, TOISIÈME ARCHER)
- Me voulut résister aux dépens de mon sang. v.1668 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Et que mon repentir soit ma punition. v.1676 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Peut sinon divertir, modérer ton supplice ; v.1678 (Acte 5, scène 1, PREMIER ARCHER)
- Si ma fortune au moins ne peut être meilleure, v.1685 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Le coup, qui frappe tôt, se sent moins de moitié. v.1688 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Et tu peux témoigner des plaintes que j'en fis, v.1716 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Je n'ai point fait de grâce à ces membres pesants v.1735 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Et n'ai point prétendu de dispense à mes ans, v.1736 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Dessus même sujet, même sujet m'appelle, v.1749 (Acte 5, scène 5, DON SANCHE)
- Mais quel autre spectacle à mes yeux se présente ? v.1765 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Deux vieillards, deux troncs d'os, dont la masse pesante, v.1766 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Et que ne puis-je ici me sauver par ma perte ! v.1774 (Acte 5, scène 6, THÉODOSE)
- Et mon âge penchant, méprise sa jeunesse, v.1814 (Acte 5, scène 6, DON SANCHE)
- Le ciel sait que jamais au-delà du penser, v.1823 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Votre fille à mes voeux n'a permis de passer, v.1824 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- J'ai voulu par ma mort vous en ôter la peine, v.1874 (Acte 5, scène 7, LÉOCADIE)
- Faites vers le dernier, pencher votre pouvoir, v.1879 (Acte 5, scène 7, L?OCADIE)
- À peine imaginable à la race future, v.1886 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Et le vice contraint ne se peut condamner, v.1892 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- L'amour causant son crime, a fait aussi sa peine , v.1898 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Chacun après la peine, a sa part de la gloire ; v.1918 (Acte 5, scène 7, DON HENRI)
- Il faut suivre son sort, on n'y peut résister, v.1924 (Acte 5, scène 7, LÉOCADIE)
LA CÉLIANE (1637)
- Veut parmi ces douceurs mêler un peu de fiel. v.16 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Il change depuis peu votre humeur ordinaire, v.17 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Mêle un peu de tristesse à mon bonheur extrême : v.26 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Et ne condamnez point la peine que je sens, v.27 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Et m'a rendu suspect à celle que je sers. v.36 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Je voyais ses soupçons dépeints sur son visage, v.41 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Quoi que l'on nous raconte, et qu'on se persuade, v.49 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Que la même faveur ne m'est-elle permise ? v.53 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Quels dieux à ma prière allègeront mes peines, v.143 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Percer un jour le coeur de ce perfide amant. v.154 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Ah, que profiterai-je en ces pas superflus ? v.161 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Donnez un peu de temps au moins à ma prière. v.176 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Mais ce temps servira pour te percer le sein. v.178 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Ton oeil (perfide auteur de mon cruel martyre) v.187 (Acte 1, scène 2, NISE)
- En cet heureux trépas vont perdre tous leurs traits. v.198 (Acte 1, scène 2, NISE)
- À tes yeux a percé le beau sein de ma dame. v.216 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Mais ! ô faibles discours, entretiens superflus, v.233 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu ne peux être éteint, puisque je brûle encore. v.236 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Traître, perds le souci de prolonger mon sort, v.237 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Si ma perte te sert à gagner leur amour. v.242 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Ah pardonnez ces mots à l'excès de ma peine. v.248 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Et que tous mes soupçons troublent peu ton repos. v.254 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Si ma fidélité vous est si peu connue, v.255 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Si quand on vous a vue on peut être infidèle . v.264 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Vous verrez cet instable, et perfide élément , v.265 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Si vos yeux peuvent faire une légère plaie, v.280 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Les appas de ta voix me peuvent bien contraindre, v.283 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Jusqu'au point d'assurer que je flattais sa peine , v.296 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Que quel contentement me peut toucher le coeur . v.318 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- En ces lieux étrangers mes pensers les plus doux v.321 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu reconnais ici, cher auteur de ma peine, v.331 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Qui ne m'a pas permis de prévoir ta faiblesse, v.340 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Que tu traverseras avecque peu de peine. v.344 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Appuie ici ta main, dieux, qu'avez-vous permis ? v.345 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Céliane peut-elle encore vous toucher , v.368 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Si celui qui vous blesse allègera vos peines ? v.370 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Donnez-vous seulement la peine de la voir, v.388 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Aucuns ont vu d'odeurs certain peuple vivant , v.392 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Écho ne peut fléchir l'amant qu'elle importune, v.395 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Il faut (quelque respect que ta rigueur m'oppose) v.409 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Tu sais que j'ai semé trop de pas et de peines, v.413 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Donc soulageons un peu notre commune flamme, v.417 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Rossignols, à l'aspect de ces charmes visibles, v.425 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Un naturel, comme eux, peu sensible et léger. v.436 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Lors sa beauté peut tout sur une âme amoureuse, v.453 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Et pour vous trop donner, nous vous perdons souvent. v.464 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Ordonne-lui sa peine avant qu'il soit coupable : v.470 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Que peuvent redouter les parjures amants ; v.472 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- De moins cruels que toi, m'ordonneraient ma peine, v.493 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Est-ce assez me punir de t'appeler mon âme, v.497 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Que ne peut être, ô Dieux ! ma vengeance éternelle ! v.502 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Ma lèvre est suspendue, en cette égalité, v.531 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Mais cette belle bouche a terminé ma peine, v.533 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Même encore à l'aspect de ces charmants appas ; v.563 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Enfin le Dieu du jour a permis à sa soeur, v.565 (Acte 2, scène 3, FLORIMANT)
- Aussi peu, que ce bois l'est à ceux des Zéphyrs. v.582 (Acte 2, scène 3, CÉLIANE)
- Au respect, que tu dois à notre affection ; v.594 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Peut être différée, et non pas divertie. v.600 (Acte 2, scène 3, PHILIDOR)
- Est le nom d'un perfide, et d'un ingrat amant ; v.630 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Après ce long respect, on oit cet infidèle v.635 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Que mon occasion lui donnait peu de peine ; v.643 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Vous ont d'un faux pinceau ses actions dépeintes, v.652 (Acte 3, scène 1, LA NOURRICE)
- J'ai perdu tout l'espoir, qui me flattait jadis, v.657 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Pensait le conserver, est celui qui m'en prive. v.660 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Peuvent-ils approuver de te voir en ce point ? v.703 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- D'un ami détestable, et d'un perfide amant. v.728 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Ah pensers importuns ! faux titre de fidèle, v.741 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Vains respects d'amitié, folle crainte des Dieux, v.743 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Celui, que l'amitié qui régit ma pensée v.749 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Quittez ce vain respect qui votre âme importune, v.753 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Quels envieux démons ont trahi mes pensées ? v.761 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Rien ne la peut toucher, si ma voix ne la touche ; v.790 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Son âme, et mes discours, auront peu de douceur, v.791 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Si dans peu, je n'en fais Florimant possesseur ; v.792 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Pour la perdre, mes soins prendront les mêmes armes, v.793 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- De toi seul désormais ses actions dépendent. v.809 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Et permettez que seul j'attende Nise ici ; v.812 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Tout autre éprouvera ce dessein peu facile ; v.813 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Comment je pourrai perdre un bien qui m'est si cher ? v.820 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Mais pour me repentir me devais-je engager ? v.827 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Je le vois mon Soleil, (si rien me peut permettre, v.829 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- D'appeler mien le bien, que je viens de promettre). v.830 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Vous traitera de même, en une même peine. v.838 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Dont tu viens à mes yeux montrer ta perfidie ? v.866 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Qu'à peine mon respect aurait souffert d'un Dieu ; v.876 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Ne croyez point mes yeux, à ce spectre mouvant, v.887 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Et qui pour me tromper, emprunte la figure, v.889 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Mon coeur ne peut douter de la foi de Pamphile. v.894 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Ne la diffère point, où se fonde ta peur, v.899 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Si tu crois que ce corps ne soit que de vapeur ? v.900 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Cruel, qu'à mon respect ta rage se retienne, v.901 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Ou permets à ma main de précéder la tienne ; v.902 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Tu ne vois plus mon tout, mon âme suspendue, v.905 (Acte 3, scène 2, NISE)
- (Mon coeur) ce déplaisir m'est plus doux, que ta perte. v.910 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Vous peut rendre suspecte une foi si certaine ? v.926 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Quoi ce que j'aperçus, quand Nise te toucha, v.931 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- La peine qu'on te vit souffrir à la quitter, v.936 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- La douceur de tes yeux, et celle de mes peines. v.954 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Entretiens, entretiens tes nouvelles pensées, v.965 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- Te peut donc témoigner l'amour qui me transporte ? v.970 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Mais la fuite m'oblige ; et me permet de taire, v.973 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Ce que Nise me doit, ou permettre, ou défendre ! v.982 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Que cet aimable jour dissipe tes ennuis, v.987 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Esclave de vos yeux, un timide respect v.991 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Tient les miens abaissés à cet aimable aspect, v.992 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- L'oeil, et le front ouverts à l'aspect de leur maître. v.994 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Et qu'il peut à son gré disposer de son bien. v.1004 (Acte 4, scène 2, NISE)
- Si Madame, d'un mot ne me tire de peine ; v.1014 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Aussi je t'obéis avec peu de raison, v.1031 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Las ! permets à nos pleurs de mouiller nos visages, v.1049 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Qu'autant qu'il est permis de chérir la vertu . v.1056 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- C'est peu que de ma mort : pour un si digne objet, v.1063 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Il ne me peut ôter cette crainte du sein, v.1086 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- Voyons ces belles fleurs, quelle peur t'a surpris ? v.1089 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Ah Dieux ! c'est Philidor, plût au Ciel, que leur perte v.1091 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- Lys, où le Ciel a peint mes désirs innocents, v.1093 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Oeillets, qui me peignez le beau teint de Madame, v.1095 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- N'épargne à mon sujet ni le temps, ni la peine, v.1099 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- La récompense, ami, ne t'est que trop certaine, v.1100 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Tu me connais mon coeur, et ma persévérance v.1111 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Des soucis, sont les fleurs, que ma peine a produites. v.1120 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Tu ne peux Philidor supporter cet outrage, v.1123 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Et perds le soin honteux d'adorer une ingrate. v.1132 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Mais que j'aurais de peine à guérir ce tourment, v.1134 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Et que facilement il se le persuade ; v.1136 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Qu'il y remarque peu, cette facilité ; v.1138 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Que ce superbe Dieu, nous ai jamais tirés. v.1146 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Il a fort peu changé depuis que je t'honore, v.1167 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Ce que je ne crois plus, un autre le peut croire. v.1184 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Il doit peu t'importer qu'un aveugle te loue. v.1188 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Appuie ici ta main, n'épargne point ma peine, v.1195 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Évite ces buissons que tu n'aperçois pas. v.1198 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Ô Dieux ! le bel aveugle, et qu'il est peu timide, v.1199 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Tu ris de mon malheur, mais possible dans peu v.1205 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Et que je veux en vain dissimuler ma peine ; v.1212 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Que de me plaindre peu lorsque je souffre tant. v.1214 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Il pense que mon coeur s'accorde à mes paroles. v.1216 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Ai-je trop peu souffert, pour comble de misère ? v.1259 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Nise qui peut guérir par un mot seulement, v.1269 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Le bien de faire voir, que je peux tout pour lui. v.1286 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Et ne peut qu'exiger de notre obéissance . v.1296 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Et pouvant tout pour soi, ne peut rien pour autrui. v.1298 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Mais la couleur est peu, leur odeur fait leur prix . v.1304 (Acte 4, scène 5, CÉLIANE)
- Je souhaite sa perte, et vous la redoutez. v.1324 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Mais l'amour désormais touche peu mon envie, v.1346 (Acte 4, scène 5, CÉLIANE)
- La perte d'un ingrat me cause peu d'ennuis, v.1347 (Acte 4, scène 5, C?LIANE)
- Combien elle a de peine à confesser qu'elle aime ! v.1350 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Et que je me repens de tous les vains propos, v.1355 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Après un peu de maux, m'est un trop digne prix. v.1364 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Je trouve en mes pensers un plaisir si parfait, v.1367 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Je vous affligerais, en vous tirant de peine. v.1378 (Acte 5, scène 2, JULIE)
- Qui me peut traverser, en ce bien sans pareil ? v.1379 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Peut-elle appréhender un propos qui l'offense ? v.1381 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Te peut-il rien vanter qu'il ait obtenu d'elle ? v.1386 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Il faut qu'en nos discours, notre amour soit dépeinte, v.1398 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Qui peut seul divertir un malheur sans pareil ; v.1400 (Acte 5, scène 3, C?LIANE)
- Que je mérite peu vos inclinations, v.1403 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Sa violente ardeur ne se peut contenir, v.1435 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Ce divertissement ne se peut trop priser ; v.1459 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- C'est gausser à propos ; mais peu de paysans, v.1463 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- J'aperçois Philidor, dont la triste pensée, v.1481 (Acte 5, scène 3, JULIE)
- Enfin je sens un peu refroidir mes esprits, v.1487 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- J'ai peine à concevoir quel accident tu dis, v.1495 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Non, non, que cet objet occupe ta pensée, v.1505 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Quelle soumission peut changer tes mépris ? v.1512 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Te peut rendre évident le plus beau feu du monde ? v.1514 (Acte 5, scène 4, C?LIANE)
- Qu'on ait jamais courus sous les drapeaux de Mars , v.1516 (Acte 5, scène 4, C?LIANE)
- Dont ta seule bonté peut finir le tourment. v.1532 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Si rien ne peut fléchir ce courage inhumain, v.1535 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Seulement, quand ta main m'aura percé le flanc, v.1539 (Acte 5, scène 4, C?LIANE)
- Et tu peux bien ailleurs engager ta franchise, v.1565 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Est la punition de mon peu de constance. v.1582 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Mon inclination ne peut être forcée. v.1586 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Oui, je ris, et riant je dis ce que je pense. v.1590 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Je perds le souvenir de tes mépris passés, v.1607 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- C'est assez mon souci, maintenant prends la peine, v.1613 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Il ne le peut trouver au lieu où je l'envoie, v.1618 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Que ta raison, par qui ton ami sort de peine, v.1625 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Ne perde pas pour toi la qualité d'humaine. v.1626 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Que je me servirai pour me percer le flanc, v.1643 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Ayant osé couper ses délicates veines. v.1645 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Que tu m'obligerais de terminer mes peines ! v.1646 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Eh quoi ! tu perds le temps à de si vains regrets, v.1659 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Qu'avoir permis cent fois la dernière licence. v.1670 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Si tôt qu'un peu de bruit vous frappera l'oreille, v.1685 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Que d'un mal apparent tout notre bien dépende ! v.1690 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Me peut-il empêcher les moyens de te voir ? v.1700 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Jamais de changements, jamais de perfidies ; v.1706 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Voyez comme éperdu v.1724 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Quoi toujours solitaire, et toujours si pensive ? v.1729 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Et mon penser prévient de souhaits infinis v.1731 (Acte 5, scène 6, NISE)
- J'ai fort touché ton coeur ; et sans doute il ne pense, v.1737 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Cette fidélité ne se peut violer, v.1739 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Peux-tu bien subsister en tant de passion ? v.1744 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Un secret repentir me rend mes premiers fers. v.1759 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Ô Dieux ! je suis perdue. v.1765 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Oui je perds sans regret la lumière du jour. v.1768 (Acte 5, scène 6, CÉLIANE)
- Ajoute, âme perfide, v.1769 (Acte 5, scène 6, CÉLIANE)
- Ton oeil l'a bien percé, perce-le de ta main. v.1772 (Acte 5, scène 6, C?LIANE)
- Qu'il me donne la mort, s'il ne peut davantage, v.1774 (Acte 5, scène 6, C?LIANE)
- Puis-je récompenser de si douces promesses ? v.1786 (Acte 5, scène 6, CÉLIANE)
- J'aurais trop peu de pleurs, pour laver cette offense, v.1801 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Si mon seul repentir servait à ma défense ; v.1802 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Et tu m'as fait faillir pour me récompenser. v.1804 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Rien ne peut traverser la douceur de nos âges. v.1814 (Acte 5, scène 6, JULIE)
LAURE PERSÉCUTÉE (1639)
- Qui vous peut engager jusques à l'hyménée. v.42 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Mais il ne peut souffrir qu'un objet inégal v.47 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Et la commune voix en fait une peinture v.53 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Fort pauvre de fortune, et peut-être d'honneur. v.56 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Que ton salut dépend de ne connaître pas v.63 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Qu'avec tous les respects dus à ce qui me touche, v.66 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Les qualités de l'autre, à peine son pareil, v.68 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Passe tous les efforts de l'humaine pensée ; v.82 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Quand elle se présente avecque tant de pompe, v.101 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Ce n'est qu'un faux éclat qui brille, mais qui trompe. v.102 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Vois-tu pas à quel point le Roi nous persécute, v.105 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Un regard un peu froid échappé sans dessein v.115 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Nous est un trait mortel qui nous perce le sein. v.116 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Ce serait perdre temps que d'opposer la fuite : v.130 (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
- Mais peut-être qu'à tort, interdite et confuse, v.145 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Ne peut laisser qu'au temps résoudre ma créance ; v.153 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Un ver de jalousie, un importun penser v.154 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Mais cette enchanteresse et trompeuse sirène v.160 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Comment le temps ? Peut-être qu'à ce jour v.162 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Honteux spectacle au ciel, vile charge à la terre, v.172 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- La perte d'un sujet dangereux à l'état v.182 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Et, brûlant d'étouffer ce serpent domestique, v.188 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Ou j'oppose à ma mort une inutile peine ; v.192 (Acte 1, scène 6, LAURE)
- Voici de qui dépend ma vie ou mon trépas. v.195 (Acte 1, scène 6, LAURE)
- Passons, et, s'il se peut, gardons qu'il ne nous voie. v.196 (Acte 1, scène 6, LAURE)
- Rien peut-il que la mort me tirer de ces lieux ? v.199 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Ciel, témoin de ma peine et de mon innocence, v.224 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Je récuse la terre, et j'en appelle aux cieux. v.227 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Présentez autre part vos conseils superflus ; v.230 (Acte 1, scène 8, ORANTÉE)
- Injurieux respects, je ne vous connais plus : v.231 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Serf de ma passion, j'eusse rien respecté. v.247 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Je sais que la perdant, aussitôt je vous perds ; v.262 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- À peine puis-je encor désabuser ma vue, v.268 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- J'opposais à ma perte une vaine défense. v.273 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Éclaire pour ma perte et pour votre hyménée. v.277 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Le peuple est en ce point plus heureux que les rois, v.286 (Acte 1, scène 9, LAURE)
- Ah ! Madame, la peur altère votre foi : v.290 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Moi ! Que je vous perdisse, et qu'après cette perte v.292 (Acte 1, scène 9, ORANT?E)
- Ô l'effroyable monstre, et l'horrible serpent v.294 (Acte 1, scène 9, ORANT?E)
- Du penser seulement son regard m'empoisonne ; v.296 (Acte 1, scène 9, ORANT?E)
- Non, non, le Roi ne peut, avec tout son courroux, v.298 (Acte 1, scène 9, ORANT?E)
- Ces termes à peu près sont le sens du message v.308 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- La peine qu'il mérite, et que je lui prépare, v.332 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Contre cette peu juste et trop sévère loi. v.343 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Ce mauvais conseiller, s'éloigne un peu de vous ; v.347 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Et j'appelle, Monsieur, de vous-même en colère v.348 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Peut être transgressé comme une injuste loi v.354 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- La loi de la raison ne te permet donc pas v.362 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Monsieur, s'il m'est permis, v.370 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Quel aveugle respect, quelle bonté m'arrête, v.396 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Mais permettez au ciel de disposer de l'autre. v.409 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Perdue, abandonnée, entre toutes infâme, v.413 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Et qu'un oeil délicat ne souffrirait qu'à peine ? v.417 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Quiconque vous ait fait cette fausse peinture, v.420 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Et, touchant les défauts qu'on peint en son visage, v.428 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Faites couper un jour la langue du menteur. v.431 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Et ne peut épouser un Roi qu'en s'abaissant. v.435 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Que mon ressentiment penche vers ton supplice, v.437 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Et si je puis prouver à ton impertinence v.444 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Par les sacrés respects où le sang me convie, v.452 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- La frayeur que tu fais est une douce peine. v.461 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- De la peur ! v.464 (Acte 1, scène 11, LAURE)
- Vos persécutions et vos persécuteurs, v.467 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- Que je perde sans fruit, par cette perfidie, v.486 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Inutile, importun et coupable penser, v.488 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Un homme peut commettre en la garde d'autrui v.492 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Dernier et seul moyen d'où dépend mon repos, v.500 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- De moi, Sire, de moi dépend votre repos ? v.504 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Le bien présent est sûr, les futurs sont trompeurs ; v.512 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Un changement de temps, un amas de vapeurs, v.513 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Aux yeux qui l'attendaient peut dérober sa vue. v.515 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Vous dont les jours à peine ont atteint leur midi, v.520 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Il voudra mal peut-être à qui lui rend service. v.527 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Si bien que si clans peu leur commerce ne rompt, v.556 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Autant qu'il l'estimait je l'ai dépeinte infâme, v.566 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Sa guérison dépend de cette connaissance, v.570 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et ton esprit adroit, tu peux tout si tu veux. v.577 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et, guérissant un fou à sa perte obstiné, v.584 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Si d'un peu de bonheur le sort me favorise, v.590 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- On se sert de leur vice, et l'on hait leurs personnes. v.615 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Que le plus continent ne peut voir qu'il ne l'aime ; v.619 (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
- Pour la peine des coeurs et le plaisir des yeux. v.621 (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
- Je sens percer mon coeur ! Achevez donc, Madame. v.631 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Sa perte avecque vous m'est un commun malheur, v.637 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Sans qu'il s'en défendît par le respect des lieux, v.652 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- J'avise en un moment l'appareil de ma perte, v.662 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Une superbe nef, de cent drapeaux couverte, v.663 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Où trop artistement on avait peint pour moi v.664 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Et que ma perte oblige à ce déguisement. v.673 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- De ce mortel affront rien ne me peut sauver, v.676 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Dont on peut t'acquérir est une belle offense ! v.707 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Jamais avec son prince on ne perd son estime ; v.731 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- La perte de l'honneur à son sujet soufferte v.738 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- Est à la plus honnête une honorable perte. v.739 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- Allez, assurez-le que sur ce peu d'appas v.740 (Acte 2, scène 6, LAURE)
- Mais où promettez-vous du secours à sa peine ? v.746 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- Et contre cet assaut s'est fort peu défendue. v.751 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Cette fille perdue et cet objet d'horreur v.772 (Acte 2, scène 8, ORANTÉE)
- Que vous persécutez avec tant de fureur ; v.773 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- Et ce sont ces appas qu'ils vous peignaient si faux. v.777 (Acte 2, scène 8, ORANT?E)
- J'en ai trop pour les perdre et faire souvenir v.800 (Acte 2, scène 9, LE ROI)
- Si tu prends peine encore à bien feindre sa voix, v.808 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Peut-elle d'un monarque éviter la poursuite, v.827 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Pour bien tromper le prince, il faut tromper le Roi. v.849 (Acte 3, scène 2, OCTAVE)
- Par qui j'ai résolu de vous tromper vous-même ; v.867 (Acte 3, scène 3, OCTAVE)
- Mais tout dépend de toi. v.876 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Que ma confusion punit ma perfidie ! v.894 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- Lui donner tant d'amour avec si peu d'attraits, v.900 (Acte 3, scène 5, LAURE)
- Ne me permettent pas de vous répondre un mot. v.908 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- Mais puisque vous savez que je dépends d'un maître, v.942 (Acte 3, scène 7, OCTAVE)
- Mais je dépends du prince, et cet engagement v.952 (Acte 3, scène 7, OCTAVE)
- Souffrons, puisqu'il est dieu, que tout lui soit permis, v.960 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- Sans respect de parents, de maîtres, ni d'amis ; v.961 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- Monsieur, permettez-moi. v.969 (Acte 3, scène 7, ORANTÉE)
- Sur son perfide sang, votre haine et ma flamme... v.974 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Oui, je te la remets, perfide, elle est à toi. v.977 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Combien il est trompeur d'abonder en son sens, v.993 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Car ce qu'on a pour tous on ne l'a pour personne. v.999 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Mais que ne peut ce sexe alors qu'il dissimule ! v.1002 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Perfide, tu devais, au moins par intérêt, v.1004 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- Ses soins dès le berceau veillent sur nos personnes, v.1011 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Gouvernent notre vie, et ne permettent pas v.1012 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Pour vous promettre plus que vous n'avez perdu. v.1017 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- C'est assez la punir qu'en perdre la mémoire. v.1031 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Une peine, une rage, un tourment sans remède. v.1043 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- J'aie appris ton respect et reconnu ta foi. v.1057 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- Je suis persécuté de ses folles amours ; v.1073 (Acte 3, scène 10, OCTAVE)
- Mais il ne peut encor que ma douleur n'éclate, v.1079 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- Et qu'on ne peut fermer sans se faire mourir. v.1097 (Acte 3, scène 11, ORANTÉE)
- Qui ne peux t'échapper des liens d'une femme ! v.1099 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Être si peu touché d'un si sensible affront ! v.1100 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Elle ne peut souffrir ni moi ni ma fortune ; v.1102 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Peut m'en ôter l'amour et m'en laisser la vue ! v.1107 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Hélas ! Que résoudrai-je en cette peine extrême ? v.1110 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- À peine je la hais que je sens que je l'aime. v.1111 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Oui, perfide, il est vrai, mais lui bien moins que moi. v.1117 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Je demeure interdite et perds tout sentiment. v.1129 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Ah ! Faites que je meure, ou me tirez de peine. v.1131 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Cependant ne craignez ni moi ni ma fortune, v.1138 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Ce n'est pas que la perte en effet en fût grande ; v.1143 (Acte 3, scène 3, ORANT?E)
- Je suivrai cependant l'ordre que je reçois, v.1152 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Heureux qui comme vous en peut user ainsi, v.1156 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Qui se peut engager et dégager aussi ! v.1157 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Arrête mon esprit sur le point de sa perte. v.1199 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Et si je la voyais, je crois qu'à son aspect v.1212 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Tu me verrais mourir de crainte et de respect : v.1213 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Mon amour peut durer avec ma jalousie ; v.1215 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Tout son espoir peut donc être encore en son sein, v.1220 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Avec sa faiblesse elle peut tout forcer : v.1228 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Comme sa voix est douce elle est persuasive, v.1230 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Si la voix ne peut rien la personne nous touche ; v.1234 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Il ne hait pas son maître et craint peu sa prison. v.1257 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Ce lieu te plairait tant, que peut-être l'aurore v.1266 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- D'un si peu supportable et si sensible outrage, v.1275 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Et défendiez l'entrée à tout autre penser, v.1276 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- N'étant pas immortel mon mal ne le peut être ; v.1278 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Et qu'on m'a mis en peine en me désabusant ! v.1285 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Moi, que du choix de Laure enfin je me repente ! v.1290 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Que pour Laure mes voeux aient été superflus ! v.1296 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Frappe ; je la veux voir. v.1298 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Frappe, te dis-je. v.1298 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Approche cependant ; sieds-toi, prend cette place, v.1307 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Je la commence à peine. v.1324 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Crois-tu qu'un peu de bruit l'obligeât d'y paraître ? v.1327 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- L'appellerai-je ? v.1329 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Un peu plus haut. v.1329 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Je veux sortir de peine, et ma peine redouble. v.1331 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Hélas ! Tu m'as perdu. v.1332 (Acte 4, scène 3, ORANTÉE)
- Viens, ne l'appelle plus. v.1333 (Acte 4, scène 3, ORANT?E)
- Il peut avec du feu s'épargner cette peine. v.1339 (Acte 4, scène 3, LAURE)
- Avant que je te suive, un peu de solitude. v.1351 (Acte 4, scène 4, ORANTÉE)
- Et de Laure et du jour me coûterait la perte. v.1355 (Acte 4, scène 4, OCTAVE)
- Qui frappe ? v.1370 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Jusqu'au point d'avoir cru me causer de la peine ! v.1399 (Acte 4, scène 6, LAURE)
- Votre main en mon sang se vient-elle tremper ? v.1416 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Tenez, voilà l'endroit où vous devez frapper. v.1417 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Octave, il faut qu'enfin je les tire de peine. v.1423 (Acte 4, scène 8, LYDIE)
- Qui croirait que jamais, d'effet ou de penser, v.1428 (Acte 4, scène 8, ORANTÉE)
- Que, pour m'ôter à vous et pour vous mettre en peine, v.1455 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Et, pour tromper le Roi, vous abusa vous-même. v.1475 (Acte 4, scène 8, LYDIE)
- Je n'aperçois que trop l'appareil de ma perte. v.1479 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- Dans ton perfide sang elle sera trempée. v.1483 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- C'est pour avoir trop eu que j'eus trop peu de zèle. v.1487 (Acte 4, scène 9, OCTAVE)
- Si chez vous mon respect tient encor quelque place, v.1490 (Acte 4, scène 9, LAURE)
- Qui pensant échapper ont rencontré leurs maîtres, v.1499 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- Vous vous appauvririez en me pensant punir ; v.1504 (Acte 4, scène 9, ORANT?E)
- Et laissant faire au Roi des desseins superflus, v.1520 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- Que les persécuteurs du repos de vos âmes v.1530 (Acte 5, scène 1, CLIDAMAS)
- Sa défense et mon mal ne me permettent pas v.1544 (Acte 5, scène 2, ARBAN)
- Et que vous allez perdre et recouvrer un père. v.1565 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Quand l'heure permettra que je vous la révèle ; v.1577 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Qui telle toutefois à peine me surprend, v.1582 (Acte 5, scène 4, LYDIE)
- Je n'en appelle point, suivez votre courroux ; v.1598 (Acte 5, scène 4, LYDIE)
- Mon fils, sur ce sujet, vous dira sa pensée ; v.1608 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Il faut être d'accord, beau sujet de mes peines, v.1612 (Acte 5, scène 6, ORANTÉE)
- Monsieur, dispensez-moi... v.1642 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Mais qui peut fuir l'amour ? Est-il rien qu'il ne touche ? v.1657 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Et qui fasse pour nous ce qu'un dieu ne peut pas. v.1683 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Et moi, pour vos respects j'ai de la révérence, v.1688 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- L'Amour n'est point sujet au respect d'un parent ; v.1691 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Il dépend de soi seul ; cet enfant volontaire, v.1692 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Pour n'en point respecter, voulut naître sans père ; v.1693 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Qu'on ne nous peut ôter sans nous ôter le jour ; v.1763 (Acte 5, scène 8, ORANTÉE)
- Je n'ai ni trop d'amour ni trop peu de courage. v.1789 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- De me rendre une soeur quand je perds un époux ! v.1828 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- À la perte du jour dès les flancs de sa mère, v.1842 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Comme il n'est que vapeur, ne produit que du vent. v.1844 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Sa superstition trouve des vérités. v.1848 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Et qu'il perde le jour le jour qu'il y viendra. » v.1860 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Quand j'y pense depuis, la mort de votre mère, v.1881 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Le respect du serment que je fis à la reine v.1885 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- M'a toujours empêché de les tirer de peine ; v.1886 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Et par une alliance un peu mieux assortie... v.1893 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Qu'on remarque en ce front peint si visiblement. v.1900 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Lâche persécuteur du repos de mes jours, v.1911 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Et la surprise ici dispense ma parole : v.1914 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Le succès peut passer le dessein qui l'amène ; v.1937 (Acte 5, scène 10, ORANTÉE)
- Je ne lui puis manquer sans trop de perfidie. v.1950 (Acte 5, scène 10, OCTAVE)
LA CÉLIMÈNE (1636)
- Souffrez que je vous parle avec un peu d'envie. v.2 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- La seule peur que j'ai de vous être importune v.9 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Je commence à vous voir, et vous n'avez qu'à peine v.17 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Haussez un peu la voix. v.43 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Viennent perdre leurs soins et leur inquiétude. v.50 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Chacun y fait l'amour, peu de monde y soupire. v.54 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Ô le perfide ! v.61 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Toujours triste et pensif, et toujours l'oeil humide, v.62 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Si bien que ce perfide est le seul qui lui plaît, v.86 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- La plus froide ne peut accuser mon caprice. v.113 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Dieux ! Combien je perdrais en perdant ces écrits ! v.114 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- On ne peut condamner cette inclination. v.119 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Il mérite beaucoup ; mais, en peu de discours, v.122 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Je vis et j'admirai cet auteur de ma peine : v.125 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Sa peine et ses devoirs m'ont confirmé ce point ; v.138 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Dépendre d'un même destin. v.150 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- L'autre je suis en peine ; v.152 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- La peine et les efforts de l'acquisition v.159 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- Qui te rend si pensif ? v.161 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- Elle rit de mes voeux, la superbe qu'elle est, v.175 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- Me défend seulement de parler de ma peine : v.178 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- A peur de le savoir, de peur de le guérir. v.180 (Acte 1, scène 2, FILANDRE)
- Elle te parle peu, même fuit ton abord, v.187 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- Traître, que tu sais mal cacher ta perfidie ! v.198 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Approche, appelle-moi tes yeux et ton soleil. v.204 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Quoi, tu ne peux forcer cette inutile honte ? v.205 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Me dispenserez-vous de discours superflus ? v.211 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Ô sensible douleur ! Ô perte irréparable ! v.213 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Qui m'ouvre les enfers ? Qui me perce le sein ? v.215 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Qu'une autre ne peut mieux mériter nos franchises, v.218 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- On aurait de la peine à qui donner le prix. v.220 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Fassent au moindre vent si peu de résistance, v.238 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Sans te voir ! Je m'abuse, et ma triste pensée v.253 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Tu profiterais peu de n'y consentir pas. v.268 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Où peut être ma soeur ? v.279 (Acte 1, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Ce n'est que de mon coeur que leurs plaisirs dépendent, v.289 (Acte 1, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Comparez nos tourments, considérez nos peines ; v.293 (Acte 1, scène 4, FILANDRE)
- Son inclination ne se peut comparer. v.300 (Acte 1, scène 4, FILANDRE)
- J'ai vu le peu d'état qu'on fait de ton service, v.325 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Ne figurant pas mieux ta peine et ton souci, v.339 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Me tenant ces propos, permets-moi de le dire, v.345 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Crois que tu pourrais peu sur cette âme inhumaine, v.349 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Qu'en mon lieu tu serais en une même peine. v.350 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Croyez qu'en peu de jours j'obtiendrai de ses voeux. v.360 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Il m'est aisé de feindre et de tromper sa vue. v.362 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Ce divertissement ne peut être que doux, v.363 (Acte 1, scène 5, ORANTE)
- De tels voeux dépendrait tout mon contentement, v.367 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Qui peut, si ce n'est vous, chérir mes intérêts ? v.375 (Acte 2, scène 1, CÉLIMÈNE)
- Et n'eûtes-vous jamais de pareilles pensées ? v.390 (Acte 2, scène 1, FÉLICIE)
- Et son intention ne peut être évitée. v.398 (Acte 2, scène 1, F?LICIE)
- Mais quand on le veut fuir, on le peut éviter. v.400 (Acte 2, scène 1, CÉLIMÈNE)
- Je travaillais pour vous, mais j'ai perdu ma peine. v.426 (Acte 2, scène 1, FÉLICIE)
- Il faut longtemps souffrir, la respecter, la craindre ; v.437 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Les preuves de respect sont de puissants appas ; v.439 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Ne crains point de faillir ni de perdre ta peine ; v.449 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Je peins quand bon me semble un oeil plus beau qu'il n'est, v.452 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- J'attendrai cependant en ce lieu frais et proche. v.469 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- J'ai fait ce peu de vers depuis que je travaille : v.531 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Mon amour me fournit mille pensers divers, v.541 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Seuls ils peuvent prouver tes transports innocents, v.549 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Seuls ils peuvent parler des ennuis que tu sens ; v.550 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Dieux ! Appelez mon âme en cet heureux sommeil, v.561 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Dieux ! Que ces importuns ont peu de complaisance, v.563 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Dieux ! Quelle peur as-tu ? v.568 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Tu le peux rendre tel. v.577 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Par deux mots ajoutés tu peux flatter sa peine, v.601 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Et perdre, en le sauvant, le titre d'inhumaine. v.602 (Acte 2, scène 3, F?LICIE)
- Qu'il a peu de raison d'aimer ce qui le blesse, v.605 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Que mon peu de dessein témoigne sa faiblesse ; v.606 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Bons dieux ! On ne peut rien sur ce farouche esprit. v.608 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Cruelle, as-tu dessein de dépeupler la terre ; v.614 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Ta voix peut-elle plus que les traits qu'il nous tire ? v.622 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Son pouvoir t'est suspect prenant pour lui les armes ; v.625 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Et, pensant l'obliger, tu fais tort à ses charmes. v.626 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Et peut plus que ta voix. v.628 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Il peut beaucoup sans toi ; n'ôte rien à sa gloire. v.630 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Tu ne peux m'échapper ; mais quoi que je propose... v.634 (Acte 2, scène 3, ALIDOR)
- Je crains peu ce danger. v.635 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Je tremble à ton aspect. v.635 (Acte 2, scène 3, ALIDOR)
- Quoi ! Rien à mon amour ? Quoi ! Rien à mon respect ? v.636 (Acte 2, scène 3, ALIDOR)
- Mais j'aperçois Orante, et quelqu'un qui la suit. v.643 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Et que ma tante, hélas ! Aimait peu ma santé v.659 (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
- Votre discours est sain, quoi qu'd nous persuade ; v.661 (Acte 2, scène 4, CÉLIMÈNE)
- À peine vos beautés ont attiré mes pas, v.679 (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
- Cet agréable songe a flatté ma pensée : v.698 (Acte 2, scène 5, ALIDOR)
- Mon courage est trop faible, il ne me peut aider, v.715 (Acte 3, scène 1, CÉLIMÈNE)
- On peut craindre son mal, on le peut retarder, v.723 (Acte 3, scène 1, CÉLIMÈNE)
- Perdez un peu, monsieur, de cette vanité, v.755 (Acte 3, scène 1, CÉLIMÈNE)
- Et vous repentez-vous d'un acte de justice ? v.758 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Suis-je trop peu discret pour cacher vos bienfaits, v.759 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Dieux ! Qu'à se déclarer une fille a de peine ! v.761 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Quand je vous appelais sourde, ingrate et sans yeux, v.763 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Je n'ordonne la vie et ne l'ôte à personne ; v.770 (Acte 3, scène 1, CÉLIMÈNE)
- Un peu moins qu'autrefois. v.779 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Soyez impitoyable à ma peine amoureuse, v.782 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Étouffez tout l'espoir qui me peut secourir ; v.783 (Acte 3, scène 1, ALIDOR)
- Un amant bien plus rare occupe mes esprits : v.791 (Acte 3, scène 2, CÉLIMÈNE)
- Mais quelqu'un vient ici : mes plus chères pensées v.797 (Acte 3, scène 2, C?LIM?NE)
- Qui vous rend si pensive ? v.799 (Acte 3, scène 3, FILANDRE)
- Il en a pris la peine. v.809 (Acte 3, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Madame, sa beauté m'est peu considérable ; v.830 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Et que devez-vous taire où tout vous est permis ? v.835 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- J'y cherchais du repos, et c'est où je le perds. v.840 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Qui donc vous peut servir en ce cuisant souci ? v.843 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Ces divins ennemis attaquent ma pensée, v.849 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Et me peut contenir dans l'étroite limite v.853 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Je n'augmenterai point cette troupe importune v.857 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Ont bien peu de rapport avec celles des villes, v.866 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Il est atteint déjà, Madame, et permettez, v.875 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Si je connais que vous pour sujet de ma peine, v.881 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Le traître et l'homicide ont leur peine aux enfers ; v.891 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- On ne peut éviter la suprême justice, v.893 (Acte 3, scène 4, C?LIM?NE)
- L'excès de son péché le sauve de la peine. v.898 (Acte 3, scène 4, C?LIM?NE)
- Pesant ces qualités d'un esprit plus rassis, v.907 (Acte 3, scène 5, FILANDRE)
- Qu'un jaloux a de peine ! Il croit tout ce qu'il craint. v.923 (Acte 3, scène 6, FÉLICIE)
- Adieu ; craignez vous-même une pareille peine, v.925 (Acte 3, scène 6, FILANDRE)
- Un autre me peut-il ôter ce qu'il m'a pris ? v.944 (Acte 3, scène 6, FÉLICIE)
- Et que peu de ton sexe aiment si constamment ! v.952 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- Je crois que ton amour est un peu refroidie. v.962 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- Peut-être justement. v.968 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- Permets-moi seulement de reposer une heure : v.970 (Acte 3, scène 7, FÉLICIE)
- Peut-être en ce sommeil mon mal s'apaisera. v.971 (Acte 3, scène 7, F?LICIE)
- Et nous voyons à peine un véritable amant. v.988 (Acte 4, scène 1, FÉLICIE)
- Oui, quelques passions dessus ce front sont peintes : v.997 (Acte 4, scène 1, FÉLICIE)
- Enfin vous feignez bien, ou vous aimez un peu. v.1000 (Acte 4, scène 1, F?LICIE)
- Faites-lui cependant un peu moins de caresses ; v.1018 (Acte 4, scène 1, FÉLICIE)
- Si vous l'aimez si peu, ne lui parlez point tant : v.1019 (Acte 4, scène 1, F?LICIE)
- Et moi, c'est trop gausser et vous laisser en peine ; v.1046 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- Que je sois dispensé d'en dire davantage : v.1058 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- Rien ne peut divertir le dessein que j'en fais. v.1060 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- La peur ne me met point ces discours en la bouche. v.1066 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- Si dans peu les effets ne surpassent vos voeux, v.1067 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- Je trompe l'une et l'autre, et toutes deux m'aimant, v.1103 (Acte 4, scène 3, FLORIDAN)
- Vous me peigniez l'Amour plein d'appas et d'attraits ; v.1127 (Acte 4, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Ne se peut ennuyer d'une si belle peine ; v.1138 (Acte 4, scène 4, FÉLICIE)
- Elle ne peut cacher le souci qui la touche ; v.1153 (Acte 4, scène 5, CÉLIMÈNE)
- J'ai peu de vanité ; mais au soin de vous plaire v.1173 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Et c'est dire trop peu que de dire que j'aime. v.1186 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Mais tenez pour suspects ces propos superflus ; v.1188 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Quel effet de valeur vous en peut assurer ? v.1191 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Et ce soir un peu tard trouvons-nous en ce lieu ; v.1220 (Acte 4, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Elle peut se fier en mon honnêteté, v.1231 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Et qu'un amant bien fait a peu d'invention v.1248 (Acte 4, scène 7, FLORIDAN)
- Et par tous ces moyens je ne lui peux déplaire ; v.1271 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Que votre repentir finisse nos débats, v.1280 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Dieux ! La peur le rend fou. v.1284 (Acte 5, scène 2, LYSIS)
- Perdez ce sentiment v.1284 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Jurez-lui que je ris de ses voeux superflus : v.1300 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Feraient-ils tant d'effet avec si peu d'efforts ? v.1313 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Il reste qu'Alidor, après sa longue peine, v.1318 (Acte 5, scène 2, FLORIDAN)
- Vous causez maintenant ses pensers les plus doux, v.1329 (Acte 5, scène 3, FLORIDAN)
- Si l'amour vous permet assez de hardiesse. v.1331 (Acte 5, scène 3, FLORIDAN)
- Que la peine où je suis égale ses travaux, v.1372 (Acte 5, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Et je crois que le ciel n'en peut plus faire un tel : v.1377 (Acte 5, scène 4, C?LIM?NE)
- Prenons un peu d'haleine ; v.1383 (Acte 5, scène 5, PREMIER VOLEUR)
- Ils ne nous suivent pas, n'en soyons plus en peine. v.1384 (Acte 5, scène 5, PREMIER VOLEUR)
- Ô ciel ! Je suis perdue. Ô ciel ! Ah ! Qui m'assiste ? v.1395 (Acte 5, scène 5, CÉLIMÈNE)
- Ils perdent aujourd'hui leur première innocence ; v.1404 (Acte 5, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Vous croyez, Alidor, un peu légèrement : v.1441 (Acte 5, scène 7, CÉLIMÈNE)
- L'amour ne permet pas à votre rêverie v.1443 (Acte 5, scène 7, C?LIM?NE)
- Peste de l'univers, le plus méchant des hommes ! v.1456 (Acte 5, scène 7, CÉLIMÈNE)
- De cette propre main je veux percer ce flanc, v.1461 (Acte 5, scène 7, ALIDOR)
- Tu n'en peux plus douter ; entends d'ici sa plainte, v.1467 (Acte 5, scène 8, FLORIDAN)
- Et qui me vengera de ce perfide amant ? v.1470 (Acte 5, scène 8, CÉLIMÈNE)
- A-t-il perdu le sens ? v.1491 (Acte 5, scène 8, CÉLIMÈNE)
- Ô dieux ! Qui l'eût pensé ? v.1499 (Acte 5, scène 8, ALIDOR)
- Et je la veux tirer d'une peine infinie. v.1524 (Acte 5, scène 8, FLORIDAN)
- Et je puis maintenant tromper cette ennemie ; v.1532 (Acte 5, scène 9, FÉLICIE)
- Le ciel, âme sans foi, punit ta perfidie : v.1548 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Le superbe qu'il est ne considère pas v.1553 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Et pensant obliger ma chaste affection, v.1569 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Dois-je appeler quelqu'un ? Sa soeur est endormie. v.1580 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Ne m'entendez-vous pas ? J'amène ce perfide v.1583 (Acte 5, scène 11, CÉLIMÈNE)
- Ah perfide ! Ah parjure ! v.1587 (Acte 5, scène 11, FÉLICIE)
- Et que je foule aux pieds ce superbe vainqueur. v.1590 (Acte 5, scène 11, F?LICIE)
- Elle a perdu l'esprit. Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? v.1617 (Acte 5, scène 11, FÉLICIE)
DON LOPE DE CARDONE (1636)
- Celui que tu lui peins avecque tant d'attraits v.7 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- Il n'ose que par moi vous ouvrir sa pensée, v.17 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
- Votre inhumanité ne les peut approuver ; v.19 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
- Et n'ont rien qui me touche et qui me persuade. v.42 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- Ne peuvent m'éblouir parmi ces lâchetés. v.44 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Et qui me peut souffrir après tant de rigueur v.47 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Ne peut beaucoup m'aimer avec si peu de coeur. v.48 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Souffre au deuil qui m'occupe, et dont tu m'as distraite, v.49 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Ne lui peux opposer qu'un fantôme et qu'une ombre : v.62 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Et l'espoir de régner ne peut m'ôter mes chaînes. v.78 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- À peine m'ont laissé les sentiments d'un homme ; v.86 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- Astres, vous vous trompez, vos promesses sont vaines ; v.98 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- Si même avec des fers on ne me peut souffrir ; v.104 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- On n'ose vous parler, rien ne vous persuade. v.109 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Si vous me permettiez de parler librement, v.111 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Mais s'il n'est pas permis de vous rien contester, v.127 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Nous jouons vous et nous un mauvais personnage. v.130 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Il faut qu'un charme horrible occupe vos esprits ; v.135 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Perfide, ton salut, pour toute répartie, v.137 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- Dépend... v.138 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- Qui peut plus gouverner cet esprit furieux ? v.140 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- C'est trop peu qu'une fille insolemment me brave, v.149 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- On gêne ma pensée. Ô dieux ! Qu'ai-je commis, v.151 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- Je n'occupe leurs soins, leurs travaux, ni leurs veilles ; v.153 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- Et c'est bien être aveugle, et bien peu vous priser... v.175 (Acte 1, scène 3, LUCIE)
- Ne me peut révolter contre un joug qui m'accable. v.178 (Acte 1, scène 3, DON PÈDRE)
- Ne peuvent à mes voeux donner un autre cours, v.184 (Acte 1, scène 3, DON P?DRE)
- Et, tout pâle et tout froid, occupe encor la place v.193 (Acte 1, scène 3, LUCIE)
- Permettez que le fils espère, v.219 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- DON LOPE DE CARDONE. » v.224 (Acte 1, scène 4, ?LISE)
- Moi, du sang d'un amant être la récompense ! v.230 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Retient tous mes pensers sous la loi du silence ; v.238 (Acte 1, scène 4, LUCIE)
- Ont-ils si peu d'attraits ? v.251 (Acte 1, scène 4, LUCIE)
- Mais je vis et le fer qui lui perça le flanc, v.259 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Je vis en l'appareil d'une pompe funèbre v.261 (Acte 1, scène 4, ?LISE)
- Eh bien, de son amour pesez donc le mérite : v.274 (Acte 1, scène 4, LUCIE)
- Quelque rang qu'il occupe, en vain m'est asservi, v.284 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Ce qu'au prix de soi-même on ne peut acheter. v.296 (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- Rappeler à vos yeux ce que j'ai fait pour vous, v.308 (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- Que tout autre peut-être eut crus inévitables, v.313 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Mais puisqu'on ne peut rien soumis ni conquérant, v.327 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Qu'avec tout mon respect je ne vous saurais plaire, v.329 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Passera sans respect des plaintes aux effets. v.332 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Et peut-être, après cette menace, v.337 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Fermez, fermez les yeux aux respects les plus saints ; v.343 (Acte 1, scène 4, ?LISE)
- Ne peuvent m'emporter hors des lois du devoir ; v.356 (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- Et j'ai désavoué ce penser téméraire, v.357 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Et qu'un excès d'amour m'a permis d'écouter. v.360 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- S'il faut de mon rival vous réparer la perte. v.362 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Le tort que j'ai reçu ne se peut satisfaire, v.369 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- De ses moindres pensers prend des impressions ; v.388 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Un seul ressouvenir, un seul penser d'Élise ; v.426 (Acte 2, scène 1, DON PÈDRE)
- Le roi vient, rappelez en ce coeur abattu, v.435 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Prince, et cette fureur s'est-elle un peu domptée ? v.438 (Acte 2, scène 2, DON PHILIPPE)
- Je n'ose m'en permettre un facile succès, v.459 (Acte 2, scène 2, DON PÈDRE)
- Au delà des respects d'un sujet et d'un fils. v.468 (Acte 2, scène 2, DON P?DRE)
- Qui me donne en Europe un si célèbre rang, v.475 (Acte 2, scène 2, DON PHILIPPE)
- Est un objet charmant, et peut-être adorable ; v.478 (Acte 2, scène 2, DON PHILIPPE)
- Sous un ombrage épais des drapeaux de Valence, v.485 (Acte 2, scène 3, OCTAVE)
- Avec peine du peuple ont forcé l'affluence, v.486 (Acte 2, scène 3, OCTAVE)
- Guidés de vos drapeaux et de votre fortune. v.510 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Dessous votre étendard à peine déployé v.519 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Et nous semblions, à voir les peuples accourir, v.523 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Nos progrès n'avaient fait aucun sanglant spectacle, v.525 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Ne peut que par les yeux s'acquérir de la foi. v.540 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Sort et marche vers nous pour nous couper le pas : v.552 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Je ne vous peindrai point l'image de l'horreur v.559 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Il suffit, pour bien peindre une guerre allumée, v.561 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Avant qu'aucun vers eux pense à tourner visage, v.585 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Qu'au spectacle des morts dont ils jonchent le champ v.587 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Et, dans ce que Don_Lope a tu par modestie, v.609 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Et qu'aux siècles futurs Don_Lope seulement v.623 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Ce grand coeur, qui peut tout, quoi qu'il ose entreprendre, v.625 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Et, seul aux yeux d'un peuple et d'un camp étonné, v.639 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Nous l'appelions à nous et lui tendions les mains ; v.644 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Jette les armes bas, croit l'aborder sans peine, v.661 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Mais sa main ose à peine approcher de son corps v.663 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Pendant qu'à cet office il la sent occupée, v.665 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Ne peut priver la cour d'un si brillant éclat, v.675 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Peut ici m'affranchir du défaut d'impuissance ? v.678 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Vous possédez trop peu, l'Espagne est trop petite ; v.682 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Est le prix des travaux qui n'en peuvent avoir. v.684 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Deux coeurs d'une valeur telle et si peu commune v.685 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Et ne puis trop donner à qui peut tout m'offrir. v.688 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- De tels travaux, seigneur, ne peuvent s'acquitter, v.703 (Acte 2, scène 4, DON PÈDRE)
- Et le royaume entier ne les peut acheter. v.704 (Acte 2, scène 4, DON P?DRE)
- Craindrez-vous de parler à l'aspect d'une fille, v.706 (Acte 2, scène 4, THÉODORE)
- Don Lope a plus de droits aux fruits de la victoire. v.713 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Don Sanche y peut prétendre avecque plus de gloire. v.714 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Et sans lui du combat le champ était perdu. v.716 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Qui ne peux t'assouvir de sang et d'homicides ; v.733 (Acte 3, scène 1, DON SANCHE)
- Me rends-je assez à temps où votre ordre m'appelle ? v.741 (Acte 3, scène 2, DON LOPE)
- Assez pour n'en point perdre en de vaines paroles. v.749 (Acte 3, scène 2, DON SANCHE)
- Ce fer vous l'apprendra s'il peut m'ouvrir le sein. v.752 (Acte 3, scène 2, DON SANCHE)
- Et sans la votre enfin serait peu comparable : v.758 (Acte 3, scène 2, DON LOPE)
- Tout blessé que j'en suis j'en plaindrais peu le coup, v.763 (Acte 3, scène 2, DON SANCHE)
- Et mon sang vaut trop peu pour le plaindre beaucoup ; v.764 (Acte 3, scène 2, DON SANCHE)
- Et la mienne ne peut lui souffrir cette envie, v.766 (Acte 3, scène 2, DON SANCHE)
- Désertant la Grenade, en ont peuplé Tunis ; v.792 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Si mon sang me promet quelque respect d'un fils, v.807 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Que par quelque respect j'apprenne au moins de vous v.811 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Si je m'ose expliquer, vous aurez peine à croire v.833 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Que celui de Don_Lope, ou le votre et le mien ? v.852 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Peut des plus noires nuits enclore un si beau jour, v.864 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- S'en tirant me heurta, peut-être sans dessein ; v.867 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- À l'instant, un peu prompt, j'eus l'épée à la main, v.868 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Si sans leur faire injure on les peut adorer, v.896 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
- Mon respect m'en chassait, mais ce respect fut vain, v.903 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
- Me fit à sa recherche en préférer la perte, v.906 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
- Malgré notre amitié que rien ne peut dissoudre, v.909 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
- Mais peut-être l'infante, accessible à vos voeux, v.919 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- S'il doit quelque respect aux sentiments d'un père, v.937 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
- Mon frère a différent, et don Sanche l'appelle ! v.957 (Acte 3, scène 4, ÉLISE)
- Voyez sous quels respects leur haine s'est gardée. v.961 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
- Je ne l'ai point appris ; mais, seigneur, cette peine v.965 (Acte 3, scène 4, ÉLISE)
- Un service en mes mains perd cette qualité ; v.972 (Acte 3, scène 4, DON PÈDRE)
- Un sceptre à mon égard a peu de privilège ; v.985 (Acte 3, scène 4, ÉLISE)
- Rien ne peut d'un amant me réparer la perte, v.990 (Acte 3, scène 4, ?LISE)
- En vain tous mes pensers s'arment contre ma foi ; v.1015 (Acte 3, scène 5, DON PÈDRE)
- Mais pendant que l'ardeur d'un généreux courroux v.1023 (Acte 3, scène 5, DON PÈDRE)
- Que si, comme le sort en regarde peu d'autres, v.1025 (Acte 3, scène 5, DON P?DRE)
- Don Lope ose hausser les yeux jusques aux vôtres, v.1026 (Acte 3, scène 5, DON P?DRE)
- Y peut-il faire choix d'un plus digne de vous ? v.1032 (Acte 3, scène 5, DON PÈDRE)
- Je sais combien Don_Lope a servi la couronne ; v.1033 (Acte 3, scène 5, THÉODORE)
- Et feindre pour don Sanche un peu plus de tendresse ; v.1037 (Acte 3, scène 5, DON PÈDRE)
- Mon respect vous la laisse. v.1042 (Acte 3, scène 6, DON LOPE)
- Ce respect vous est dû s'il se doit observer. v.1043 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- D'autres respects encor me forcent au silence. v.1045 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Et pour le même objet Don_Lope a surpassé v.1063 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Cependant j'ai regret, comte, qu'une aventure v.1085 (Acte 3, scène 6, THÉODORE)
- Une écharpe est bien due au service d'un bras v.1087 (Acte 3, scène 6, TH?ODORE)
- Vous peut-on à ce prix donner sans allégresse ? v.1090 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Remenez-moi, Don_Lope. Adieu, comte. v.1095 (Acte 3, scène 6, THÉODORE)
- Quel bizarre destin peut faire qu'en même heure, v.1101 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Le présent d'une écharpe à tort m'a fait si vain, v.1103 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Et tout ce que l'Europe a de pouvoirs suprêmes, v.1113 (Acte 4, scène 1, ÉLISE)
- Je ferais tout pour vous jusqu'à perdre le jour, v.1123 (Acte 4, scène 1, ÉLISE)
- Peut-il jeter les yeux que dessus votre amour ? v.1132 (Acte 4, scène 1, ?LISE)
- Mais croyez qu'en son âme elle a peine de feindre, v.1138 (Acte 4, scène 1, ?LISE)
- Qu'il fait contre ses voeux des efforts superflus, v.1139 (Acte 4, scène 1, ?LISE)
- Vous avez peu de coeur, et j'en vois peu de preuve, v.1141 (Acte 4, scène 1, DON LOPE)
- À combattre une soeur doit trouver peu de gloire. v.1162 (Acte 4, scène 1, ÉLISE)
- De qui peux-tu, ma flamme, implorer la faveur, v.1163 (Acte 4, scène 1, DON LOPE)
- Elle peut rejeter... Mais que me veut Don_Sanche ? v.1166 (Acte 4, scène 1, DON LOPE)
- Tous les rois de l'Europe envieux ou jaloux. v.1176 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Sur le don d'une écharpe ou celui de sa main. v.1180 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Mais l'Amour est aveugle et se peut abuser. v.1184 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Toutes lois, tous respects, toutes défenses cessent. v.1214 (Acte 4, scène 2, DON SANCHE)
- Ce que nous poursuivons nous peut-il trop coûter ? v.1216 (Acte 4, scène 2, DON SANCHE)
- Que par un mou respect qui sente la froideur ? v.1220 (Acte 4, scène 2, DON SANCHE)
- De périls, de travaux, de respects, de services, v.1246 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Pouvaient de sa beauté me permettre l'oubli, v.1248 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Mais à ce seul penser mon courage abattu v.1251 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Elle ne peut tuer que d'une belle mort ; v.1256 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Voilà sa porte ; frappe, et fais sortir Lucie. v.1273 (Acte 4, scène 3, DON PÈDRE)
- Mais ne témoignons rien qui me rende suspect. v.1275 (Acte 4, scène 3, OCTAVE)
- Frappe avec moins de bruit. v.1276 (Acte 4, scène 3, DON PÈDRE)
- Ô le lâche respect ! v.1276 (Acte 4, scène 3, OCTAVE)
- J'exerce en ce respect une folle vertu, v.1284 (Acte 4, scène 4, DON PÈDRE)
- Tentons auparavant tout le respect possible, v.1301 (Acte 4, scène 4, DON PÈDRE)
- Qu'elle est incommodée et Don_Lope sorti. v.1308 (Acte 4, scène 4, LUCIE)
- Eh bien, superbe, eh bien, il faut reprendre une âme v.1313 (Acte 4, scène 5, DON PÈDRE)
- Sa force nous entraîne, on ne peut la dompter ; v.1327 (Acte 4, scène 5, DON P?DRE)
- Né pour ramper par terre, on répugne à monter. v.1328 (Acte 4, scène 5, DON P?DRE)
- Et de toute l'Europe ils feront les destins. v.1336 (Acte 4, scène 5, DON P?DRE)
- Vous jouez un indigne et lâche personnage, v.1341 (Acte 4, scène 5, ÉLISE)
- Et ne perdez point tant d'inutiles propos. v.1344 (Acte 4, scène 5, ?LISE)
- Je ne les perds pas, s'ils peuvent vous déplaire ; v.1345 (Acte 4, scène 5, DON PÈDRE)
- Don Lope est seulement ce que je l'ai fait être ; v.1357 (Acte 4, scène 5, DON P?DRE)
- J'ai bien peine à vous croire, et l'amant qui menace v.1361 (Acte 4, scène 5, OCTAVE)
- Vous en êtes en peine ? en voilà le progrès. v.1407 (Acte 4, scène 6, DON PÈDRE)
- Consultez-vous un peu. v.1409 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Si l'on bannit Don_Lope de la cour, v.1411 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Tu m'oses annoncer la perte d'un amant ! v.1436 (Acte 4, scène 7, THÉODORE)
- Et ce coup en ces lieux peut souffrir ta présence ! v.1437 (Acte 4, scène 7, TH?ODORE)
- Que le roi peut permettre à ses ressentiments. v.1456 (Acte 4, scène 7, THÉODORE)
- Rencontre du respect et de l'obéissance : v.1458 (Acte 4, scène 7, TH?ODORE)
- Attends que sa fureur soit un peu dissipée. v.1461 (Acte 4, scène 7, TH?ODORE)
- Mon respect a tenté des efforts superflus ; v.1467 (Acte 4, scène 8, DON LOPE)
- Et tenez-en l'amour et la foi pour suspecte, v.1473 (Acte 4, scène 8, DON PHILIPPE)
- S'il ne sait m'obéir et s'il ne me respecte. v.1474 (Acte 4, scène 8, DON PHILIPPE)
- Peut-il rien souhaiter par une lâcheté ? v.1492 (Acte 5, scène 1, ÉLISE)
- Peut-il rien accepter que l'honneur ne lui donne ? v.1494 (Acte 5, scène 1, ?LISE)
- Vous m'appelez ingrate, orgueilleuse, inhumaine, v.1497 (Acte 5, scène 1, ?LISE)
- Ainsi je ne ferais que perdre un lâche soin, v.1515 (Acte 5, scène 1, ?LISE)
- À votre seul renom toute l'Europe tremble ; v.1529 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Respecte un souverain dont vous êtes l'appui : v.1532 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- La plus crédule oreille à peine a de la foi ; v.1536 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Et vous n'avez pas dû perdre le souvenir v.1547 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Ont sans le respecter violé mes défenses : v.1550 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Du respect de mes lois ne vous dispensent pas. v.1552 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- J'en perds en vous perdant la plus ferme colonne, v.1554 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Je me prive d'un gendre, et perds en lui l'espoir v.1555 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Si je ne sais punir comme récompenser : v.1568 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- Si l'appel de don Sanche et ses empressements, v.1575 (Acte 5, scène 2, DON LOPE)
- J'attends avec respect l'arrêt que vous rendrez, v.1579 (Acte 5, scène 2, DON LOPE)
- Tout brillant de la pompe où l'élève le sort, v.1587 (Acte 5, scène 2, ÉLISE)
- Qui présent et si cher ne m'a pas respecté, v.1595 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- De ma témérité je vais porter la peine ; v.1618 (Acte 5, scène 2, DON LOPE)
- Pour me perdre il est vain de chercher d'autre crime, v.1621 (Acte 5, scène 2, DON LOPE)
- Je conçus des pensers que je devais bannir, v.1627 (Acte 5, scène 2, DON LOPE)
- La déclaration que vous m'avez permise : v.1642 (Acte 5, scène 2, THÉODORE)
- Je le puis avouer, vous me l'avez permis, v.1647 (Acte 5, scène 2, TH?ODORE)
- Don Lope m'a vaincue avec vos ennemis ; v.1648 (Acte 5, scène 2, TH?ODORE)
- Il n'examina pas, à l'appel d'un rival, v.1659 (Acte 5, scène 2, TH?ODORE)
- D'un respect violé l'événement fatal ; v.1660 (Acte 5, scène 2, TH?ODORE)
- Je dispense où je dois et le prix et la peine : v.1669 (Acte 5, scène 2, DON PHILIPPE)
- De Don_Lope, grand roi, différez le supplice : v.1686 (Acte 5, scène 3, DON FERNAND)
- Mon fils percé de coups, aux_abois de la mort, v.1687 (Acte 5, scène 3, DON FERNAND)
- L'état lui doit vengeance, et perd par son trépas v.1691 (Acte 5, scène 3, DON LOPE)
- De si profonds respects aux ordres de leurs princes, v.1710 (Acte 5, scène 3, DON PHILIPPE)
- Ne se dispense pas du choix qu'elle vous donne ; v.1726 (Acte 5, scène 4, DON PHILIPPE)
- Trop sévère équité, suspends ici ta force, v.1742 (Acte 5, scène 4, DON PHILIPPE)
- Et pour payer d'un bras qu'un seul Lope a dompté v.1759 (Acte 5, scène 4, DON FERNAND)
- Vous voyez avec joie une perte si chère ; v.1766 (Acte 5, scène 4, DON PÈDRE)
- Je voudrais perdre plus que du sang et qu'une âme : v.1774 (Acte 5, scène 4, DON P?DRE)
- Rien ne peut m'obliger à vivre sans l'aimer. v.1776 (Acte 5, scène 4, DON P?DRE)
- De Don_Lope en mon sang expiez le forfait, v.1791 (Acte 5, scène 4, DON PÈDRE)
- Perdre un si noble sang que celui de Cardone v.1797 (Acte 5, scène 4, DON PHILIPPE)
- Peut... v.1804 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 28 textes (soit une présence dans 1,48 % des textes) dans lesquels il y a 6023 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 215,11 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 6 | Acte 1 | Acte 5 | Total |
1 | LES SOSIES | 12 | 49 | 36 | 79 | 42 | 0 | 0 | 218 |
2 | LA BAGUE DE L'OUBLI | 0 | 17 | 37 | 27 | 0 | 33 | 50 | 164 |
3 | L'HEUREUSE CONSTANCE | 0 | 21 | 43 | 33 | 0 | 27 | 51 | 175 |
4 | IPHIGÉNIE | 0 | 44 | 37 | 31 | 0 | 34 | 46 | 192 |
5 | HERCULE MOURANT | 0 | 45 | 41 | 27 | 0 | 43 | 30 | 186 |
6 | COSROËS | 0 | 46 | 59 | 31 | 0 | 50 | 44 | 230 |
7 | LA BELLE ALPHRÈDE | 0 | 46 | 56 | 34 | 0 | 31 | 78 | 245 |
8 | DON BERNARD DE CABRERE | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
9 | DON BERNARD DE CABRERE | 0 | 36 | 57 | 49 | 0 | 37 | 42 | 221 |
10 | LE FILANDRE | 0 | 64 | 40 | 53 | 0 | 47 | 63 | 267 |
11 | VENCESLAS | 0 | 53 | 43 | 38 | 0 | 40 | 39 | 213 |
12 | AMARILLIS | 0 | 53 | 32 | 32 | 0 | 47 | 26 | 190 |
13 | CLÉAGÉNOR et DORISTÉE | 0 | 27 | 33 | 53 | 0 | 50 | 54 | 217 |
14 | L'HYPOCONDRIAQUE | 0 | 53 | 86 | 67 | 0 | 36 | 72 | 314 |
15 | LES OCCASIONS PERDUES | 0 | 35 | 42 | 52 | 0 | 27 | 44 | 200 |
16 | CRISANTE | 0 | 51 | 33 | 40 | 0 | 45 | 23 | 192 |
17 | AMÉLIE | 0 | 51 | 64 | 38 | 0 | 35 | 52 | 240 |
18 | LE BÉLISSAIRE | 0 | 56 | 43 | 59 | 0 | 49 | 32 | 239 |
19 | LE VÉRITABLE SAINT GENEST | 0 | 60 | 34 | 55 | 0 | 33 | 40 | 222 |
20 | LA DIANE | 0 | 31 | 35 | 49 | 0 | 33 | 46 | 194 |
21 | AGESILAN de COLCHOS | 0 | 49 | 55 | 48 | 0 | 45 | 49 | 246 |
22 | LES CAPTIFS | 0 | 47 | 42 | 39 | 0 | 31 | 43 | 202 |
23 | LA SOEUR | 0 | 47 | 43 | 44 | 0 | 49 | 32 | 215 |
24 | ANTIGONE | 0 | 43 | 48 | 37 | 0 | 40 | 35 | 203 |
25 | LES DEUX PUCELLES | 0 | 54 | 41 | 57 | 0 | 42 | 24 | 218 |
26 | LA CÉLIANE | 0 | 19 | 36 | 53 | 0 | 39 | 58 | 205 |
27 | LAURE PERSÉCUTÉE | 0 | 38 | 42 | 44 | 0 | 63 | 31 | 218 |
28 | LA CÉLIMÈNE | 0 | 38 | 37 | 21 | 0 | 47 | 33 | 176 |
29 | DON LOPE DE CARDONE | 0 | 40 | 45 | 46 | 0 | 50 | 39 | 220 |
Total | 12 | 1214 | 1240 | 1236 | 42 | 1103 | 1176 | 6023 |